Chapitre 1

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PDV Jim

Je dors paisiblement quand la vieille folle d'en face commence à brailler. Ne pouvant refermer l'oeil je me redresse en appuyant mon dos contre l'horrible metal du lit. Je prends mon journal intime dans lequel j'écris tout les poèmes qui me passent par la tête avant que je ne les oublie à tout jamais. Ma mère rentre dans ma chambre pour me demander de me bouger et de ne pas rester toute la journée allongé dans mon lit. Je pars dans la cuisine pour prendre mon petit déjeuner tout en écoutant ma mère rouspéter et en continuant d'écrire mes vers. Je prend le jus d'orange qu'elle m'a servis mais je prétend ne pas avoir très faim en voyant les cookies qu'elle m'a préparé. Me voilà à cette foutue école de catholiques en train de me faire botter le train pars ce prête devant la classe. Je ne sourcille pas et une fois fini je regarde ce chers professeur d'un mauvais oeil en le provocant. Je sors de cette salle de torture avec Mikey, Pedro et Neutron. Je marche jusqu'au escalier et d'un regard et accord commun on se barre de cette prison après avoir changé de vêtements. On court partout dans les rues en faisant les cons. Après avoir profiter pendant quelques heures on se met en route vers le gymnase pour s'entrainer au basket. On se change et je prend le ballon de basket que j'ai acheter plus tôt pour Bobby. On le dédiasse tous et le coach marque un petit mot lui aussi. On pars sur le terrain et on met une bonne flanquer à ses petits gosses de riches d'en fasse. On les explose puis on pars se prendre des burgers dans le fast food d'en fasse. Le coach arrivent et nous engueule pour avoir tout dépenser. Il nous informe alors qu'on devra se démerder pour rentrer. On entend toquer à la fenêtre alors on tourne la tete pour voir derrière la vitre les autres cons nous faire des signes. On sors du fast food et dehors, les gars nous attendent. Le leader nous soupçonnent de les avoir voler pendant le match et je prétends ne pas comprendre de quoi ils parlent. S'en suit une baston que l'on gagne mais des renforts de leurs coté arrivent alors on se tire vite fait. Nous voilà en haut de la falaise en caleçon, nos affaires dans un sac poubelle. Les riches passent sur le fleuve avec le bateau à promène couillons alors on decide de leurs faire voir nos lunes. Après leur passage Mikey balance notre sac de fringues à l'eau et saute de la falaise pour atterrir dans l'eau. Pedro le suis puis Neutron et moi. On ressort tremper mais on se change vite pour rentrer chacun chez nous. Avant de retourner dans mon appartement je passe voir Bobby pour lui donner le ballon de basket. Ça va bientôt faire deux ans maintenant que cette foutue leucémie le bouffe de l'intérieur. On discute quelques minutes puis je l'emmène dehors. Après notre petite balade je le ramène chez lui et je rentre à la maison. Une fois arrivée à celle-ci ma mère m'appelle pour que je vienne dans le salon. Je lui dis que je suis fatigué et que je vais me coucher directement. Quelques minutes plus tard une fois que je suis dans mon lit et près à fermer les yeux on toque à ma porte. Je rouspète en disant à ma mère que je suis fatigué et que se qu'elle a à me dire peut attendre demain. La porte s'ouvre et je reconnais le visage de (t/p). Je saute du lit et je viens la prendre dans mes bras.

Jim: - (t/p) mais qu'est-ce que tu fais ici je te croyais parti trop loin pour qu'on se revoit un jour?

(T/p): - Et bien c'est assez long à expliquer mais je me suis fait virer de chez moi et la première chose que j'ai eu envie de faire c'est te revoir donc je me suis trouvée un petit boulot de serveuse pas loin d'ici et je me suis pris un appart à deux rues d'ici pour pouvoir te rendre visite. Alors dès que j'ai eus finit d'emménager je suis venu te voir. Tas tellement grandi depuis le temps.

(T/p) est mon amie d'enfance, la seule et unique fille avec qui je m'entends bien. Les autres étaient beaucoup trop pénibles pour que je m'intéresse à elles. Quand nous étions petits nous nous sommes faits la promesse de ne jamais se quitter mais ma mère et moi on a déménager et je n'ai jamais revue (t/p). Je suis tellement heureux de la revoir et puis qu'est ce qu'elle a grandie elle est devenue une magnifique femme. Nous nous sommes installés sur mon lit et on a passé la nuit à se remémorer nos souvenirs d'enfances ainsi que ceux que l'on a pas pus partagés. Je sais maintenant qu'elle a eu un copain entre temps mais qu'elle n'était pas heureuse avec lui donc depuis elle n'a jamais essayé de retrouver l'amour. Cela me rassures en quelques sorte qu'elle n'ai pas était pervertie par quelqu'un d'autre. On a finit par s'endormir l'un dans les bras de l'autre en profitant et en rattrapant le temps perdu. On se regarde dans les yeux et je sens comme une alchimie dans l'air c'est pas désagréable. Elle me sourit

PDV (t/p)

Aujourd'hui Jim a décidé de me présenter à ses amis alors on leur a donné rendez vous au terrain de basket. En les attendant on c'est assis par terre et on a continué de parler jusqu'a se qu'un ballon vienne faire trembler la grille sur laquelle on était adossé. Un gars plus vieux que nous se tenait en hauteur et nous regardait. Il proposa de jouer au basket avec lui mais je refuse gentillement en lui expliquant que j'étais vraiment nul mais Jim n'était pas de cet avis et il m'a entrainé de force sur le terrain avec lui. On a joué pendant une trentaine de minutes puis au loin j'ai vus venir trois garçons. Je pense que se sont les amis de Jim je m'eclipse du terrain pour aller les saluer mais celui du milieu vient de ramasser une affaire à Jim c'est un cahier. Il commence à lire et à l'entente des phrases que Jim à écrit je comprends très vite qu'il s'agit de poèmes mais aussi de quelques chose de personnel. J'arrache le cahier des mains du gros costaud qui me regarde d'ailleurs d'un très très mauvais oeil. Je m'excuse de lui avoir arraché des mains et je me présente et d'un coup son regard se fait plus doux et Jim arrive part la suite. Quand il me voit avec son cahier dans les mains son regard devient dur et il s'empresse de me l'arracher en me criant dessus que je n'ai pas à lire se qu'il y a écrit à l'intérieur. J'essais tant bien que mal de lui expliquer que je ne l'ai pas lus mais il s'énerve et emplois des mots qui me font mal alors je lui mets une claque pour qu'il se calme.

(t/p):
C'est bon tu es calmé je ne l'ai pas lu ton journal mais tu n'as pas à me parler sur se ton à cause de poèmes.

Jim:
Comment tu sais qu'il y a des poèmes si tu ne l'as pas lu?

Mikey:
C'est moi qui les ai lus à haute voix elle n'a rien fait à part me le prendre des mains en disant que c'était ta vie privée.

Jim se tourne vers moi et me dit d'un ton orgueilleux que c'est quand même de ma faute je lève les yeux aux ciel et je pars en le bousculant pour rentrer chez moi.



Suite...

𝑳𝒆𝒐𝒏𝒂𝒓𝒅𝒐 𝒅𝒊𝒄𝒂𝒑𝒓𝒊𝒐 𝒙 𝒓𝒆𝒂𝒅𝒆𝒓Où les histoires vivent. Découvrez maintenant