Chapitre 3

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Au domaine Ousmanof :

Je sens que quelque chose ne va pas, Isaak est différent depuis quelque temps.

Je ne peux pas laisser mon mari m'échapper il en est de question , Izaak est a moi.

Je prend mon téléphone, pour appelé la seul personne qui ma aider a avoir mon mari et qui m'aidera a la garder , dans son propre interêt.

-Pavel, nous avons un problème

Voilà 2 jours que je suis dans ce motel, ce n'est pas la grand luxe ici, la papier peint sur les mur se décolle , la chambre sent l'humidité, et ne parlons même pas de l'eau chaude je n'en ai jamais, mais ces tout se que je peux moffrir pour l'instant.

Il me reste plus ou moins encore 3 jours avant de ne plus avoir dargent pour payer ma chambre.

Depuis que je suis ici je fais les petites annonces a la rechercher d'un travail, j'ai déjà été me présenter a plusieurs endroit mais malheureusement il faut de l'expérience et je n'en ai pas, pas étonnant quand on est arracher a sa vie du jours ou lendemain , je n'ai même pas eu le temps de fnir mes études, je ne sais pas comment je vais m'en sortir, et il est hors de question que je retourne au pays , pas après se que on ma fais.

Mon pays me manque, la beauté des paysages , se qu'il me manque le plus, ces que je ne sais plus aller sur la tombe de maman pour me confier je n'ai personnes a qui parler depuis que je suis ici, même quand je travaillais dans l'hôtel qui ma virée après avoir refuser de coucher avec un homme fortuné, les autres filles ne me parlais jamais jetais « la fille de l'Est » voilà comment on m'appelle depuis que je suis ici a New-york, le patron ma dis que vu que je venais de las bas je devais connaître la prostitution, comme si nous étions toute comme ça . Je n'ai jamais coucher avec un garçon , je n'ai même jamais eu de petit copain lorsque j'étais au pays, et avec se qu'il sait passer quand je suis arrivé ici , jai peur des hommes maintenant.

Alors que je suis dans mes pensées on toque a la porte du motel, je me fige me demandant bien qui a peut bien venir, j'espère que ce nest pas encore le voisin pour m'inviter a sortir ;

-Qui est ce ? demandais- je , car hors que question que jouvre directement.

-Mira, ouvrez je ne vous veux aucun mal. me dis un voix grave qui me fait me figé directement j'ai déjà entendu cette voix quelque part mais ou ?

Alors que je pars dans mes pensée pour savoir d'où viens cette voix, j'ai bon chercher je sais que je lai déjà entendu rha que sa m'énerve

-Mira s'il vous plait, résonne cette voix qui me sors mes pensées

Et sans que je en sache pourquoi j'en trouve la porte et la je me fige de stupéfaction de revoir l'homme qui ma sauvée il y 9 ans .

-Qu.. Que Voulez vous monsieur ? lui dis la voix tremblante

Je le vois froncé ces épaix sourcils en me regardant de haut en bas, et je le vos serrer les point, je prend donc peut et essaye de refermer directement le porte, mais une chaussure noir bloque la porte.

-Mademoiselle je n'aime pas me répéter je ne vous veux aucun mal, je souhaite juste discuter avec vous, avez vous déjà manger. Je secoue la tête pour lui dire que non.

-Prenez votre manteau et venez nous allons aller manger, je dois vous parler, je vous attend a la voiture ne trainer pas je n'aime être dans des endroit comme celui-ci. Me dit il dun ton froid qui me fais frémir de peur.

Je le regarde partir , je le vois se retourner pour me regarder de son regard ténébreux, me fesant comprendre de me dépêcher, je rentre ferme la porte m'adosse a celle-ci et souffle un bon, je prend ensuite ma veste, et mon sac a main en regardant que mes maigres sous son bien dedans , je sors de la chambre et vérifiant quelle soit bien fermer et me dirige vers lhomme ténébreux, je le vois adosser a une grosse berline noir de luxe et je sens mes jambes trembler, allais Mira courage me dis je , je souffle un bon coup.

La Tchèque et lui Où les histoires vivent. Découvrez maintenant