Chapitre 3

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J'alla sur mes réseaux mes comme d'habitude il n'y avait pas que des insultes de lycéen. Les insulte porte sur ma couleur de peau, les seul commentaires bien était ceux d'une fille du lycée qui était assez sympathique. Je préféra mettre un film. L'insomnie était au rendez vous les heures passais sans que je réussie à dormir. Un heure du matin, puis deux heures, puis trois ect... Quand j'arriva enfin à m'endormir il était quatre heure et je me levais trois heures plus tard donc à sept heure. Quand je me leva j'avais la tête dans le cul, je m'habille avec une jean trouer au niveau des deux genoux avec une chemise un peu sans manche blanc. Je pris un verre de jus de fruit puis partis en faisant un bisous à mon frère avant de partir. J'allais en cours en prenant mon temps. Je réfléchissais à rien mes quand j'arriva tout le monde avait leurs téléphone en main. Quand il vu que j'était la ils me dévisageaient ,certains et certaines me traitais de s*lop*, de p*te, de p*tasse et j'en passe et des meilleurs. Je me dirigea vers ma classe et m'associa au fond. Et révisa mes cours en attendant que la sonneries arrivent. En cours tout le monde me regardais mal. J'en pouvait plus j'étouffais des regardes je me leva ,rangea mes affaires et parti malgré les cris de la professeure .Dans la classe tout le monde riais, moi sa me faisait encore plus pleurer. Je décida de rentrer chez moi avec mon casque on mon habituelle musique triste. Je passa dans la rue de la veille, tout les sentiment enfuie en moi sortir d'un coup je mis à pleurer encore et encore. Puis au boue de dix minutes je rentra chez moi en pensant à toute ce qu'on m'avais fait depuis le début par exemple mon père qui avais quitter à ma naissance, les élèves ce moquais de moi tout le temps à n'importe qu'elle niveau scolaire ,ma peau blanche était une malédiction. J'entra dans la salle de bains ,pris une lame et m'ouvra les veines mes sa mes cela ne suffis est plus. J'ouvrir la boite à pharmacie pour des bandage mes je trouvas des médicament. L'idée fenais de mes penser un idée dans finir. Sais alors qu'avec toute sais personne malveillante pour moi ,leurs mot était des poignard qu'on m'enfonçais dans le coeur, chaque moquerie était encrée dans ma tête je n'en oubliais jamais une sais mots.J'écriva sur mon bureau une lettre ou tout était expliquer et le pourquoi je fessais. Je ne distinguée plus le bien du mal alors je me mettais sur mon lit et pris alors une boiter de comprimés. Puis je partir en douceur vers un monde meilleur.

Histoire triste Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant