Possessivité maladive

chapitre 17

Gabriel était totalement plongé dans ces révisions les examens de fin d'année approchaient à grands pas et il ne voulait pas les rater il ne sortait plus, pour le plus grand bonheur de Samir même pour aller en cour, il prenait directement ces leçons sur le site de l'école pour lui c'était plus pratique. Il voyait le côté positif de la chose il gagnait ainsi plus de temps pour lire surtout quand Samir était absent parceque quand il rentrait Gabriel avait du mal à se concentrer pas que Samir le dérangeait mais il se distrayait tout seul. Depuis une semaine Samir rentrait tard et sortait très tôt avant que Gabriel ne se réveille après trois jours Gabriel faisait semblant de dormir quand il rentrait et quand il sortait, il lui avait demandé les raisons de son comportement étrange et ce dernier avait tout simplement répondue qu'il avait beaucoup de travail au bureau. Gabriel ne s'y était pas attardé plus longtemps.

Samir aussi était noyé dans le travail mais depuis le fameux après-midi d'il y a 1 semaine il se montrait beaucoup plus tendre et avenant à l'égard de son petit protégé tout ce qu'il voulait c'était le rendre heureux mais il ne savait pas comment s'y prendre. Il s'était volontairement plongé dans le travail pour ne pas lui sauter dessus encore une fois, son petit moment d'égarement ne lui suffisait pas à chaque qu'il approchait le plus jeune il sentait une énorme tension pendre possession de lui et Gabriel pas vraiment les l'expression sérieuse qu'il prenait lorsqu'il étudiants ne faisait qu'attiser l'excitation de Samir. Il ne savait plus quoi faire pour mettre fin à cette situation, il ne pouvait plus continuer à éviter Gabriel tout en ressentant le besoin d'être près de lui.

Comme à son habitude il savait qu'une seule personne pouvait le conseiller et même si elle était sûrement entrain de commettre l'une de ces folie il pouvait la déranger sans problème.

*conversation téléphonique*

"Allô?" Dit t'il peut certain et appréhendant ce qu'il allait écouter par la suite.

"Hey mon poussin je commençais à me dire que ta nouvelle proie te prenait tout ton temps" lui répondit la femme à l'autre bout du fil.

"Non ce n'est pas ça maman et... Et ce n'est pas une proie avec lui c'est ... C'est bien plus que ça" dit t'il hésitant il ne mettait pas de mots sur leur relation mais savait qu'elle n'était pas ordinaire, elle était différente des autres ou c'était plutôt Gabriel qui la rendait différentes.

"Je me disais bien aussi, alors qu'est ce qui se passe avec lui?" Finit t'elle par demander doucement.

"Mais je ne t'ai pas dis pas dis que ça le concernait" répondit Samir exaspéré qu'elle comprenne toujours ce qui se passe avant le qu'il ne lui dire quoique ce soit.

"C'est moi qui t'ai fait mon petit c'est logique que je devine ce à quoi tu penses" rétorqua t'elle accompagné d'un rire cristallin qui le fit sourire à son tour sa mère avait se don, de lire dans ces pensées avant même qu'il n'ait pu ouvrir la bouche, elle réussissait a lui dire à haute voix ce qu'il pensait mentalement sans filtre.

"Enfin bref je ne sais pas comment m'y prendre avec lui et j'aimerais que tu me donnes quelques conseils maman" dit il après avoir soufflé pour se donner du courage.

"Te connaissant tu l'as sûrement enfermé et tu n'as pas été explicite dans tes sentiments, alors le mieux ce serait que tu l'invite quelques parts ou encore que tu lui propose des soirées films ou à faire un gâteau penses y, laisse le un peu de liberté aussi petite soit elle, tu peux aussi l'emmener faire du shopping beaucoup de gens aiment ça. Et le plus important pour moi comme tu le sais c'est le..." Dit elle en essayant de lui faire passer l'idée avant de se faire brusquement coupé par son fils.

"C'est bon maman j'ai compris et qu'es ce que tu fais à cette fille pour qu'elle hurle et gémisse autant?" Demanda t'il en éloignant le téléchargement de son oreille lorsqu'un nouveau cris fut poussé.

"Je..." Tenta t'elle d'expliquer avant de se faire couper.

"Non finalement je ne veux pas savoir, au revoir maman" conclu t'il avant de raccrocher, sa mère n'avait aucune gène à lui raconter ses ébats avec ses plan cul, il avaient plus une relation meilleur ami que mère fils, depuis son enfance il n'avait connu qu'elle, sa mère l'avait accepté comme il était elle ne l'avait pas jugé, même quand elle avait découvert sa manie de découper les choses et lui ne l'avait pas non plus juger quand elle avait commencé à avoir plein de plan cul de sexe féminin elle lui avait simplement dit qu'elle préférait la douceur d'une femme à la brutalité d'un homme.

*fin de l'appel *

Il ne ne lui laissa pas de répondre avant de raccrocher, il avait mieux à faire pour l'instant sa mère l'avait simplement aidé à trouver des contextes c'était maintenant à lui de les mettre en pratique et de les adapté aux goûts de Gabriel