Fremione - un détail qui peut tout changer

Chapitre 31 : Quand la paix est synonyme de fin (partie 1)

Tendrement, il l'attira à lui et joignit ses lèvres aux siennes , ce désir bien trop longtemps frustré était enfin comblé. Doucement, leurs lèvres commencèrent à s'entremêler pour devenir plus sauvage. Hermione fit basculer le rouquin sur le dos pour venir sur lui à califourchon, elle remonta son t-shirt de ses deux mains qui semblaient redécouvrir ce corps musclé à l'odeur boisée qui lui avait tant manqué. Fred, amoureusement, glissait ses doigts le long de ses hanches, puis ses côtes, les seins, son cou, son visage pour les réunir dans sa chevelure indomptée en une queue de cheval, il les fit ensuite redescendre le long de ses oreilles puis sur sa colonne vertébral pour rejoindre ses fesses. Hermione lui retira son t-shirt et le sien, puis désireuse de se sentir complétement en symbiose avec lui, elle lui retira son pantalon et son boxer. Etonné par cette rapidité, il bascula la jeune fille et finit de la déshabiller pour pouvoir goûter à son jardin secret, la sorcière sentit monter en elle la chaleur et l'orgasme pointer son nez. Jouant avec sa langue, il lui procurait un plaisir sans nom, il la vit attraper le drap et le serrer fort dans chacune de ses mains. Se mordant les lèvres, la sorcière tentait tant bien que mal de ne pas jouir bruyamment.

- J'aurais dû jeter un assurdiato... gémit-elle

Fred sourit et remonta ses lèvres sur le torse de la jeune femme pour ensuite unir leurs bouches. Souhaitant satisfaire ses désirs, il la pénétra et fit plusieurs aller -retours lentement, puis profondément, rapidement puis après quelques minutes, sous les caresses et les gémissement de la jeune femme, ils jouirent à l'unisson. Rouges et essoufflés, ils s'allongèrent et s'enlacèrent, profitant de cette bulle fantastique qu'aucun des deux ne voulaient éclater. Ils finirent par s'endormir d'un sommeil où ils se sentirent en sécurité et surtout apaisés.

TOC TOC TOC

- Hermione ! je cherche mon double, si tu es là Freddie, on va bientôt partir, Maman nous attends pour le dîner.

George commença à tourner les talons puis se ravisa et dit:

- Ne m'obligez pas à entrer dans la chambre, sinon je me sentirais obliger de venir vous rejoindre!!

Ils se rhabillèrent, et descendirent légèrement gênés dans le salon, lorsqu'ils entrèrent, tout les visages se tournèrent vers eux.

-J'ai soulagé l'avant bras d'Hermione, en lui préparant un cataplasme aux algues et quelques sortilèges, puis on a discuté et on s'est endormi.

L'assemblée jeta un regard entendu puis fit un sourire hormis Ron qui maugréa :

- Il n'y a pas que ça que tu as soulagé...

- Si tu pouvais nous éviter tes sarcasmes Ronald. s'agaça Hermione

- Je faisais juste une remarque constructive...

- Une remarque CONSTRUCTIVE!!!!! s'enerva la sorcière

- Hermione... tenta de calmer Harry

- Non Harry, il nous a lâchement abandonné, je l'ai presque pardonné par ses gentilles attentions mais son vrai visage revient au galop....

- Au quoi? chuchota George

Mais Fred ne répondit pas, Harry avait omit ce détail lors de son récit, mais, se doutant de la réaction de Hermione, il n'avait rien dit.

- Tu les as vraiment abandonné Ronald ? Et où étais-tu, nous n'avons pas eu le plaisir de ta visite! demanda Fred furieux

Ron penaud regardait ses pieds. Bill prit la parole :

- Il était ici...

- Et tu ne nous as rien dit? répondit le rouquin tristement

- J'ai promis à Ron...