II

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Je suis déjà dans ma chambre, les murs sont gris pale avec des bordures blanches qui contourne tout les coins, les fenêtres et portes. J'ai déposer mon sac avec mes armes sur la commode et puis une jeune fille entra dans ma chambre. Je l'a regardais et elle avait une splendisante robe lilas.
- bonjour, lui dis je.
- Bonjours, dit elle.

Elle avait des cheveux châtains en bouclette et la moitié attaché. Sa robe était longue et volumineuse. Elle était propre et ses mains étaient avec une manicure presque parfaite. Je me sentais salle à côté d'elle avec moi qui avait de la boue sur le visage et en plus ça faisait des jours que j'avais pas pris la peine de me laver.
- Est ce que vous allez être ma gardienne, demanda-t-elle avec sa douce voix.
- Hmm, oui je vais l'être et j'imagine que tu es la fameuse belle princesse dont j'ai entendue parler

Suite à mes mots elle commença à sourire.
- je suis désolée que je fais dure en ce moment je viens juste d'entrer.
- Oh mais il n'y a rien la, je te trouve parfaite pour gardienne.

Ensuite, elle ouvre le garde de robe qui était à côté de ma salle de bain, il y avait pleins de belle robe, de tenue et d'ensemble. Elle prit une robe bleu qui était longue, avec des manches longues mais elle était très très décolleté. Elle me l'a tendit.
- après que Madame Sylvie va t'avoir coulé un bain et que tu te sera lavé, tu porteras cette robe pour le dîner.

Je pris la robe dans mes mains et je regarda le visage de la jeune princesse s'illuminer. J'arrivais pas à croire qu'à même 10 ans elle avait plus de style que moi qui a plus de 10 qu'elle.

Puis en surprise, un homme ouvra la porte. Il avait les cheveux brun frisé et une musculature un peu fine mais très paraissante. Il regarde la princesse avec une regarde neutre.
- N'es-tu pas sensé d'être en cours petite sœur, dit-il avec une voix grave.
- Je sais mais, Monsieur Bufergen ma laisser partir plus tôt pour rencontrer et dire bonjour à ma gardienne.

Il me regarda par la suite, il avait un air menaçant mais je voyais les mêmes yeux noisettes de la jeune fille.
- allez viens Kat, notre père t'attend pour te parler.

Toute déçus de ne pas pouvoir me voir, elle me regarda une dernière fois.
- je vais la porter juste pour toi, lui dis je pour la faire sentir mieux
- A ce soir dit-elle
- A ce soir.

Puis elle sorts de ma chambre mais son frère resta dans le cadre de porte. Je le regarda de la même manière neutre d'où il me regarde.
- Arrête de me regarder de cette façon, dit il sèchement en me regardant.

Je ne lui dit rien mais je continuais de le regarder de cette manière tout en pliant la robe et en me prenant une serviette.
- je veux que tu me réponde quand je te parle, ma chère, tu  es gardienne de ma sœur, tu ne change pas de rang.
- Je sais, dis je doucement.
- Dans 2 heure il y aura le souper, soit prête.
- D'accord.

Il s'approcha de moi et me sentie
- tu pues, tu devrais aller te laver et enlève la crass qu'il y a sur ton corps
Il partis en claquant la porte. J'étais bouleversé par l'attitude du prince.

Donc je pris un bain d'eau chaude, j'en avais déjà pris un quand j'étais jeune mais une seule fois, j'avais oublié à quel point c'était un plaisir. Je lava mes cheveux doucement et frottais mon corps avec le savon qui était sur la petite tablet de chevet à côté de la baingeoire. Puis je me reposa quelque instant avant de sortir de celle ci et de m'en rouler avec le peignoir chaud et soyeux.

Je me mis à ma table de nuit et je commença à me faire deux tresses inversé afin que mes cheveux soient plus propre et mieux arrangé. Puis je me suis mise des sous-vêtement noir dentelles que j'avais vue dans le première tiroir de ma commode. Je me regarda un peu dans le miroir. J'étais maigre mais j'avais un peu de forme tout de memes, là dentelles s'affaissait bien sûr ma beau. Puis je me mis un corset pour affiner ma forme abdomale. Ensuite j'enfile du mieux que je peux la belle robe que la petite princesse m'avait offerte.
Je me ressemblais pu, et sur une de mes jambes, je me mis un petit ceinturons pour tenir un couteau, au cas où on ne sait jamais. De toute manière c'est mon travail aussi.

La face cachée de la royautéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant