Ils marchaient, mains dans la mains sans penser au mal, mais seulement au bien qu'il se donnait mutuellement.
Il ne cherchaient pas le futur ni le passé, ils étaient tous simplement heureux dans le présent. Ça n'était maintenant plus son monde à lui mais leur monde à eux. Un monde merveilleux qu'ils voulaient construire ensemble. Ce monde était tellement précieux à leurs yeux qu'ils auraient été prêt à tout pour y vivre et pour le préserver.
Il ne pouvait s'empêcher de la regarder. Elle était si belle, il avait l'impression de redécouvrir son visage à chaque seconde qu'il la regardait. Il se perdait dans son regard perçant et ne regardait même plus devant lui. Ses pas sur le goudron humide lui donnait l'impression de marcher dans du coton.
Faut il avoir peur de l'amour ?
On dit que l'amour rends aveugle mais moi je pense que l'amour rends vivant.il se répétait cette phrase en boucle dans sa tête "putain qu'est-ce qu'elle est belle" vulgaire mais bien réel, cette phrase passait en boucle, encore et encore.
En arrivant chez elle pas besoin de parler pour savoir ce qu'ils allaient faire. Une fois dans sa chambre elle posa sa douce mains sur sa joue. Alors il posa lui aussi sa mains sur la joue de sa princesse, déposa sa deuxième mains autour de sa taille. Son parfum boisé venait délicatement lui chatouiller le nez.
Il ne fallut pas attendre longtemps pour que ses lèvres se retrouve collé au sienne. Ces précieux instants fur tellement intense qu'il cru rêvé. Mais non. Elle été bien la devant lui, ou plutôt contre lui. Il paraîtrait même que ses yeux devinrent blanc.
Qu'elle paradoxe amusant. Elle était la couleur à sa vie et il avait les yeux blanc.Impossible pour lui de penser à l'après. Impossible pour lui de penser au moment où il se retrouverait encore une fois éloigné d'elle. Alors il l'installa confortablement sous cette grosse couette hivernale. Il vint la rejoindre quelque instant plus tard, et la pris dans ses bras.
Impossible de suivre le film, sa main ne faisait que des aller retour le long du visage de sa princesse. Alors que les yeux de sa princesse commencèrent à se fermer, il déposa un léger baiser sur son front.Il en avait besoin nôtre protagoniste d'écrire ces lignes. C'était une sorte de défouloir.
À travers ces lignes il pouvait raconter son histoire et recoudre petit à petit ses cicatrices mal réparé.
Il savait que sa princesse était essentielle à sa vie et que elle aussi elle l'aiderait à aller de l'avant.Princesse, princesse... Vous ne trouvez pas toute ces phrases clichés ? Vous ne voyez toujours qu'un simple ado amoureux ? Et bien non ! Au fond c'était bien plus puissant. Il avait réussi à vaincre certaines de ses peurs mais en sortant du système il avait réussi comprendre ses différence, pour apprendre à les dompter. Notre protagoniste était maladroit mais il était lui et c'était à ces yeux, le plus important. Elle l'aimait comme il été et il l'aimait comme elle été. Il était amoureux.
Parlons du temps. Le temps passe vite. Mais avec elle, le temps devenait ses rêves. Le moment où il faut se réveiller est douloureux. Le moment pour lui de se retrouver encore une fois éloigné d'elle en attendant la suite de l'histoire. Il serait dans le comas si il pouvait, juste pour... Continuer à rêver. Encore et toujours. Il voulait rester près d'elle à tout jamais, la protéger des mauvais rêve et des cauchemar.
Ils étaient là face à face, à se serrer plus que jamais. À ce moment là, les deux tourtereaux savaient. Ils savaient que le cycle terminer ils devraient recommencer. Attendre, encore et encore pour au final se voir une heure, une journée ou une soirée. Ils auraient pu abandonné mille fois. Ils auraient pu tout lâché. La distance aurai pu tout briser, mais tous ces kilomètres leurs on fait comprendre une chose. Ils étaient amoureux. L'amour était plus fort que la distance. C'était ça leur histoire ! Il avait réussi à vaincre la distance ! L'amour était plus fort que la distance. Il pouvait maintenant être à dix, quinze, vingt ou cinq cents ou même dix milles kilomètres l'un de l'autre... L'amour l'emporter. Et ça c'était le plus beau. C'était ça leur force. Faire de ses faiblesses une force. C'était une des philosophies de nôtre protagoniste.
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Voyage d'un être différent
Teen FictionSon casque posé contre sa nuque donnait l'impression d'un adolescent classique mais au fond il se sentait différents. Il s'est d'ailleurs toujours vu comme quelqu'un de différent. Étrange pour un adolescent n'est ce pas ?