Echec à la reine

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On a roulé toute la nuit, simon était venu a mon secourt. Lui et moi avions grandi dans le meme foyer et cetait bien l'un des seul qui était resté en contact avec moi une fois que j'avais raconter ce qui m'était arrivé.
Il n'avais porter aucun jugement sur mes sentiments pour Nikolai.
J'avais pu fermer les yeux une bonne partie de la route. Alexander était calme. Lorsque j'ai ouvert les yeux on ce garait sur le parking d'un hotel
Il m'a regarder
-       Je t'ai reserver une chambre , tu vas rester la quelque jours et ensuite on avisera. Je t'ammenerais les affaires du petits et de quoi te changer.
-       Merci ...

Il a souri en posant sa main sur la mienne – t'es ma petite sœur. Je serais toujours la.
Apres m'avoir aider a m'installer dans ma chambre il est parti.
J'ai allaiter alexander en restant sur mes gardes. Je n'ai pas pu fermer l'œil.
Je tournais comme un lion en cage. Au bout de 3 jours. Simon m'avais ramener pas mal de truc pour m'occuper du petit. J'ai ceder a la tentation et je suis aller promener.
A mon retour j'ai directement reconnu le SUV noir de Nikolai.

La chasse avais assez durer. Il me fallait l'affronter. Et bizarement mon seul moyens de protection c'était notre fils. Lorsque je suis entrer dans la chambre ma valise était prete. J'ai sortie alexander de sa pousette avant de le serrer contre moi.
Nikolai était assis sur un fauteuil. Je l'ai regarder de longue minutes , tremblante comme une feuille.
Il a poser son arme sur la table puis il a pointer du doigt le berceau

-       Pose le.
Je l'ai regarder – nikolai...s'il te plais.
-       J'ai dit. Pose. Le.

J'ai commencer a sangloter et j'ai obeis.  Il s'est mis a pleurer. Je lui ai mis sa teitne
Avant de m'eloigner. Il a pointé un canapé.

-       Assise. Maintenant.
-       Ecoute ce j'ai a te dire avant.
-       J'ai dit. Assise mia.


Je me suis assise. Attendant le couru de mon boureau il s'est levé et s'est avancé vers notre fils. Le regardant fierement. Je suis restée silencieuse un moment avant briser ce silence assourdissant

-       Tu ne peux pas m'en vouloir d'avoir proteger mon fils. Je n'avais pas le choix , jamais tu ne m'aurais laissez partir .... J'etais complement prise au piège...
Il m'a regardé sans parler. Puis il s'est approche de moi
-       Je t'en ai voulu. Enormement. Mais en voyant a quel point tu était determiné a protégée notre fils. Je me suis rendu compte que tu etais une mere exemplaire. Prete a tout sacrifier pour ses enfants. Tu va rentrer avec moi en russie. Et ... jusqu'à ce que Alexander ne soit plus dependant de toi .... Tu aura mon respect. Et ma protection.
-       Et ensuite ?
-       Disons que je te conseil de ne pas me froiser d'avantage.

Les larmes me sont monté. il allais me tuer. D'ici quatre a cinq années , je ne serais qu'un souvenir du passé pour lui. Il m'a tendu un mouchoir
-       Seche tes larmes et prepare les affaires de mon fils. Ensuite nous partirons.
Rapidement j'ai emballer toutes les choses importantes a mes yeux y compris les photos que je gardais precieusement.
Nikolai regardais alexander gigoter dans son lit. Je me suis approcher hesitante. Il ma regarder
-       Je ne vais pas te manger. Si tu as besoin de le prendre  ou autre tu peux.
J'ai approcher et j'ai pris notre fils. Nikolai m'a tenduses mains. J'ai delicatement poser nikolai contre lui. En placant correctement ses mains pour qu'il soutienne sa tete.

Une fois prete a partir je l'ai regarder
-       Je dois le changer avant de partir.
-       Je sais. Je vais le faire.
J'ai hausser d'un sourcil et je l'ai laisser faire en observant ses geste. Le reprenant silencieusement doucement.
Une fois alexander installer dans son cosy, nikolai me la pris

-       Tu montera avec lui en voiture. Et moi je serais dans la seconde voiture.
-       Bien. On reprend les bonne vielle habitudes.
-       Je peux toujours  l'emmener sans toi  si tu prefere.
-       Non. Non c'est bon , sa ira
-       J'en étais sur.

Une fois bien intaller en voiture , a l'ariere avec le bébé nous avons pris route vers l'aeroport. Je retournais en russie. Et meme si cela me faisais mal de retourner dans une situation que j'ai essayer de fuir , je suis contente de rentré chez moi.


Nikolai :

Je pianotait sur mon portable dans la voiture. Anxieux mais excité a la fois. Je ramenais mon fils chez moi. Et mia n'avais opposer aucune resistance a me fuir.
Une fois a bord de l'avion j'ai aider mia a installer le bébé.  elle tremblais, j'ognorais si cetait le froid hivernal ou la peur qui lui provoquais cela. J'ai retirer ma veste et je lui ai poser sur les épaule.
Elle a sursauter. J'ai lever les main

-       Du calme. Ce n'est qu'une veste.
-       Je ....merci ...
-       Tu as froid ?
-       Pas vraiment
J'ai inspiré – nous discuterons une fois arrivée a la maison d'accord ? vue les cernes que tu as...je pense que tu as besoin de repos.

-       Tu vas me tuer ?
je me suis reteu d'eclater de rire. Je ne voulais pas la tuer .. a vrai dire meme si je le voulais je ne m'en pense pas capable. Mon cœur de glace est et sera surememnt toujours a elle.
-       Je ne vais pas te tuer.

Elle a sembler soulagé .. le faite qu'elle me pense capable de la tuer me faisait mal. Mais soit , passons.
Pendant le voyage , elle a dormie. Puis elle s'est occupé de notre bébé. Je l'ai regarder faire. Elle a senti mon regard sur elle ...
C'est yeux brun ont croisé les miens.
-       Je dois l'allaiter. Tu peux me passer un lange s'il te plais ?
-       Un quoi ?
Elle a souri legerement – un long tissus. C'est pour cacher mon sein ...

Je me suis levé et j'ai été fouiller dans le sac a langer. Couche. Lingette. Vetement. Putain il y a trop de chose. Agacé je suis retourner pres de nos siege. Et j'ai ordonner a mon homme de nous laisser.

-       J'ai pas trouver. Mais probleme regler ...
J'ai tirer le rideau separent l'arriere de la cabine du reste – personne de t'embetera ...tu veux que je te laisse ?
-       Tu m'a déjà vue nue non ? ca ne me gene pas si tu est la. Tien prend le s'il te plais.

Elle m'a guider dans mes geste avant de se rassoir et de lever son pull pour sortir son sein ... gonflé et gorger de lait ... je lui ai rendu notre bébé qui d'intinct a trouver le mamelon de sa mere.

Une fois bien installer je me suis assis a coté d'elle. Elle a jeter un regard vers moi.
-       Ta famille doit me prendre pour une petasse sans cœur ...
-       Je ne leur ai rien dit.
Elle a sembler surprise , j'ai poursuivis
-       Pour eux , je t'ai renvoyer en France pour ta protection ... il ne savent rien. Je savais que je te retrouverai et que tu reprendrais ta place. Je ne voulais pas que tu te sente persecute par mon frere et ma sœur.
-       Merci ...c'est tres attentionné.
-       Tu es la mere de mon fils.

La maison m'avais tellement manqué. James aussi. Des que nous nous sommes garer et que je suis aller ouvrir la portiere a Mia il a couru pour apercevoir notre fils.

-       Votre grace ... c'est un enfant magnifique ...
-       Merci James.
Puis il a souri a mia – madame c'est un plaisir de vous retrouver , la maison n'est pas pareille sans vous.
elle a rougie – merci , vous m'avez manquer James
-       Venez vite avant que le petit roi prenne froid ...

J'ai fais intaller les affaire de Mia dans ma chambre. Elle reprendrais sa place. Qu'elle le souhaite ou non. Une fois Alexander coucher et endormi. J'ai exigé quelle prenne son repas avec moi. Tout en simplicité nous avons diner dans le salon.
Je lui ai tendu une clé – c'est le double de la maison.

Elle m'a regarder sans comprendre. J'ai bu une gorgé de vin puis j'ai tapoter mon verre.
-       Retrouver ce qu'on avais prendra du temps. Nous avons tout deux des tords dans cette histoire. J'aurais du t'accorder l'importance que tu meritais et toi tu n'aurais pas du partir avec mon fils. Donc ... on va essayer de cohabiter , et de renouer le lien qu'on avais. Et si tu es toujours malheureuse dans mon monde ...je te laisserais prendre ton envol. Tout en etant present pour mon fils. Je te demande juste d'y mettre du tien et de m'accorder disons quattre années de vie commune.

-       Tu veux que je redevienne ta ...petite amie

-       Tu es plus que ca. Donc ouai en gros je veux que tu redevienne ma petite amie. Mais que tu respect ma profession et tous ce que cela implique. Jamais je ne vous mettrais en danger. Et jamais je n'exposerais Alexander.

Elle a pris les clés en acquiessant – ok.

Ce simple mot avais suffit a refermer le gouffre dans lequel j'etais tomber. Mia était de retour.

Liés à jamais.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant