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Bismillah✨💫🙏🏻

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Depuis ce matin je lisais , lisais et lisais. Le fait d'être scientifique ne m'empêche pas de lire, au contraire j'en deviens plus adepte. C'est depuis le bas âge, que j'ai aimé la lecture à travers les bandes dessinées. Les livres sont pour moi un moyen de m'évader, sortir de ma bulle et voyager loin dans les pays des écrivains....!!

Je lisais encore et encore essayant d'évacuer les différentes sentiments qui me submerge: La colère, la honte , la tristesse....!!!
Depuis ce matin c'est ce que je fais mais rien n'en fis cas.

Un célèbre auteur, Émile Zola disait : « Il n'y a jamais trop de livres ! Il en fait et encore et toujours! C'est par le livre et non par l'épée, que l'humanité vaincra le mensonge et l'injustice, conquerra la paix finale de la fraternité entre peuples »
D'une part j'ai envie de le croire d'autre part j'ai envie d'en douter.
Moi je dirais que lire nous ouvre les esprits, nous attribue de la sagesse, et fournit de connaissance. On peut être un grand intellectuel mais avec aucun savoir-penser. Comment rien que lire pourrais enfoncer le mensonge, l'injustice, la paix et la fraternité entre humains ? But who cares ?

Bref trop de questions sans réponses. Je ferme mon livre et prie Maghreb. Après avoir fini je vais dans mon balcon pour prendre de l'air. Je vois Djibril en face de moi au téléphone dans son balcon. Je lui fais un signe de la main, il me sourit puis continue son appel. Quelques minutes plus tard il descend en m'envoyant un bisou en l'air. Il est trop con. Mais n'empêche la honte ne cesse de me transpercé en vis à vis de lui...!

Lorsque Brahim m'as appelé j'étais avec lui dehors dans le capot de sa voiture entrain de discuter. Il a tenu m'y accompagner coûte que coûte. J'abdique et nous y allons ensemble. C'est avec surprise qu'il m'avais jeté son téléphone à la gueule mais je l'avais capté au vol. En cet instant j'avais cru que mon monde s'était arrêté de tourner en voyant des photos de Mouhamed et moi nue dans différents position n'ayant qu'un drap couvrant nos parties. Et d'autres a la boutique de glace. On aurai dit que je lui embrassé.

Brahim m'avait regardé d'un mauvais œil je dirais même avec dégoût. Jusqu'à maintenant ces paroles n'arrêtent de sonner comme des grondements dans ma tête.

FLASH-BACK

Brahim: Regarde moi bien dans les yeux et ouvre grand tes oreilles parce que ce sera la dernière fois que je te parlerai Fatimah Zahra. Tu m'as déçu en ce jour. Moi qui pensais avoir trouvé la perle rare *rire* Eh bah je me suis trompé. Je te respectais comme ma propre mère, je te voyais comme ma propre mère, je te traitais comme ma propre mère et tu me mets le couteau dans le dos comme ça sans scrupule, sans honte et sans craintes. Fuire tes cours pour te retrouver avec un homme dans de beau draps. Jamais de ma vie je ne pensais dire ça une femme mais t'es la plus grosse pute que je n'ai jamais vu...

Je le gifle de toute mes forces. Comment a-t-il pu croire de telle choses ? De telle sottises ?

Moi: Tu n'es qu'...

J'allais parler mais je me suis souvenu des paroles de cet petit homme noir « Éviter les discussions houleuses qui vois vident de votre énergie » je me suis tue. Je sens mes larmes qui menaçaient de sortir. Non je ne vais pas pleuré encore moins pour ce connard.

Brahim: T'as quelque chose à dire ? Non je ne pense pas. Je n'ai même pas les mots pour te qualifier. Mais sache une chose on ne trompe pas un Khalifa******* une fois. Toi et moi c'est fini. Dorénavant on a plus aucune relation. Ne remets plus jamais tes pieds ici et oublie Maria. Reste loin d'elle. On a pas besoin d'une traîtresse et d'une personne sans scrupule.

Fleur sauvage Où les histoires vivent. Découvrez maintenant