Chapitre 3

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PDV de Mélodie :

Ma povre tu doi soufrir a l'h qui l'é Ou pa Parce que j'é découver que ton pèr n'étai pa le gentil ptit mari et quil sort avec quelquun dautre que ta mèr
Anonyme

C'est ce qui était marqué. C'est ce qui m'a énervée. C'est ce que je n'ai pas voulus croire. C'est aussi ce qui m'a fait répondre méchamment a tout ce qui osait posé un regard appuyé sur moi. C'est-à-dire tout le monde. Sur le chemin, je vis mon père. J'ai voulu allé le saluer, mais il était occupé. Occupé avec quelqu'un. Et cette image à brisé la confiance que j'avais en lui. Après ce minuscule passage de tristesse, la colère pris le dessus. Je vais simplement utiliser deux adjectifs pour décrire la femme qui a et qui va détruire notre famille: sale et pot de peinture. Bon, je veux en utiliser des plus vulgaires mais elle ne mérite pas ma colère, cette grognasse. Alors comme ça, c'était vrai? Tout ce mis en place. Le silence de mes parents, les yeux froids de mon père. L'attention qu'il nous porté de moins en moins. D'un coup, j'eus honte de mes yeux, ces yeux bleus que j'avais héritée de lui, de ce monstre, de mon père. Inconsciemment, je me demanda si je n'étais pas comme mais je ne voulais pas lui ressemblait, ne serais-ce qu'un peu. Je ne sais pas pourquoi, je n'avais pas envie de pleurer. L'inconnu qui me servait de père me vis et je le regarda avec toute la colère du monde. Je s'approcha de lui.

"-Bonjour papa. 
-Bonjour, ça va?"

J'arrive pas à le croire! Il tien une autre fille que ma mère par la main et il me parle comme si il n'y avait rien!

"-Mais tout va bien, sur le meilleur des mondes.
-Je suis content pour toi, ma fille."

Et il sourit. De ce sourire qui me rendait si contente quand je le voyait. Maintenant? J'ai envie de foutre mon poing dans sa face, pour ne pas être vulgaire. Oui, je suis très polie.

"-Mais t'es sérieux, là?! Je te vois là, comme si c'était normal qu'une autre femme te tienne par la main.
-Mais c'est normal, ma fille, me répondis l'autre pouffe. Je suis ta mère maintenant. Et donc la femme de ton père. Maintenant, viens me faire un câlin!"

Mais elle est folle! Elle croit vraiment que je vais me précipiter dans ses bras, comme si je ne pensais plus à ma VRAIE mère?! On faisait la même taille alors je m'approche d'elle et lui fait le plus beau sourire hypocrite que j'avais en réserve. Elle abordait ce petit sourire qu'on a quand on gagne et elle ouvre grand les bras. Comment elle est trop moche!! Je lève ma main et la gifle avec toute ma force et ma colère. Elle et mon père étaient choqués et elle se touchait la joue à présent plus rouge qu'il y a deux seconde. Ça m'étonne d'ailleurs, vu la tonne de blush qu'elle avait! J'approche ma tête vers son oreille et lui chuchote de façon à ce que seulement elle l'entende:
"-Tu as peut-être gagnée un homme, mais moi, tu ne m'auras jamais. Même si, légalement, tu es ma mère."

Je recule et les contourne. Jonathan m'attrape le poignet et me force à le suivre. Je me débat et il finis par me lâchait. Je cours aussi vite que possible. Après 15 ans, il abandonne sa famille... C'est horrible et puis je pense a ma mère, celle qui m'a donnée vie, celle qui m'a soutenue, je sais qu'au moins jamais elle na m'abandonneras comme l'autre idiot! Je cours jusqu'à chez moi et quand j'entre, je vois une chose qui me brise le coeur. Ma mère, par terre, recroquevillée sur elle même, pleurant toute les larmes de son corps, ses yeux sont éteint et ses cheveux, comme plus foncée. Une pile de papier sont étendu devant elle et un mot attrire mon attention. DIVORCE. Je lâcha mon sac et m'assoit a coté d'elle. Je la sert fort dans mes bras et on reste comme ça un long moment jusqu'à ce qu'on sonne à la porte. Je me lève et garde ma mère près de moi et l'emmène dans ma chambre alors que l'interlocuteur continuait d'appuyer. Je veut faire le ménage dans sa chambre avant qu'elle y retourne. Je ne supporterait pas qu'elle y aille et que l'odeur de son ex-mari soit encore présente dans l'air. Je descends et vais ouvrir. Je vois un homme brun avec lunette de soleil, casquette de chauffeur et tout, et tout:

"-Bonjour mademoiselle Habley, je suis votre chauffeur.
-Oui je vois que vous êtes un chauffeur, mais pas le mien."

J'allais lui claquée la porte aux nez, mais il la bloqua avec son pied. Je lui rouvre et il rajouta une chose que je n'aurais pas voulus entendre et qu'il n'avait pas le droit de me dire:

"-C'est votre père qui m'envoie, vous devez allé a l'internat Naden Martix."

L'internatOù les histoires vivent. Découvrez maintenant