Chapitre 1

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Je m'appelle Aline  j'ai 16 ans, j'ai une maladies de peau assez rare. Cette maladie me fait avoir la peau aussi blanche que un cachette d'aspirine. J'ai des yeux aussi bleu que la mer, des cheveux assez rose comme la chanteuse Ava Max dans son clip Sweet but Psyco. Du haut de mes tout juste un mètre cinquante je n'était pas bien haute. Mais seul penser était de fuir les populaires et leurs petit groupe de chienne et de chien qui suivais Alicia à la trace. A cause d'eux l'école pour moi était l'enfers. Ma seule penser à ce moment la était de m'éclipser sans qu'ils me voient. Alors je commença à marcher en longeant les casier du lycée mes malheureusement, j'entendu :

<< -  Sava l'aspirine. Dit la conne d'Alicia en prenant une pose de pétasse.

- Ta vraiment pas de coeur la mocheté international>> Je répondu cela en partant du hall d'entrer en montrant que sa me touchait pas.

Mes une fois arriver devant le lycée cacher de tout le monde. Je pris la détisions de me lâcher en tombant au sol et prenant l'idée de toute abandonner. Comme tout humain j'avais besoin d'extérioriser et donc de ressentir en pleurent toute les larmes de mon corps. J'entendit la sonnerie retentir à ce moment la, je pris mes mains et sécha les larmes sur mes joues. Puis retourna en cours comme si de rien s'était passer. Pendant les deux heures de français qui nous restais, je recevais plein de morceau de papier sois on la mettait dans mon sac, ma capuche ou sur mon bureau. A la fin des cours je partie normalement de la classe comme si rien ne s'était passer comme si tout était normale. Tout sa j'en est parler à ma mère car les pubs nous disent toujours dans parler. Pourtant la seul chose que les dirigeants de l'établissement on dit sais il reste plus qu'une semaine avant les vacances je pense que tu pourra survive. A ce moment la j'avais couru jusqu'à la mer qui était assez proche. Je regarda l'horizon et me disant que je ne pouvait pas abandonner. La jeune fille que j'était déversa encore beaucoup de larme et resta un bonne heure à rêvasser. Puis je décida de rentrer chez moi pour ne penser à rien je mis mes écouteurs et lança la playlist triste. Sur le retour pour allez à la maison les lampadaires s'allumais. Il me restait encore une dizaines de minutes avant que je sois chez moi. Mais avant que je puissent faire quelque chose on me pris violemment par mes bras en m'amenant dans une ruelle sombre sans personne et sans caméra. Je senti alors des mains baladeuse sur moi, les deux étaient masqués on vu que leurs cheveux long qui laissait savoir que s'était des filles à ce moment la je compris que ma vie ne pouvais pas plus être pourri.



Histoire triste Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant