10 ANS APRÈS
??? : Toc aïe toc
Hikaruto : ENTREZ
Il soupira et entenda la porte grincer. Il vit un petit Kitsune entrer, blessé, gémissant de douleurs.
Hikaruto : Comment tu t'es blessée ?
Kitsune : Maiiiiiiiis
Il la prit dans ses bras en la regardant d'un air un peu inquiet puis commença a la soigner avec attention.
Hikaruto : Aller retrouve ta forme humaine s'il te plaît.
Kitsune : Noooon je veux pas ! En plus ça fait depuis combien de temps que t'es pas sorti ?
Hikaruto : Une semaine
Kitsune : C'est déjà trop ! Tu devrais sortir la guerre fait beaucoup trop de ravage !
Hikaruto : Ok Ok c'est bon je vais sortir. Mais par contre tu te met en sécurité si tu m'accompagne, je veux pas que tu meurs.
Kitsune : Maiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis
Hikaruto : Ou tu reste ici ?
Kitsune : Je reste ici je suis fatiguée
Il sortit en prenant le vieux masque de Kitsune un peu cassé sur les côté a clochette et un katana avec une lame émoussés. Arrivée a l'ancien Konoha devenue un champ de bataille, il fit tinter les clochette de son masque avant puis utilisa ses pupilles pour tuer la moitié des ennemi et aller voir son ancien ami dans une caverne sombre. La rage le prit et il cria.
Hikaruto : POURQUOI CETTE GUERRE CONTINUE BAKA
Mikazuki : Parce que tu ne m'as toujours pas tuer. Si tu le fai...
Prit par la rage intense il fit ce qu'il n'avait jamais fait depuis 4 ans, depuis le début de cette guerre, il le tua. (Oui une solution aussi simple je me suis pas foulé.) Il rentra chez lui et enleva son masque et déposa son katana. Une jeune femme avec des petites oreilles et 9 queues apparaissa le regard assez satisfait d'avoir réussis à le faire sortir. (Sachez que le Kitsune c'est Louna simplement pour éviter les commentaires du genre : attend il a une maîtresse ?!)
Hikaruto : Alors assez reposé Louna ?
Louna : Largement assez.
Elle s'approcha de lui en le regardant pour savoir si il avait des blessure. Son visage était a quelque centimètres du sien. Sans trop comprendre pourquoi il fit ça, il l'embrassa se qui, surpris la jeune femme mais se laissa faire et répondit même à se baiser. À bout de souffle il se séparaient en rougissant jusqu'aux oreilles de la jeune Kitsune. Le jeune homme rougissant et par pur honte il se demanda pourquoi il a fait ça. (C'est la première fois qu'il embrasse qui que ce soit).
Hikaruto :...
Louna :...
Hikaruto :...*une voix presque inaudible* désolé.
Louna s'approcha encore une fois de lui sans prendre ses distances et elle même venait l'embrassa ce qui le surpris encore plus que la fois où il a appris que c'était son meilleur ami la cause de la guerre. Il la serra dans ses bras puis se séparaient. Elle sourit montra que son plan avait marcher.
Louna : On est quitte maintenant !
Hikaruto :*rire retenue* Ouai c'est vrai.
La manière dont elle pouvait être si douce et heureuse. En vérité c'était l'une des dernières raison qui font que Hikaruto n'avait pas disparu. Cette boule de soleil qui éclairait tout ce qui l'entourait le rendait vraiment heureux, beaucoup trop heureux, il avait vraiment l'impression de ne pas la mériter. Elle se mit à chanter d'une voix beaucoup trop belle et Hikaruto lui alla se changer dans une tenue beaucoup plus confortable pour rester a la maison et alla cuisiner quelque chose. Depuis 4 ans ils habitaient ensemble dans une maison perdue dans la forêt et depuis 4 ans elle était heureuse. Enfaite lorsqu'il y repensait il ne vivait plus pour profiter de la vie mais pour ne pas voire le visage de Louna pleurer une fois. Il vivait pour la rendre heureuse. Hikaruto n'avait jamais compris la notion d'être amoureux car durant toute sa vie il repoussait toute les filles qui l'aimait sauf Louna et je peux vous dire qu'il y en avait un paquet. Louna était la seule qu'il aimait mais il n'arrivait jamais a s'avouer qu'il l'aimait, dans sa tête c'est une ami rien de plus. Louna le savait déjà et essayait tous son possible de l'aider mais...c'était un casse tête. Ce soir là elle en eu marre de cette situation.
Louna : Tu peux venir s'il te plaît ?
Hikaruto : Ok j'arrive.
Venant dans la chambre de Louna, elle le regarda d'un air sérieux décidé a en finir avec cette situation de solitude dans le cœur d'Hikaruto.
Louna : J'en ai marre tu ne veux pas le dire, l'avouer mais je sais très bien que ton cœur a bien quelqu'un. TU N'EST PAS UN PUTAIN DE BLOQUE DE MARBRE.
Hikaruto : Bah je suis humain
Louna : AVOUE LE TU AIMES QUELQU'UN ! DIS LE !
Hikaruto ne comprenant pas la situation, la regarda un air interrogatif.
Louna :*dst calme toi et explique lui plus précisément ou appelle sa sœur. FAUT QUE J'APPELLE SA SŒUR* Bon j'arrive ne bouge pas d'ici.
Hikaruto : Mais j'ai de la nourriture sur le feu !
Il retourna dans la cuisine baissant le feu et entendit un téléphone sonner. Il décrocha.
Hikaruto : Allô ?
Louna : Allô Tayoda ? Aide moi comment tu fais pour faire avouer un truc a ton frère ?
Hikaruto : T'as réussi a te tromper de numéro la t'appelle le téléphone fixe de l'endroit où tu te situe.
Louna : Je euh c'est toi Hikaruto ?
Hikaruto : Oui.
Louna : Fais chieeeeeeeeeeeeer
Elle appella le bon numéro et appris la technique :
Tayoda : Allô ?
Louna : Allô Tayoda ?
Tayoda : À salut Louna !
Louna : J'ai une question.
Tayoda : Oui je t'écoute ?
Louna : Comment t'arrive a faire avouer un truc a ton frère ?
Tayoda : Donne lui plein de preuve qu'il l'accuse et là il avouera j'ai testé des dizaines de fois !
Louna : Merchiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii pour les 1K vue à merde non c'est pas ça c'est Merchiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii pour la technique
Tayoda : Je t'en pris ! Bref bonne soirée !
Louna : Bonne soirée a toi aussi !
Elle racroccha et traîna Hikaruto par la manche jusqu'à sa chambre avant de le regarder droit dans les yeux.
Louna : J'ai une question.
Hikaruto : Quoi ?
Louna : Qu'elles sont les preuves d'affection qu'on peut donner aux personne qu'on aime ?
Hikaruto : Bah de l'attention, des soins lorsqu'elle ou il en a besoins, la ou le rendre heureuse ou heureux.
Louna : Ce n'est pas ce que tu fais tout le temps pour moi ?
Hikaruto :...Si
Il rougissa et sentant des fins bras l'entourer avec amour. Posant sa tête sur son épaule, il souriat se sentant tellement léger il avait l'impression qu'on lui avait supprimer un poids beaucoup trop lourd pour lui.
À suivre...
