2020, mardi 15 septembre, Paris. 18h
Je vois Neymar sur le trottoir, il rentre dans l'institut, je lui souris.
- On va dans mon bureau.
- Là ou tu as fait des choses suspect ?
- Allez Ney c'est bon Davi n'est pas là.Je me dirige dans mon bureau suivi par Neymar, je m'installe sur mon fauteuil ma foi bien confortable. Il s'installe en face de moi derrière mon bureau.
- Tu veux parler de quoi ?
- On doit arrêter.
- Arrêter quoi ?
- Tu sais très bien de quoi je parle.
- Non, je sais pas, sois plus explicite.
- Arrêter comme ce qui s'est passer ce matin.
- Il s'est passé quoi ce matin ?
- Comment ça ? T'en fais exprès ?
- Ça va Pao ? Tu t'es droguer ?
- Tu étais où ce matin vers 10h ?
- Pao t'es que ma belle-fille alors ton interrogatoire j'y répondrais pas. Il y a assez de ta mère experte dans le domaine.
- Je m'en branle de ma mère. Je veux juste savoir c'est tout.
- J'étais au club entrain de m'entraîner depuis déjà presque 1h.
- Hier tu étais vraiment chez Marco ?
- Qu'est-ce que t'insinues la Pao ? Que j'ai été tromper ta mère ? Quand je te disais que je me priverais pas avec une autre femme c'était en faisant les choses bien.
- C'est bon arrête de me prendre pour une conne, c'est pas drôle.
- Putain mais qu'est-ce qui t'arrive Paoma ? Je te reconnais pas, depuis que t'as rencontrer ton mec t'es bizarre, il te force à te droguer ou à boire ?
- C'est un rêve hein ? T'es entrain de blaguer ?Il me regarde perdu, je vois dans ses yeux qu'il ne comprend pas de quoi je parle. J'ai pas rêver il m'a embrassé et on a fait l'amour plusieurs fois ? Je suis pas matrixer hein ?
- Tu as déjà tromper maman ? Un bisou compte.
- Jamais, j'aime ta mère et je lui veux du bien; s'agace-t-il.
- Donc il s'est jamais rien passer avec quelqu'un ?
- Je suis pas sure de comprendre ou tu veux en venir.
- Je veux en venir nulle part.Il part dans ses pensées, il doit réfléchir je crois.
- Je crois que j'ai compris.
- Compris ?
- Je t'ai laisser croire qu'il se passerait quelque chose entre nous c'est ça ? On dirait que tu crois que j'ai tromper ta mère avec... toi; rigole-t-il. C'est absurde ce que je suis entrain de dire.
- ...
- Pourquoi tu réponds pas ? C'est ça ? J'ai raison ?
- Mais t'es complètement dingue toi; rigolais-je. Comment tu peux croire ça alors qu'il s'est jamais rien passer entre nous ?
- Bah je sais pas mais vue comment tu m'accusais, ça laisser prétendre ça.
- Désoler, c'est juste maman qui m'a demandé de savoir si tu allais voir ailleurs, comme elle sait qu'on s'entend bien elle m'a demandé de t'interroger.
- Ah et maintenant elle va jusqu'à demander à sa fille, génial; souffle-t-il. Depuis quand t'aides ta mère ?
- Je l'ai fait pour qu'elle me lâche la grappe un peu, comme ça elle est contente.
- Elle me respecte même plus maintenant.
- C'est bon on oublie, je vais lui dire que je t'ai pas demander et que si elle veut savoir quelque chose, qu'elle te demande directement. Je veux pas foutre la merde entre vous.
- Non, c'est bon, tu peux lui dire, je vais fermer ma gueule et rien lui dire. Ça va être un enfer à la maison après, je veux éviter ça.
- D'accord merci.
- Je peux y aller maintenant ? Tu as rien d'autre à me dire ?
- Désoler de t'avoir embêter.
- C'est pas grave.Nous, nous levons, il s'approche de moi pour me prendre dans ses bras et embrasser mon crâne, je ferme les yeux en souriant.
Il empoigne mes joues et m'embrasse sauvagement en me portant, il m'allonge sur le bureau en me caressant, il attrape ma chemise qu'il déchire sous mes gémissements. Les bruits des boutons contre le sol se font entendre.
- Pao, t'es sure que ça va toi ?
