The Telephone 2

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Mais cette force, cette envie de le voir me donner la puissance d'avancer.
Quelques minutes plus tard tard le bus s'arrêta et j'y suis monter. Quand je fut dans l'allée principale je marchais et je dévisageais tout le monde, en vérité je cherchais Lucas. Je m'assois au fond, il n'était pas là. Je n'avais pas envie de faire quelque chose pour tuer le temps je contemplais le paysage, celui que j'admire et sur lequel je ne me lasse jamais !
" J'aurais voulu le voir " me disais-je en regardant mon reflet dans la vitre.
Mais, je n'apprécie jamais me regarder, du moins mon visage. Quand ont était arrivée je descendus assez déçus, je me suis dit que cette journée se passera mieux. Les cours étaient toujours aussi ennuyant, mais instructif. Les remarques des élèves complètement stupide m'exaspère " Madame ! On dirait que ça ressemble à un triangle " qu'ils disaient ! Ayez un peu de maturité... Aux pause du midi ou récréation, j'essayais de pas faire de crise, pour ma mère. Je voulais qu'elle soit fière de moi, qu'elle m'admire juste une seconde comme moi je l'admire !
Le soir venue je pris le bus, cette fois j'étais là première et je me m'y au fond. Le chauffeur me regarda et me souria, je le fit en retour. Je mis mon casque sur ma tête et lança la musique, elle était très belle. Le bus se remplit au fur et à mesure de la chanson, c'était plaisant à voir comme s'ils avançaient ce l'on le son. Quand il fut remplis nous pouvions donc partir. Puis rapidement arriva mon arrêt, je descendis comme à mon habitude. Un soupire sortie de ma bouche, je regardais le bout de mes souliers en me disant " Je ne veux pas rentrer chez moi " puis une larme s'échappa de mon œil. Je m'empresse de l'essuyer, et de marcher vers ma rue.
Quand j'avançais les pas étaient de plus en plus long. Mais je préfère ne pas y faire attention et me concentrer sur les chemins que j'emprunte.
Puis, je reçus un message de ma mère, où il disait : " J'ai des soucis au travail, je te confie la maison. Je te fais confiance, et mange le reste de pâtes ! "
C'est du maman tout cracher...Toujours aussi impressionnante...
Enfin, je marche dans la rue, en cherchant mes clés de maison dans mes poches de veste. Putain je l'es ai mis où ?! Je me mis accroupie pour voir dans mon sac sauf que, un homme me bouscule...
Mk ; Oh ! Regarde où tu marches !
Lucas ; Désolée je ne vous avez pas v-... Mary-Kate's ?
Oh ! Lucas ! Mais que fais t-il ici ! Il était pas là pas ce matin
Mk ; Excuse moi... Je suis tendue en ce moment...
Lucas ; Pas grave Mary-Kate's, pas grave
Mk ; Appelle moi Mk s'il te plaît
Lucas ; Ça veut dire que tu me considère comme un ami ?
Mk ; Oui bien sur !
Lucas ; Mais on ne se connaît à peine...
Mk ; Je t'invite à la maison alors !
Lucas ; Tu me fais peur Mary's
Mk ; Lucas.. Tu n'as qu'à prévenir tes parents comme ça il savent où tu es si il t'arrive quoi que ce soit !
Lui disais-je en souriant pour qu'il craque et accepte...
Lucas ; C'est d'accord...
Yes ! Bon, maintenant prions pour que la maison ne soit pas salle...
Sur le chemin, donc je lui posa quelques questions pour passer le temps !
Mk ; Que faisait tu ici ?
Lucas ; Je marchais sauf que visiblement trop vite pour certaine personne
Il me dis ça en me donnant quelques coûts au côte pour me faire rigoler et sa me l'a fait !
Quand on était arrivé je le fit rentrée. Il me disait que ma maison était magnifique, je le remercie. Je pris sa sa veste fine et douce d'ailleurs, que je posa sur le porte manteau..
Lucas ; Ceci est le salon je suppose
Mk ; Tu suppose bien ! Assis toi je t'en prie
Lucas ; Merci
Je n'aimais pas les blancs comme ça... C'est énormément gênant pour moi comme pour lui... Je m'assois donc à côté de lui et lui donne une canette de coca.
Mk ; Shin shin !
Lucas ; Shin !
Nous buvons en silence nos cannettes de coca...
Lucas ; Alors, parlons de toi !
Oh non... Le parlons de toi... Je n'aime pas du tout ça ! Loin de ça ! Mais bon c'est Lucas c'est mon amis...
Je le lui raconta tout de ma vie, de mon père et de ma mère, de ma maladie et encore... Après que je fini de parler Lucas me regardais, impressionnée.
Lucas ; Wow... Mk, tu es quelqu'un de très courageuse et tu peux en être fière !
Mk ; On est toujours amis hein ?
Lucas ; Quel question bien sur que oui !
Mk ; Les gens, enfin, personne n'apprécie Gwen
Lucas ; Moi j'aime beaucoup Mary-Kate's, et si dans Mary-Kate's il y a Gwen alors j'aime Gwen aussi !
Mk ; Oh Lucas !
Je lui sauta dessus et lui fit un câlin... Son odeur de parfum d'homme qui rentrais dans mes narine me faisait du bien... Mais après réflexion c'était trop tôt...
Mk ; Désolé..
Lucas : Sa ne fait rien ! Tu dois m'excuser mais je dois y aller..
Mk ; Merci encore Lucas !
Lucas ; De rien Mk, au revoir
Je referma la porte, puis je couru en haut. Dans ma chambre. J'étais au ange j'avais un vrai ami ! Un ami fidèle. Puis se ne n'ai que le début !
Les jours suivants nous passions beaucoup de temps ensemble, même si nous étions pas dans la même école ou situation d'ailleurs ! Puis ça aller faire maintenant 3 mois que nous nous sommes rapproché...Nous étions devenus vraiment proche, mais ma mère n'acceptait pas que je sois ami avec un garçon.
Mère ; Tu vas tomber amoureuse de lui et sa ne vas pas t'aider dans ta maladie !
Mk ; Oui maman c'est ça !
Mère ; Gwen tu vas arrêter cette air arrogant !
Mk ; Je te demande pardon ?
Je m'étais approchée près de son visage, tellement près qu'elle me frappa à ma figure.
Sous sa force je tombe au sol, sa marque de main est sur ma joue qui elle, brûle.
Mère ; Comme ça tu comprends ingrate !
Par terre sentant encore la douleur, je ne sais pas pourquoi et je ne le serais jamais, mais pour moi c'était le bon moment pour aller faire ce que je pensais depuis quelques mois...
Je me leva vite et courus dans la chambre de ma mère où elle m'était toutes ses lettres dans un tiroir. Le soucis c'est qu'il était fermé à clefs. Je me mis à chercher dans tous les recoins en pensant chaque seconde si ma mère allait monter. En fouillant l'armoire de ma mère, je trouva enfin celle-ci dans une des vieille vestes de mon père. Quand je l'avais dans les mains j'aperçus une étiquette qui était devenue jaune avec le temps, qui avait l'air visiblement écrit à la main, à l'encre. " Letter " qui y avait écrit ! J'essayais d'ouvrir le tiroir, après quelques tours, le tiroir était ouvert. De dans, pleins de lettres étaient en désordre. La chose commune qu'ils avaient tous, étaient le nom " Dolph ". J'eu un pincement au cœur quand je lut ce nom, mon père envoyer des lettres à mère depuis maintenant longtemps... Quand est-ce qu'elle m'en avait parlé ? Elle ne m'en a jamais parlé en fait... Je referma le tiroir, remit la clef à sa place et resta bouche-bé jusqu'à aller dans ma chambre, et dans celle-ci je m'étale sur mon lit. Comme une vieille crêpe... Je sentais la haine entrer en moi, la colère et surtout la vengeance.
Je me tenais là à quelques mètres d'elle, de ma cruelle de mère. J'étais droite et je n'avais pas peur, oh non loin de ça !
Mère ; Que fais-tu, retourne dans ta chambre à moins que tu ne veuilles pas manger ce soir !
Mk ; C'est toi qui ne vas pas manger ce soir.
Lui disait-je sèchement et clairement.
Mère ; Mary-Kate's ?
Mk ; Mary-Kate's n'est pas là
Mère ; Gwen !
Je me jetta sur elle et la frappa de toute mes forces. J'étais sur son ventre et je sentais qu'elle essayait de se défendre sauf que j'enchaîne les coups et je ne m'arrête plus. Elle me frappe le visage pour me dire d'arrêter sauf que, je pends ça tête et je la frappe contre le sol. Cela durait pendant plus de 20 minutes puis après encore un coup contre le sol elle ne bougeait plus. Son corps était inanimés quand je leva sa tête, qui était si légère maintenant, je vus du sang qui coulait.
Je tomba dans les pommes à quelques centimètres de ma mère.
Quand je me réveilla je me suis demandé si c'était un rêve, sauf que non, ma mère était bien là à côté de moi du sang partout autour d'elle même.

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