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Le plus douloureux dans tout sa, reste ne pas pouvoir fixer tes yeux.
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AïdaProduction








La lumière du soleil filtrant à travers les fenêtres, réchauffant la pièce, Anaya se remua entre des draps en coton qui paraissaient plus doux que dans ses souvenirs. Son cou lui faisait légèrement mal, une petite douleur la força à se lever en sursaut.

Tenant sa tête contre sa main droite, d'une respiration erratique, elle fixa la chemise noire qu'elle portait.. Mon Dieu. Tout lui revenait à présent. .. Tout.

Sans prendre le temps de réfléchir ni de comprendre d'où lui venait cette chemise, Elle laissa tomber les draps sur le lit avant de courir vers la fenêtre.. Instinct de survie. Pensa t'elle inconsciemment.

Anaya avait si peur qu'elle n'agissait pas normalement et analisait pas le ... Danger.

Et lorsqu'elle allait pour franchir le barrage vue qu'elle hors de la fenêtre maintenant, un bruit d'arme se déclenche ainsi qu'un parfum viril qu'elle reconnut aussi vite fit battre son cœur en un temps record, ses mains ont recommencé à trembler lui empêchant de faire ne ce reste qu'un mouvement,

Allait-il se mettre en colère à présent ?

Une voix rauque et imposante la fit sursauter dangereusement.

Jamal - Je ne tiens pas à ce que vous voyez la mort aussi près, ni une arme, alors je vais la ranger... - Cache son arme - Maintenant vous allez sagement me tendre ces mains de bébé et ne bougez surtout pas !. - Ordonna t'il sur un ton bizarrement inquiet qu'il ne laissait voir -

Anaya garda son calme malgré les battements de son cœur rapide. Le danger c'était pas les mètres qui l'a séparer bien évidemment du sol ... Mais le Mâle virile derrière elle. ... Elle en avait conscience.

Fermant les yeux pour ne plus avoir le vertige,

Elle se risqua un mot.

- ... A quoi bon voul .. oir me sauver si c'est pour me ... Me tuer ap -

Jamal - Donnez moi la main. - Articulant, Gronda le mafieux une nouvelle fois -

Anaya - Vous êtes un monstre.. Plutôt que d'être avec vous, je préfère - Regarde en bas - J'espère que vous aurez ma mort sur votre cons - Ah.

Hamid -  Je tiens la petite brebis égarée qui voulait sauter, voyez vous sa.

Jamal passa ses mains sur son visage en marmonnant dans sa barbe néanmoins rassuré. Il observa la jeune .. femme dans les bras de son ami, les yeux fermés, elle s'accrochait si fort à sa chemise,

Pendant une seconde, il s'en voulait bizarrement.

Il devra lui faire peur pour qu'elle ne refasse plus la même idiotie.

Il échangea dans sa langue profonde avec Hamid faisant craquer ses poings.

Il prit une chaise et se pose dessus prenant l'allure d'un puissant mafieux aux airs de meurtriers, son regard ne se détachait pas de ses beaux yeux clairs apeuré, ses petites mains fragile agripper les coussins, et ses mollets nus ...

Même si il voulait il voulait conserver cette haine qui brûlait dans ses veines, Jamal devrait se l'avouer... Cette petite était de loin la plus la plus ..

Les mots ne suffisaient pour la décrire,

Serrant ses poings violemment dans ses poches faisant montrer ses veines sur sa nuque, Jamal fit craquer son cou se redressant légèrement les mâchoires légèrement contractées. Il savait qu'elle allait avoir peur .. Il n'avait plus le choix.

- Regardez moi maintenant. - D'une voix contrôlée -

Anaya sursauta refusant de se lever. Son cœur ne cessait de tambouriner dans sa poitrine. Mon Dieu, cet homme était... Mieux que ne le décrivait Estelle... Elle ne pouvait pas le regarder dans les yeux avec cette beauté captivante dont il avait le charme... Ses muscles fermés dans une chemise blanche était à perdre le souffle. Son regard était avide de vengeance, froid, d'une dangerosité flippant ... Faisant froid dans le dos mélanger avec cette beauté.

Anaya - Pou.. Pourquoi vous me gardez ici? - Fit-elle d'une petite voix tremblante - Vous.. C'est mon p -

Sur les nerfs,

Jamal se leva brutalement faisant tomber la chaise Anaya qui sursauta en même temps tomba nez à nez avec ses traits de visage dur. Levant sa main, il empoigne néanmoins doucement son menton pour la forcer à le regarder droit dans les yeux.

Anaya sentit au moins une vague de frissons lents et bizarre attendrir son corps, ses doigts creusaient ses joues pleines captant son regard qui bizarrement ... Avait changé d'émotions.

Jamal - La prochaine fois où vous essayer de déplacer vos petits pieds de bébé en dehors de ce lit, si vous essayez de me voir en colère, alors, ces pieds et ses petites mains ... seront poings et pieds liés. - Baisse lentement sa tête - Me suis-je fait comprendre? - Clame t'il d'une voix rauque et puissante -

Anaya même si elle avait peur, essaya de dégager ses grosses mains sur son visage ce qui le fit grogner en la relâchant en ressentant comme un courant glisser dans ses veines. Il contracta ses mâchoires si violemment qu'il dût détourner son visage pour ne pas qu'elle le voit dans cet état.

Jamal n'en revenait pas de vouloir enfouir cette face de lui face à ...

Jamais il ne prenait la peine de cacher cette dangerosité qui brûlait dans ses yeux.
Merde, refoula t'il intérieurement.

Il plongea ses mains dans sa poche et y ressors une montre magnifique, noire et très petite. Mais ce n'était pas une simple montre..

Anaya plongea ses pieds à l'intérieur des draps et sa tête sur les nombreux coussins. Elle avait les larmes au bord des yeux et ferma lentement les yeux, une seconde plus tard, elle sentit à nouveau ses doigts sur sa peau la faisant à nouveau frissonner. Son coeur se mit à battre plus que le normal,

Elle le vit attacher une "montre" magnifique sur son poignet ne comprenant pas, elle essaya de détacher sa main, il la retint toujours la tête baissée,

Anaya - Que -

Jamal finit d'attacher la petite montre presque invisible et se releva.

Jamal - Prenez un bain... Ensuite une femme de ménage viendra vous apporter votre petit déjeuner et quoi ...  Grince des dents - S'habiller.

Il se dirigea d'une démarche lente vers la porte où se tenait deux gardes, il échangea avec eux durement dans sa langue avant de relever les manches de sa chemise et se retourner vers elle qui avait le dos tourné,

Jamal refoula ses tempes bourgeonnant en se haïssant pour ce qu'il était entrain de ressentir..

Jamal - Je reviendrais voir si vous êtes sage et alors la seulement ...

La porte se referma lentement sans finir sa phrase remplie de suspens.

Essouflés tout deux par leur propre sentiment, chacun chercha son moyen de les refouler comme si ce n'était pas un sentiment .... logique..

La vengeance du mâle.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant