Chapitre 6

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Le regard vide , divaguant sur les quelque lueurs qui illuminaient encore ce ciel monstrueusement sombre. Malgré ça, ma main froide avait essayé de la retenir .

«-T/p je vous en supplie laissez moi vous expliquez ...»

«-Suis-je la source de cette couleur mélancolique dans vos yeux ...? Qu'ai-je donc fait pour vous rendre si malheureux ...?»

«-Ce n'est pas vous c'est moi ...J'aimerais tout vous dires , ainsi vous serrez dans mes bras. Retrouvant enfin ma chaleur d'auparavant ... Mais si je vous dévoile tout , je disparaitrait . J'ère sur ce monde tel un pécher enfuie je ne peux partir. Simplement rester là les années passant voyant chaque Siècle ma bien aimé disparaitre, comme un remord. Le remords de sa mort de l'avoir laisser mourir devant moi sans ne pouvoir rien y faire encre et encore. Je veux retrouver mon ange ...»

Sa main touchant ma joue si froide essuyant mes larmes tendrement , sentant ses douces lèvres sur ma joue. Mes lèvres aimerait se celer au siennes , mais un voile noir se plaça devant mes yeux. Me réveillant dans une chambre sombre. Je le savais ce n'était qu'un rêve je ne lui ai rien dit de tout cela juste un rêve. Un rêve qui n'existera jamais.

Me regardant dans le miroir , le soir c'était coucher. L'aube avait fait sont apparition, le bout de mes doigts avait pris un couleur transparente. Et si mon heure était bientôt venu dans tout cela. Si je n'arrivais pas à ressourdre se pêcher qui m'habite depuis si longtemps ? Vais-je disparaître sans lui avoir dit la vérité sur tout cela.

Je veux la serrer contre moi , criez à quel point je l'aime. Revivre nos premières années. Ô ma bien aimée et si on valssait une dernière danse , sous la douce lumière de l'aube et une fois la nuit tombée je disparaîtrait tel un fantôme.

Le jeune homme entamma une douce danse solitaire , dans la chute de l'aube. Une douce mélodie au piano , un pas , puis deux , enfin trois . La lune était tombé , entraînant dans sa chute ce jeune homme. Sa chute non pas dans l'autre monde , mais dans l'obscurité d'un pêcher , ce pécher obscure qu'est la culpabilité.

À genoux au sol , des cris d'effroi ,de terreur sortait de ses lèvres. Des cris inaudible , mais pourtant laissant paraître toute la tristesse qui l'habite. Comme si il revivait encore et encore la mort de sa bien aimée. Il pleure , il crit , jusqu'à en perdre la voix et les larmes. Regardant la bague de sa bien aimée , chaque soir il tente de s'en débarrasser mais en vint. L'esprit de celle-ci le détruisant à jamais.

𝑀𝑦 𝑆ℎ𝑎𝑑𝑜𝑤 𝑀𝑦 𝐿𝑖𝑔ℎ𝑡 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant