Chapitre 16

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Faire un marché

"Je pars pour la douche et tu parles déjà à d'autres gars." Alexandr a plaisanté, alors qu'il me regardait, ses cheveux mouillés lissés en arrière.

Il ne portait pas de t-shirt et sa poitrine nue me toucha le dos.

"Ce n'était pas comme ça." J'ai protesté, mes joues ont viré au rouge vif et mon cœur s'est mis à battre la chamade.

"Est-ce vrai?" Il a demandé avec un petit rire. "As-tu choisi ce que tu voulais pour le dîner?"

"Les pâtes seraient bien." J'ai répondu en refusant de regarder son beau visage. Honnêtement, le fait que je l'ai trouvé si attirant m'a énervé.

Il me tenait autour de la taille par derrière et j'aimais un peu ça, mais je ne devrais pas...non? Je veux dire, c'est mon kidnappeur.

"Encore italien?" Murmura Alexandr à mon oreille.

"Tu n'aimes pas la nourriture italienne?" Je murmurai en retour avec un sourire.

"J'adore ça, mais pas autant que tu le pensais." Il répondit puis le téléphone dans la pièce sonna comme un signal. "Ça doit être Karolek." Il a annoncé, alors qu'il me lâchait et se dirigea vers son téléphone sur la table de chevet. "Elle veut de l'italien, des pâtes et des trucs ... nous serons là dans environ une demi-heure." Alexandr a parlé à Karolek au téléphone.

Maintenant que je l'ai bien regardé, il ne portait plus qu'une serviette! Il m'a serré dans ses bras en portant juste ça !!!! À présent, mon visage était aussi rouge qu'une tomate et j'ai renoncé à avoir un rythme cardiaque régulier.

Il avait des tatouages ​​sur le dos et les bras avec des cicatrices, pour une raison quelconque, j'avais du mal à imaginer Alexandr comme ça. Il était toujours parfaitement habiller et penser qu'il avait des tatouages ​​était tout simplement étrange, il était bien construit, ce que tout le monde pouvait deviner qu'il est le chef d'une mafia russe et tout. Il était trop attirant pour son propre bien.

"Je vais te laisser pour que tu puisse te changer en privé." Ai-je suggéré en essayant de partir.

"Où pense-tu partir?" Demanda Alexandr, car je pouvais sentir ses yeux sur moi.

"Dehors."

"Où dehors?"

"Le salon peut-être."

"Habillée comme ça?"

"Quel est le problème avec ma tenue?"

"Tu es trop adorable."

"Oh ferme la." Dis-je en plaisantant, car je pouvais l'entendre se rapprocher.

"Regarde moi." Il a ordonné, mais j'ai refusé de le faire. Si je le faisais, il saurait exactement à quel point il a un impact sur moi. La dernière chose dont j'avais besoin était qu'il sache à quel point son corps à moitié nu me rendait faible. Ma tête tournait déjà et un mélange de curiosité et de désir m'envahit.

"As-tu peur de mon corps?" Il a demandé, sachant exactement pourquoi je refusais de le regarder.

"N-non."

Prisonnière [Histoire terminer✔️]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant