Chapitre 10

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Après m'avoir dit cette phrase en russe, Isaak à quitter la chambre en me demandent de me reposer, mais je n'ai pas su fermer les yeux, je n'ai fais que pensée a ce q'uil ma dis, il ma dis qu'il avait besoin de moi, mais comment peut il avoir besoin de moi alors qu'il a déjà tout.

Se serais plutôt moi qui aurais besoin de lui, je ne sais pas se quun homme comme a lui a besoin.

En aillant marre dêtre dans cette chambre et en voyant qu'il est presque 19 heures je décide de chercher en boitant dû à la morsure après la cuisine pour pouvoir préparer à manger a Isaak .

Après plusieurs minutes de recherche j'ai enfin réussi a trouvée cette cuisine et mon dieu, elle est magnifique toute femme rêverais davoir une cuisine pareille.

Je me dirige vers le frigo pour regarder ce que je peux faire, et je trouve de la viande hachée ainsi que des tomates fraîches , super ce soir se sera pâtes à la bolognaise, j'adore cuisiner donc cela ne me dérange pas. Je commence a faire cuire doucement la viande dans une casserole assez grande, pendant que le viande rejette leau quelle contient je m'occupe de couper les oignons, je les met avec la viande et j'y met les tomates et je laisse cuire a feu doux pendant une bonne heure, pendant ce temps je vais faire des petits sablées. Je m'assied sur un des tabouret haut et réfléchis à se que je vais pouvoir dire a Issak a propos de ce qu'il ma dis tout a l'heure, car je dois avoir un discussion avec lui , je ne veux pas rester ainsi et faire comme si de rien n'étais .

La sauce est presque prête je fais donc cuire les pâtes, les sablées sont parfaits , alors qu'un sourire se dessine sur mon visage j'entend des pas provenant des escalier, je reste de dos et remue la sauce je l'entend se raclé légèrement la gorges.

-Sa sent vraiment bon ici, que faites-vous ? me demande til

-Ho , je me suis permise de préparer le repas, je suis désolé si je n'avais pas le droit dêtre ici. Lui répondais-je en baissant la tête.

Alors que j'ai toujours la tête baisser, je le vois arrivée vers moi , avec ses grande mains , il attrape mes joues et me relève la tête pour que nous puissions être yeux dans les yeux .

-Mira a présent tu es ici chez toi, tu peux faire tout se que tu veux ici . Me dit il

Je ne lui répond pas et me retourne pour voir si les pâtes sont cuite, elles le sont je les verses dans la passoir

-Pouvez vous mettre la table s'il vous plait ? Lui demandais je timidement

-Bien sûr me dit il avec un sourire. Et Mira arrête de me vouvoyer s'il te plait.

Et la je réagis comme une adolescente que je n'ai pas eu le temps d'être , je rougis il le remarque car il rigole, ce qui me fais rougir encore plus grr , malý idiot.

Une fois la table mise, j'apporte les assiettes et nous commençons a manger, dans un silence qui n'est pas gênant, je le regarde manger et il mange comme une si il étais une bête que l'on devait rassasier.

-Pourquoi manges-tu si vite ? Il relève la tête et me fixe sans rien dire, et on dirait qu'il est parti dans des souvenirs douloureux et je m'en veux davoir poser cette question.

Alors que j'étais sur le point de mexcuser, il me répond.

-J'ai pris cette habitude en prison, car nous navions pas vraiment le temps de manger lentement, nous avions entre 7 a 10 minutes pour manger, et au bout de ses quelques minutes, les gardiens te mettais hors du réfectoire et si tu navais pas fini tempi pour toi, tu n'auras rien jusqu'au prochain repas. Me dit il simplement comme s'il cherchait a ne pas montrer se quil ressentais vraiment.

-Je suis désolée je n'aurais pas dû te poser cette question.

-Ne t'en fais pas, cela ne me dérange pas d'en parler avec toi, et si jamais je ne suis pas encore prêt a te répondre a une de tes questions je te le dirais directement. Me dit il en souriant se que me rassure.

Nous continuons a manger tout en discutant de sujet normaux je lui pose quelques questions sur son travail et lui me pose des questions sur la Tchéquie.

Lorsque nous avons terminer je débarrasse la table et je mets la vaisselle sale dans le lave-vaisselle, j'apporte les sablées a tables.

-Veux-tu une tasse de café ou de thé pour que tu puisses gouter a mes sablées tu verra ils sont divins. Lui dis je un grand sourire sur les lèvres en repensant au moment où je les fessais avec maman.

-Je veux bien un café noir, Merci Mira et jai hâte de les gouter, car depuis mon bureau je pouvais sentir leur bonne odeur.

-D'ailleurs, tu ne ma pas dis comment tu as trouvé ma sauce ? Lui dis je en croisant les bras comme une enfant.

-Elle étais vraiment très bonne, la meilleure que je n'ai jamais manger.

Je lui déposé son café et je le regarde pendant qu'il mange un sablé j'attend en trépignant sur ma chaise en attente du verdict,

-Ils sont vraiment bon, bozhe moy. Dit il alors quil en reprend un autre.

Il à mangé la moitier des sablées que javais préparer se qu'il me fait super plaisir, mais je vais surement brisé le moment mais j'ai besoin d'avoir une discussion avec lui.

-Isaak, pourquoi m'avez-vous dis que vous aviez besoin de moi ? je ne comprend se que je peux vous apporter je n'ai rien a donné comme vous le savez ? Lui posais je enfin la question en recommençant le vouvoiement

-Parce que ces se que je ressent depuis que je t'ai vu la première fois je n'ai jamais su oublier ton visage, ni tes yeux, ses grâce a toi si j'ai survécu a la prison, je me suis battu ne me disant que je finirais pas te revoir, et dès que je n'ai plus été dans la possibilité de ne pas te voir je t'ai rechercher et te voilà ici. Me dit il d'un sérieux.

-Mais, je ne comprends pas pourquoi ?

-Parce que ces ainsi Mira. Me dit il dun ton sec.

-Je sais également que ton visa est terminé et que si tu te fais arrêter tu seras renvoyé en Tchéquie, et je sais que tu ne veux pas y retourner.

Mais comment fait-il pour savoir tous cela sur moi, ces très déstabilisant de savoir qui sais pratiquement tout sur ma vie depuis que je suis arrivée ici en Amérique.

Je ne sais rien sur lui, appart ce que j'ai pu lire dans la presse, je sais que cet homme est dangereux et crains dans le monde et étrangement je me sens en sécurité ici dans sa maison avec lui.

-Vykhodi za menya zamuzh, Mira , ya uveren ty smozhesh nauchit sya tyubit menya, a menya lyubit.

TRADUCTION :

-Maly idiot : Petit con (Tchéque)

-bozhe moy: Mon dieu (Russe)

-Vykhodi za menya zamuzh, Mira, ya uveren ty smozhesh nauchit sya tyubit menya, a menya lyubit. : Epouse moi Mira, je suis sûr que tu peux apprendre à m'aimer et moi à aimer. ( Russe)

La Tchèque et lui Où les histoires vivent. Découvrez maintenant