A l'encre de l'image

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Assis sur ce siège rouge le protagoniste ne parlait pas. Une goutte d'océan coulait le long de son visage. Il pleurait. Alors la revoilà. Cette putain de maladie. Oui, elle était de retour, prise entre devoir et survie. Il était amoureux. Chaque seconde passé avec cet amour le transportait dans cet univers si fragile. Il ferait tout pour cet amour. Il était prêt à en mourir. Mourir pour arrêter de survivre.

Il était amoureux du cinéma.

Le cinéma coulait à flot dans ses veines. Entendre le son des fauteuils rouge lui donnai des frissons. Certaine personne ne comprennent pas. Comment peut-il vivre pour quelques chose. Il vivant pour un art, il vivait pour son art. Les yeux brillants de mélancolie, il voulait partager au monde des sentiments. Des sentiments d'une heure, des sentiments d'un soir.
Il voulait aller loin. Devenir celui qu'il voulait être. Montrer au gens ce qu'il voulait voir.
Quoi qu'il arrive il donnera son âme à cet art si grand. Il fera tout pour y arriver. Seulement, la réalité est souvent la douche froide du rêveur. Mais il continuera de rêver. Jusqu'à ce que rêve devienne réalité.

Le cinéma c'est son refuge. L'occasion durant ces précieux instants de penser à sa vie, pouvoir vivre, oublier les emmerdes et les problèmes. Découvrir une nouvelle facette de sa vie. Il préférait affronter les dur souci de l'homme que de l'enfant. Il le voit bien. Le protagoniste ne rentre pas dans le moule. Il songea rapidement à l'héroïne de cette histoire.
Le cinéma devenait l'oxygène d'un corps perdu et le chemin du voyage d'un être différent.

Voyage d'un être différentOù les histoires vivent. Découvrez maintenant