Le mystère du penssionnat

À l'aide (partie 4)

C'est à ce moment que je me suis réveillée. Toute les personnes de la maison étaient présent. Ainsi que le directeur. Le garçon ce matin était venue me tenir la main mais cette fois-ci, je ne l'avais pas accepter au lieux de cela. Il m'avait vu me griffée, je faisais des convulsions par terre. La dernière chose que j'ai fait en me réveillant fut de crier. Crier si fort que l'on aurait crue que je venais de mourrir. Tout le monde présent m'avaient vus impuissant. Chaque fois qu'une personne essayait de me serrer ou de m'emmener quelque part. Je le mordait, griffait et le frappait. Tout le monde me regarda apeurée, ils voyaient tout les jours comment, je me détruisait mais personne n'eue crue que je pouvais faire cela. Soudain, le directeur me pris dans ces bras et me dit:

- Tu vas t'en sortir.

Tout le monde l'imita, je me mis à pleurer toute les larmes de mon corp. Je me suis détourner de leur regard et me suis enfuie de la chambre à toute vitesse. Je suis sortie dans la cour où tout le monde me regardait horrifié mes habits déchiré à quelques endroits. J'ai décidé de foncé à un endroit ne sachant où aller.

- Lily attend.

- sniff... Pa..pa...partez

- NON, LILY A PRÉSENT TU NOUS ECOUTE.

Je me suis arrêtée brusquement.

- QUOI?

Les amis de Aïden était là devant moi. Leur regard remplis de gêne augmenta ma colère mais avant que je n'ai pus parler l'un d'eux dit:

- Écoute, on sait que toi et Aïden c'était pour la vie, c'était ton frère. Mais à présent tu doit le laisser partir. Ce ne sera pas facile crois moi mais je pense qu'ensemble nous pouvons tout surmonter.

- NON, IL N'Y AVAIT QUE LUI DANS MA VIE MON SEUL VÉRITABLE AMI. LE SEUL QUE ME COMPRENNE COUS VOULEZ ME L'ENLEVER MAIS VOUS NE POURREZ PAS!!!

- Lily on ne veut que t'aider nous sommes dans la même impasse mais nous nous aidons ensemble.il a fait un choix qui nous affecte tous. Mais arrête de te torturer comme ça.

- NON VOUS NE COMPRENEZ PAS.

- Alors explique nous.

- C'EST MA FAUTE S'IL EST MORT. C'EST A CAUSE DE MOI. JE MÉRITE CE QUI M'ARRIVE. JE MÉRITE DE SOUFFRIR COMME IL AS SOUFFERT.

Je me suis enfuie sans leur laisser le temps de reprendre leurs esprits. Je me suis dirigée vers la porte de sortie. J'ai continué de courrir en sortant du terrain du pensionnat. Je ne savais pas où j'allais mais la dernière chose que je voulais étais d'être là où les souvenirs de mon ami sont présents. Je voulais crier pleurer toute les larmes de mon corp mais je n'y arrivais tout simplement pas.

- Personne ne me comprend, personne ne peut me comprendre.

Je me suis tout à coup senti tomber à la renverse.