Chapitre 5

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PDV de Mélodie:

Pas facile a trouvée cette chambre. En faite, c'est parce que j'étais dans l'aile droite au lieu de la gauche. Et en ce moment même, je suis sur mon lit, mon portable sur la table de nuit, la musique a fond, et je chante. Je me souviens que ma tante m'a dit que je devrai être chanteuse plus tard parce que j'ai une belle voix. Personnellement, je ne trouve pas, mais ça me calme. Ça, et écrire. Mais c'est un secret. Personne n'a jamais lu mes histoires ni ne m'a écoutée chanter a part ma tante et ma mère. Ma mère. Je laissai des larmes coulées. Rien que pensait a elle me fait mal. J'espère qu'elle va bien. Je m'essuis les larmes et me leva. Je prends mon portable et l'éteins. Je vais vers le dressing de ma chambre et la je suis étonné en voyant sa taille. Déjà que ma chambre ici est grande, voir géante, le dressing, lui, fait ma presque mon ancienne chambre. Il y déjà des affaires, mais pas les miennes. Je m'approche et je vois des robes, des jeans, des leggings, des ballerines, des baskets, des tee-shirt, des jupes... Il y a de tout et pourtant il reste de la place. Puis, sur une petite étagère, il y a des lentille de couleur brun clair. Je pense que je dois l'ai porté et moi sa me dérange pas puisque j'ai honte de mes yeux. Je sors du dressing et on toque à la porte. Tête baissée, j'ouvre. C'était un garçon à en croire ses basket :

"-Salut! T'es la nouvelle?
-Ouais."

Puis là, blanc.

"-J'ai jamais vu quelqu'un fixait aussi longtemps le sol.
-Eh bas maintenant si.
-Tu peut regarder ma tête, au lieu de mes pieds.
-Et toi, tu peut pas dégagé? Je suis pas d'humeur...

J'allais fermée la porte, mais il la retint avec ses mains. Ils ont quoi à tous m'empêcher de fermé une porte, aujourd'hui?!

"-Mais tu peut pas allé t'occuper de tes affaires, par hasard?
-Non, désolé, je suis occupé a t'embêter!
-Crétin, chuchotai-je.
-Quoi?
-Rien, je me demandai si on pouvait être assez idiot au point d'énerver une fille qui a vécu ma journée.
-Apparemment, c'est possible."

J'en pouvais plus. Ma main partit toute seule pour la deuxième fois de la journée. Il est si déstabilisé que j'en profite pour fermer la porte. Apparemment, il n'a pas l'habitude. Pauvre chou! Il va être servis avec moi!

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