Haru(Oc) x reader

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Surprise motherfuckers !

hey hey hey !!!! Ca va ? Perso ça roule haha eh oui je suis déjà de retour !!!! Eh bah eh bah finalement personne n a eu la bonne théorie hehe enfin bon je suis sournoise ce n était pas vraiment prévisible comme retournement de situation. BREF! Comme je l'ai dit déjà l'histoire est quasiment achevé mise a part l'avant dernier chapitre ou il manque encore la moitié tout le reste est écrit donc je me permet d'accélérer le mouvement ! Les chapitres sortiront à partir de maintenant le dimanche soir et le mercredi soir !

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-Et au pire si je meurs qu'est ce que ça peut te foutre?! Qu'est ce que tu peux en avoir à foutre qu'un monstre meurt ?! Pour qui tu te prends sérieux?! Tu penses vraiment que je vais rester là pour toi sagement assis et à rien foutre?! Je ne suis la chose de personne! Je fais ce que je veux alors fous moi la paix!

La jeune femme écarquilla les yeux, interdite, les larmes dévalant sans s'arrêter. Elle ouvrit la bouche, sans oser parler, puis la refermera, et ainsi de suite, jusqu'à ce qu'elle lâche dans un murmure.

-Haru je...

Elle ne put finir. Haru l'avait couper, hors de lui.

-Quoi encore?! Les enfants seront tristes ?! Je te fais peur ?! Qu'est ce que ça peut me foutre?! C'est pas comme si on était un vrai couple n'est ce pas ?! Hein ?! C'est pas comme si on s'aimait de toute façon ! Je te déteste putain ! Tu comprends ça au moins ?!

Hurla t il, la voix déraillant complètement.

À cette remarque T/P se figea, les yeux écarquillés, le coeur brisé. Silencieusement, des larmes dévalèrent le long de ses joues. Elle se sentait blessée, trahie. À cette vision ce fut au tour d'Haru d'ouvrir de grands yeux inquiets. Il s'en voulait. Il ne voulait pas dire ça. Il ne le pensait pas. Elle l'avait énervé presque toute la journée certes mais ça n'avait plus aucune importance sur le moment. Il s'en voulait. Il ne pensait tellement pas ses mots. Au contraire, elle était tout pour lui. Elle était devenue tout. Il l'aimait terriblement. À cause de lui, le beau regard de son amie était dévasté. Il tenta de s'approcher pour la prendre contre lui, mais elle repoussa son bras du revers de la main faisant reculé le noiraud d'un pas sous l'effet de surprise.

-Je crois que ça suffit. Je suis fatiguée.

Fit la jeune femme à voix basse, brisée. Elle était tombée folle amoureuse de lui. Oui. Mais pour son propre bien elle devait s'éloigner. Elle ne voulait pas attendre indéfiniment qu'il lui retourne ses sentiments. C'était bien trop compliqué. Un jour il l'embrassait. Le lendemain il la repoussait. Elle était épuisée. Épuisée de pleurer par sa faute. On ne choisit pas celui ou celle dont on tombe amoureux. Elle était bien d'accord avec ce proverbe. Cependant, elle pensait qu'il était possible d'y remédier. Il suffisait de s'éloigner, de l'oublier, de tout oublier. De tout faire pour tout oublier en tout cas. Elle plongea une dernière fois ses yeux dans ceux rubis de l'homme qu'elle aimait. Il ne disait rien. Il semblait pétrifié. Elle s'attarda quelques secondes sur les traits de son visages, et les mèches folles de sa coiffure, qui lui donnait son charme, puis elle lui tourna le dos. Elle fit à peine un pas qu'il l'agrippa fermement par le bras, l'empêchant d'aller plus loin. Elle restait dos à lui, la tête baissée. Elle ne voulait pas revoir son visage. Elle était sûre de craquer si elle se retournait. Elle ne voudrait plus partir. Elle le connaissait. Il ne lui suffisait que d'imaginer le regard qu'il devait poser sur elle à cet instant précis pour qu'une voix, toute petite certes, mais bel et bien là, lui répète: « il s'en veut surement...tu ne peux pas le laisser ».Elle lui en voulait de la retenir et à la fois l'aimer un peu plus pour ça. D'une voix aussi sèche que suppliante elle lui dit, la mâchoire serrée.