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2020, mardi 15 septembre, Paris. 9h42

Je file à la douche, je suis mega en retard ce matin, je retire mon pyjama et file sous la douche en allumant l'eau, je me mets sous l'eau une fois qu'elle est tiède.

Je sens des mains sur mes hanches, j'ouvre les yeux et j'éteins l'eau en me retournant brusquement.

- Arrête, pas ici.

Il me plaque contre le carrelage glacial de la douche, je soupire en me cambrant pour éloigner mon corps du choc de température. Il emprisonne mon corps de ses bras et goutte à mon cou et ma bouche. Je force ma langue contre ses lèvres, il ouvre sa bouche, nos langues s'enflamment pour un baiser plus que torride. Je descends ma main droite à mon intimité pour me caresser.

- Je suis en retard au boulot; prononçais-je entre deux baisers.

Il m'embrasse encore et encore puis me tourne brusquement, je me retrouve dos à lui. Il me plaque à nouveau contre le carrelage glacial, je me cambre à nouveau sous un râle de plaisir de mon partenaire. Sa bouche parcourt le haut de mon dos.

Il agrippe ma nuque puis me pénètre sauvagement, je soupire en posant mon front contre le mur.

- Tu me rends dingue; dis-je en retenant un gémissement.

Il accélère ses vas et vient, je gémis en le suppliant de ne surtout pas s'arrêter, il agrippe mes hanches pour me faire l'amour encore plus sauvagement. Une claque atterrit sur mon fessier, il vient mordillé mon oreille, je l'entends gémir contre mon oreille. Il se retire, dépose un baiser sur mon épaule. Je reste mon front contre le mur en souriant.

J'ouvre les yeux et fini par me retourner, il est partit, il me rend vraiment toute chose, il a un contrôle sur moi, sa présence me fait perdre tout contrôle de moi.

Je me reprends et retourne sous l'eau pour me doucher cette fois-ci.

10h14

Je sors de ma chambre pour aller manger un petit truc avant de partir, je croise Davi dans le couloir. Merde, si ça ce trouve il nous a entendu.

- T'es encore là ? Demandais-je paniquée.
- Ouais, j'avais pas envie d'aller en cours. Ça va toi, tu as l'air inquiète ?
- Non ça va bien, tu as pas entendu des bruits bizarres ?
- À part t'entendre jouir non j'ai rien entendu d'autre de suspect si tu veux faire référence à ça; sourit-il fièrement.
- J'ai cru entendre quelqu'un rentrer dans ma chambre.
- Je doute que tu ai pus entendre ça vu comment tu te faisais plaisir mais ça fait une heure qu'on est que tous les deux donc je doute que quelqu'un soit rentrer dans ta chambre.
- Tu me fatigues Dav.
- N'ai pas honte, moi aussi tous les matins je me touche, la différence c'est que je sais être discret.
    - Ma mère est partit ?
    - Oui elle avait un rendez-vous.
    - Et ton père ?
    - Il est partit au boulot y'a une heure.

Je lui souris et part dans la cuisine pour manger. Il a dû faire semblant de partir puis il m'a rejoint dans la douche, je ne vois pas sinon.

Je prends mon portable pour envoyer un message à Neymar et lui demander si on peut se voir après son boulot pour discuter.

    - Cochonne ?
    - Putain ta gueule Davi.
    - Rooh si on ne peut même plus rire maintenant c'est la fin du monde.
    - Qu'est-ce que tu as ?
    - Tu vas au travaille ?
    - Mouais, mais vue l'heure je vais y aller en début d'après midi.
    - Cool. Du coup tu peux m'épiler les sourcils ?
    - Pour 500€ je te le fais.
    - Je vais aller dans l'institut rival à la tienne.
    - J'ai pas de rival vue que je suis la meilleure alors met tes sourcils à tes risques et périls.
    - Redescend de ton piédestal grosse cochonne.
    - Je crois que je vais retourner me coucher.
    - Tu pensais à ton mec pendant que tu t'enfonçais le pommeau de douche dans la chatte ?
    - J'en peu plus de toi chacal.

Nous partons tous les deux dans un fous rire.

    - Quand je me touche, je pense à des meufs mega bonne, avec des gros nichons et des gros culs.
    - Le genre de fille que tu auras jamais quoi; explosais-je de rire.
    - Quand je leurs annonce le nom de mon père, elles deviennent tout de suite réceptif; sourit-il en coin.
    - Putain mais qu'est-ce que je t'aime toi; rigolais-je.
    - Ouais ça, ça arrive souvent quand on me côtoie; dit-il fièrement.

Je souffle et retourne dans ma chambre pour préparer mes affaires pour le boulot.

    - Tu as du te déchirer la chatte avec le pommeau non ? Cri-t-il.

Je pose ma main sur ma bouche pour éclater de rire en silence.

***

Aimé par neymarjr, davilucca et 386 527 autres personnes

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paomasantoro Une nouvelle journée de boulot débute...

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