Un vent de liberté

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PARTIE I : Mia

Les pleur de mon fils m'ont reveillé , le reveil affiche 2h45 ... je me leve peniblement jusqu'à son berceau pour le prendre dans mes bras.

Chut....bébé....chut...c'est rien juste un mauvais reve .....

Alexander est venu au monde il y a 3 semaines .... J'avais reussi a regagner la France par je ne sais quel miracle. Avec mes economie j'avais pris un appartement dans le sud , non loin de Canne.

Meme si je me savais en securité j'ignorais combien de temps sa durerais .... Nikolai devais forcement me chercher ...et dieu seul sais combien de temps sa lui prendrais a me trouver.

Je ne dormais jamais trop profondement de peur quil me surprenne dans mon sommeil. Il ne ferais jamais de mal a son fils mais a moi ....j'en était moin sure.

J'avais contacté d'ancienne connaissance a moi qui vivais dans le coin. Ca m'avais permis de retomber sur mes pates une fois pied a terre.

Ce n'est qu'au petit matin que le bébé s'est rendormi , je l'ai laisser dormir pour remettre un peu mon appartement en etat. Seigneur j'ignorais qu'un si petit etre avais besoin d'autant de choses.

Le personnel de l'hopital avais été incroyable avec moi. J'ai accoucher seule. Sans personne pour me tenir la main.

J'ai choisi d'accoucher a paris puis de travaerser la France , pour pouvoir envoyer un certificat de naissance a son père. Afin que celui-ci puisse savoir qu'il était né et bien portant.

J'ignorais si il avais fais le choix de reconnaitre notre fils. Je louais une boite postale a paris, j'irai voir mon courier dans une petite semaines.

Ma seule priorité était d'epargner a cet enfant une vie ou les armes et le sang font partis du quotidien. Je suis peut etre egoiste mais j'ai fais ce qu'il fallais pour mon bébé.

Plus tard, je suis sortie m'aerer. Une balade au parc était un excellent moyen. J'avais un semblant de vie social , et bientôt je reprendrais le travail. J'avais trouver un poste dans un tres bon hopital, qui avais sa propre garderie.

La direction avais surement compris l'urgence de ma situation fincanciere , j'avais du me presenter a mon entretien enceinte jusqu'au cou. Ou je n'ai pas menti sur la situation familliale dans laquel je me trouvais. J'était une mere. Seule. Qui devrais tout faire seule.

Je commencais a prendre mes marques dans cette nouvelle vie. Bien sur il me manquais horriblement. Mais il ne voulais pas abandonner sa part d'ombre.

Alors je devais secher mes larmes a assumer cette decision que j'ai prise en ayant beaucoup reflechis.

 PARTIE II  : Nikolai

Les lumiere de l'appartement était eteinte depuis plusieur heures a present. Tous les occupant devais dormir.

Je m'y suis introduit dans la plus grande discretion. Mes hommes avais fais un boulot formidable, il avais fais un double des clé apres avoir voler discretement celle de mia.

Un petit chez sois vaux mieux qu'un grand chez les autres ... l'appartement était minuscule comparer a mon domaines, un salon , une cuisine , une chambre , et des sanitaire ... Mia ne pouvais pas ce permettre mieux. Cetait bien rangé. Organisé , le necessaire pour s'occuper d'un enfant était la. Je me baladais dans son intimité a pas de souris, ne voulant pas qu'elle me surprenne.

Je voulais voir mon fils, je devais le voir. Je n'avais eu le droit qu'a un bout de papier me disant qu'il était né et a une photo de naissance.

En avancant vers la chambre , j'ai remarquer des cadre accrocher au murs , mia tenant le bébé , le bébé seul , les differentes echographies et une photo d'elle et moi prise par ma sœur ou nous nous regardons avec une tel complicité qu'on ne pourrais jamais deviner que maintenant je ne veux qu'une chose. Recuperer mon fils. Et me venger d'elle de me l'avoir arracher.

Je suis rester sur le seuil de sa chambre, elle dormais profondement. Ses sourcil formais ce petit « V » soucieux que j'aimais tellement. Le berceau du bébé était non loin de son lit. Eclairé par une veilleuse.

Je me suis approcher, jouant avec le feu. Prenant le risque qu'elle ce reveil et de devoir faire acceleré les choses ...il était prevue que je m'amuse a la torturer avant de la faire tomber dans mes filets.

Elle avais été maligne pour m'echapper. J'ai eu du mal a la retrouver. Elle a su brouiller les piste. Rien que pour cela , je la respectait.

Je me suis pencher sur le berceau , observant le petit etre faits de chairs et d'os. Il dormais profondement aussi.

Mon fils ....Alexander ..... tu es parfaits ....

Alexander , Alexei Petroska.

J'avais reconnu mon bébé. Je ne voulais pas qu'il sois sans père. Et vue la tranquilité de sa mere je presume qu'elle n'est toujours pas au courant de ma decision de l'assumer.

J'ai quitter la chambre , inspectant minitieusement l'appartement pour savoir comment elle vivais. Dans la salle de bain , j'ai deposer une pivoine blanche. Ses fleurs preferer , elle saurais que je suis venue et que je ne lui ai fais aucun mal.

Le bébé ce mis a pleurer , j'ai quitter l'appartement sans me faire surprendre , attendant sur le palier quelque instant.

Puis je suis repartis a mon hotel.

Le lendemain , je suis retrourner a l'aparteent , mia était sortie. Mes equipes on fais instalé des camera discrete. Je ne pourrais pas l'entendre mais au moins je pourrais les voirs tout les deux.

Ce n'est que le soir que j'ai pu apercevoir Mia, la camera logé dans un coin du salon m'offrait un spectacle attendrissant. Mia donnant le sein a notre fils. Installé devant la television. Elle regardais l'enfant comme le tresort le plus precieux du monde.

Je me suis servi un verre en les regardant. Une fois que le bébé était nourri , elle parti dans la salle de bain.

Ce n'est que quelque seconde plus tard quelle en sortie paniquée. Hé oui , ma fleur avais eu l'effet attendu.

Elle a poser notre fils dans son couffin pour attraper son telephone. Qui appels tu ma douce ?

Elle pleurait , consciente que je l'avais retrouvé. Au bout d'un heure , elle avais fait leurs bagages , en prenant soin d'emporter les photo accrocher au mur.

Son sauveur venait d'arriver, un belatre, blond, grand.

Il l'a serrer contre elle. Puis il a pris mon fils dans ses bras pendant que Mia preparais leurs depart.

Je fulminais de voir un autre homme tenir mon fils. J'ai pris mon telephone pour appeler un de mes homme qui surveillait l'appartement

- Elle va partir. Tu l'a suis. Et tu me rend compte a chaque fois qu'elle s'arrete.

- Bien Monsieur.

J'ai raccrocher. En buvant mon verre d'un trait.

Que la partie de chasse commence Mia. 

Liés à jamais.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant