Fantasme interdit

9

2020, jeudi 10 septembre, Paris. 09h03

Je me réveille, je sens quelqu'un contre mon dos et d'après ce que je sens ce n'est pas une fille. Ma tête est poser contre un bras je crois et mes doigts sont enlacer à d'autres doigts. J'ouvre les yeux de panique, le bras sur laquelle ma tête repose est remplis de tatouage que je connais très bien. Je retire immédiatement mes doigts en m'asseyant. Je suis nu et il est nu.

    - Réveille-toi bordel; dis-je en le secouant.
    - Huuuum.
    - Neymar s'il te plaît reveille-toi. Davi peut nous trouver ensemble.
    - Il est quel heure ? Demande-t-il la voix rauque.
    - Neuf heure cinq.
    - Il est certainement déjà partit.
    - C'est pas une raison, on a fait une putain de connerie; soufflais-je. Putain pourquoi tu ne m'as pas arrêter ?
    - Parce que j'en avait autant envie que toi.

Mais il est matrixé ce mec. Il a trompé ma mère avec... MOI. Sa fille, quelle genre de progéniture je suis ? Le pire dans tout ça, c'est que c'est de ma faute, c'est moi qui ai commencer.

Je suis allonger sur mon lit, les yeux fermer. Je repense à ce qui vient de se passer à l'instant. Son baiser était loin d'être désagréable bien au contraire mais il faut qu'on discute et qu'on mette les choses au clair.

    - Neymar; criais-je.

Il ne met pas de temps à revenir dans ma chambre, il ferme la porte en s'approchant encore une fois hésitant. Je me lève de mon lit pour me mettre face à lui.

    - Maman ne doit pas le savoir.
    - Je ne compte pas aller lui rapporter, je tiens à ma vie.
    - C'était une erreur et ça ce reproduira plus jamais.
    - Je suis d'accord, il s'est rien passé.

J'acquiesce puis le fixe, il fait de même. Je me précipite sur lui pour me jeter sur ses lèvres. Ses mains se posent sur mes cuisses qu'ils surélèvent, je les scelles à ses hanches alors qu'il me plaque sauvagement contre la porte de ma chambre, je pose ma main droite derrière sa tête que je maintiens fermement. Un baiser fougueux se fait sous nos respirations haletantes.

Il me décolle de la porte pour me plaquer cette fois-ci contre le matelas. Il se relève pour se déshabillé, je retire les tissus qui emprisonnent mon corps en les jetant au sol. On se toise du regard, de la tête aux pieds, un rictus satisfait apparaît sur son visage. Il pose ses mains sur moi et entame des caresses.

Je me retiens de gémir, ça fait bien trop longtemps que j'ai pas fait l'amour alors je peux rapidement démarrer au quart de tour. Il ne me connaît pas donc ne sait pas comment me faire jouir rapidement.

Il maintient ma poitrine fermement de ses mains immense et vient jouer avec, je regarde ses mains s'amuser avec mes seins en mordant mes joues. Ses index viennent volontairement frôler mes tétons, je scelle mes lèvres pour ne laisser aucun bruit s'échapper. Sa bouche se plaque à mon téton gauche, je sens sa langue sensuel, caresser mon téton, il finit par suçoter mon téton. Je ne tiens vraiment plus, j'arrive plus à me retenir, je me mets à gémir, mes entrejambes sont en feu tandis que ma culotte est complètement tremper.

Me voilà le devant du corps plaquer contre le matelas, mon dos cambrer et mes fesses surélevaient, je sens ses mains caressaient la chute de mes reins.

    - Ton fessier est magnifique; dit-il en me fessant.

Je me mords la lèvre en souriant, sa main droite se pose sur ma nuque qu'il maintient et serre. Je le sens titiller mon vagin avec son pénis, je gémis encore et encore malgré que je me retienne encore énormément.