J'ouvre les yeux, il est devant moi, toujours l'un en face de l'autre, je regarde mon chemisier qui est intact et fermer. Alors c'est vraiment ma tête qui imagine toutes ses choses avec Neymar.
- T'es avec moi ?
- Désoler, je suis avec toi.
- C'est qui ce mec Paoma que j'aille lui fracasser le crâne ? Tu peux me le dire si il te fait prendre de la drogue.
- Ça va aller maintenant, à vrai dire j'ai juste coucher deux fois avec lui mais il est apparut aussi vite qu'il est partit, il a pas vraiment existé.
- Il t'a fait du mal ?
- Non, il était vraiment gentil avec moi. Vous, vous seriez bien entendu tellement vous, vous ressemblez.
- Je sais que j'ai aucun ordre à te donner mais je te considère comme ma fille biologique alors je veux plus que tu le vois.
- Je le verrais plus, promis.
- Génial; sourit-il. Si tu as besoin de parler je suis là.
- Et toi aussi si tu ressens le besoin de parler je suis là.On se fait un câlin, il me considère comme sa fille biologique alors que dans ma tête c'est loin d'être réciproque, je le vois pas comme mon père, je fantasme sur lui au point où je me vois dans des positions sexuelles avec lui, et ça paraissais toujours réelle. je dois me repentir et stopper ses visions malsaines.
- À tout de suite alors; caresse-t-il ma joue.
- Avec ce qui s'est passer avec maman, je crois que c'est mieux que je prenne mon envole et que je déménage.
- Tu verras c'est cool de prendre son indépendance mais j'espère que tu nous oublieras pas et que tu viendras nous voir hein ?
- Je me déplacerais pour voir Davi et toi mais c'est tout
- Tu comptes partir quand ?
- Le plus tôt possible, j'ai besoin d'avoir mon chez moi et de m'éloigner de... vous.
- Pourtant on est de bonne compagnie.
- J'ai pas dit le contraire.
- Je sais Pao, je comprends ce que tu veux dire, je te taquine; sourit-il.
- Je vais dormir chez une copine, le temps que je trouve un studio.
- À ce point la ?
- Ouais, faut que je m'éloigne d'elle. J'ai besoin de respirer et de me sentir libre.
- Tu as bien de la chance parce que ça risque pas de m'arriver, je t'envie. Si un jour je m'engueule avec ta mère je saurais où aller, puisque que tu ne voudras certainement pas d'elle chez toi.J'acquiesce en lui souriant. C'est pas vraiment elle que je fuis, mais si je la fuis alors je le fuis aussi et c'est ce que je veux, le fuir. Pour pouvoir remettre mon esprit dans l'ordre et remettre les choses dans leurs contextes.
Je vais rester dormir à l'institut et essayer de trouver un studio pas loin d'ici histoire de rester dans le secteur.
- Du coup je vais prévenir ta mère, j'espère qu'on se verra bientôt, ça va nous faire bizarre d'être plus que trois. Davi risque de ne pas être très content.
- Si il n'est pas content dit lui qu'il pourra squatter chez moi et que la porte sera toujours grande ouverte.
- Je lui dirais; sourit-il.Il embrasse mon front puis s'en va. C'est la meilleure chose à faire, depuis que Davi a insinuer qu'on couchait ensemble mon esprit est partit en couille et à imaginer tout un tas de chose avec mon beau-père. Je sais pas c'est quoi le pire entre imaginer de coucher avec l'homme de sa mère ou aimer faire l'amour avec l'homme de sa mère alors qu'il n'y a eu aucun rapport sexuel entre nous, juste beaucoup d'imagination.
Je devrais avoir honte mais non, j'ai aimée imaginer toutes ses choses et j'ai pris mon pieds. Mais il faudrait que je songe à trouver un mec ou un plan cul parce que le manque de sexe commence à se faire sentir dans la vie après 3 ans d'abstinence involontaire.
FIN.
***
Aimé par brunamarquezine, rodrigosantoro et 376 744 autres personnes.
paomasantoro 🍸
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Fantasme interdit
FanfictionDébut écriture ⇢ 12 octobre 2020. Fin écriture ⇢ 28 octobre 2020. Début publication ⇢ 5 janvier 2021. Fin publication ⇢ 19 janvier 2021. « - Je t'ai vue l'embrasser ce matin, ne ment pas. - Il m'a embrassé sur la joue, t'es malade toi. ...