Tammy 9

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Iron fini son récit je vois bien qu'il attend ma réaction, je sais qu'il marche sur des œufs qu'il fait attention à mes rections et il faut que ça s'arrête qu'on avance enfin.

– Tu penses qu'on est en danger ?

- Je ne sais pas princesse, pour une fois je ne gère pas et je ne sais pas où on met les pieds, je me retrouve avec une famille, que je ne sais pas quoi en faire, il y a vous que je dois protéger. Ci tu as une idée je prends.

Il souffle passe sa main sur son visage signe qu'il cogite et que c'est le bordel dans sa tête.

Je vais fermer la porte à clé, prend la main de mon chéri et on va dans la réserve.

– Qu'est que tu fais ?

- Rien j'ai un inventaire à faire, tu veux bien m'aider ?

Il lève les sourcils et moi je lève mon pull,

– Dis-moi tu fais souvent tes inventaires.

– Hmm, Comme celui-là non, dis-je en finissant de me déshabiller, il m'attire à lui et m'embrasse.

- C'est moi qui vais m'occuper de toi, et ta mission c'est de vider ta tête, on réglera ça après, là c'est nous deux.

Je le déshabille tout en l'embrassent le pousse sur le canapé de la réserve. Passe entre ses jambes, lèche son ventre, ses ados descendent sur sa queue commence des va-et-vient tout en le léchant. Iron respire de plus en plus fort, je le prends en bouche en le fixant dans ses yeux gris.

– Putain, bébé que c'est bon

Je souris et repend ma tâche,

J'accélère quand il me fait venir. Je m'empale sur lui. Iron vient sur mes seins les malaxe, les mordille les lèches. Mes fesses claquent sur ses cuisses, il me colle à lui en prenant par la nuque et dévore ma bouche. Tout mon corps et pris de sursaut Iron me bascule et me prend plus fort et vient à son tour.

Il reste dans mes bras en reprenant son souffle.

– Putain que je t'aime.

Je rigole, il se retire, et me prend dans ses bras.

– On va rentrer, le petit va pas tarder.

- Bébé, je suis désolé de cette vie, tu devais avoir un mari qui te rend pas malheureuse. Je suis égoïste, mais je ne peux pas vivre sans toi. Je ne peux pas te laisser.

Je passe sur lui,

- Tu ne me rends pas malheureuse, je ne veux pas d'un mari chiant, mon cœur, mon âme, mon corps sont à toi, arrêt de te prendre la tête. Je sais dans quoi j'ai mis les pieds, tout va bien.

On s'embrasse une dernière fois et ont se rhabille pour rentrer chez nous ou il a déjà Ange avec notre fils. Ange nous dis qu'il a commandé des pizzas, je vois qu'il est embêté.

– Iron, tu peux aller donner la douche au petit.

- Aller champion en route.

Je sors des bières en tend une à Ange.

– Balance

- Rien je devais manger avec Hoppe ce soir, mais elle a compris ça fait juste chier, elle avait enfin baissé les armes.

Je prends mon téléphone et envoie un message à Hoppe

De moi à Hoppe

Ramène tes fesses à la maison j'ai besoin de toi

– Qu'est-ce que tu fais ?

- Rien je suis ta belle-sœur préfère, mais surtout parfaite !

- En même temps j'en n'ai qu'une.

Je rigole, Ange grimace, mes hommes nous rejoignent.

– Papa, m'a dit que j'avais un autre papi

- Ah, et tu en penses quoi ?

- C'est cool, je peux aller jouer.

Je lui dis oui Iron passe ses bras autour de ma taille prend ma bière et en bois une gorgée.

– Tu vas faire quoi, lui demande Ange.

- Quoi, qu'il c'est passer il faut savoir ce qui peut nous arriver sur la gueule, ci ton... notre père a rien dis c'est qu'il y a une raison. Et si cette raison met en danger notre famille on doit le savoir.

- C'est ok pour moi et toi, me dit Ange.

- C'est bon, pour moi, on devrait tous se réunir, mais entre nous pour le moment, histoire, de mettre tout à plat.

- Tu es la femme parfaite.

- Ah ! Tu vois, Ange ne veux pas le reconnaitre.

On est coupé par la sonnette, Ange va ouvrir.

Je prends les assiettes, et on va dans le salon, Ange arrive avec les boites à pizza et Hoppe. Il vient me déposer un baiser sur ma tête en me disant merci.

Dans la soirée les garçons son aller fumer dehors.

– Alors, tu vas lui donner une chance ?

Elle soupire, baisse la tête.

– Je crois surtout qu'il ne me laissera pas, mais je ne sais pas ci je pourrais vivre leur vie... J'ai donné ma démission.

- Il le sait ?

- Non, mon directeur ma encore prit la tête, mais là il m'a fait peur, il a été violant dans ces propos, j'ai préféré arrête là... sauf que je me retrouve sans boulot.

- Viens bosser avec moi, je veux prendre une vendeuse depuis un petit moment. Ci ça te plait pas ça te laisse le temps de te retourner.

- Pourquoi pas.

- Ok, on voit tout ça demain, sans les garçons.

En fin de soirée nos amis repartent, on monte ce coucher chacun passe par la salle de bain, et on se met au lit.

– Tu en penses quoi de la situation, me demande mon chéri.

- Humm, mon avis, tu dois savoir ce qui s'est passé pour ta mère, connaitre ton histoire et si tu veux nous protéger tu dois savoir contre quoi tu dois te battre, nous on te suivra et Ethan sera content de voir la famille s'agrandir.

- Ouais, on tourne en rond avec tout ça, je vais les appeler demain je veux régler ça au plus vite...

Il passe au-dessus de moi.

– En parlant d'agrandir la famille, j'ai vu la vidéo de ton accouchement, lu et relu tout le dossier et je me dis que ça serait bien si on donnait un petit frère où sœur à Ethan.

- Euh,

- Attends, je te donne les pour et les contre ; les pour, je voudrais voir ton ventre grossir, sentir notre bébé qui bouge, te masser les pieds, voir tes courbes s'arrondir. Et bien sûr la période où on va devoir le concevoir,

- Et les contres ? Je lui dis

- Il y en a pas,

- Ah, vu comme ça... On verra laisse nous du temps les choses arriverons quand ça devra arriver.

- ça veut dire oui ?

- ça veut dire on verra.

Il se pousse et me prend dans ses bras je caresse son torse en me laissant bercer par sa respiration.

– Bonne nuit bébé,

- Bonne nuit mon chéri

Blood Eagle SonsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant