Mon nom est Barbara, je vais vous raconter mon histoire, mes aventures loufoques et mes histoires d'amour désastreuses. J'entre en première et mes pensées sont indécis par rapport à mon première amour et un crush problématique...
Toujours abasourdi par cette phrase prononcée par le beau brun, je suis absolument perdu. Je ne le comprend plus. Une sonnerie me sortit de mes rêveries. Matthieu m'appelle.
-allô
-Salut Barb, ça va ?
-Ouais et toi Matthaüs?
- Ça va, hum je voulais te proposer de venir cette aprem chez moi. J'ai déjà invité quelques personnes, oh et Maria peut pas venir alors si tu veux...pas nn plus je comprendrais.
-Non non, je viendrai envoie moi juste l'adresse stp.
- À tout à l'heure Barb.
-À plus.
Sur ces mots, je commence alors à me préparer. J'attache mes cheveux en demi-cuche et commence à choisir mon outfit. J'enfile un teeshirt blanc avec des écritures sur mes avant bras, une jupe en jean blanche avec des petits motif rose dessus. J'attrape la première pair de chaussettes que je trouve. Génial des chaussettes montante, je vérifie à plusieurs reprise si j'en ai pas d'autre. Apparemment mes chaussettes sont aussi célibattante que moi.
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C'est dommage que Maria a des problèmes de santé, son rein lui fait souffrir. Elle ne mérites pas sa. J'aimerai la soutenir plus que je ne le fait mais je trouve pas les mots, alors j'essaie de la faire rire et avant tout sourire.
14:30- Je demande à ma mère de m'amener. C'est à peine 15 min en voiture, nous nous perdions h24 avec notre orientation de merde. Ce qui me fait rire mais pas vraiment ma mère. Je ne m'imagine vraiment pas au volant d'une voiture même si je suis entrain de passer le code. D'ailleurs faudrait que je me concentre plus sur sa.
-On est arriver ma chérie
Je lui souris et sort de la voiture en la remerciant . Je regarde autour de moi. Je ne savais pas que Matthieu habitais dans un appartement, je m'avance vers l'immeuble. Après plusieurs réflexion je trouve le courage d'appuyer sur le bouton pour qu'il m'ouvre l'accès. Je monte alors les marches une à une.
C'est ici, juste devant moi que je m'apprête à toquer quand il ouvre la porte et me fait un câlin. Je sert son étreinte et lui sourit. Je peux apercevoir Alia et d'autres personnes dont je ne connais pas encore le nom.
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