Chapitre 2

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« Je m'écroule par terre devant lui et puis tout s'arrête... »

PDV Frisk:

Je me réveille dans une salle sombre, plus précisément dans un lit avec pleins d'outils scientifiques autour de moi. Je regarda autour de moi avant de me lever de mon lit. Il n'y a personne au alentour, ce qui est une bonne chose pour moi, donc je me lève et visite ce lieux. Mais il y a quelque chose qui cloche ici. J'ai mauvais pressentiment. Soudain j'entends une voix qui se rapproche petit à petit vers moi, puis plus rien. Il y a eu un silence pendant 30 secondes et un screamer a sauté vers moi qui pris mon âme, et l'a brisa en mille morceaux.

Je sursauta en me réveillant de peur. Ouf ! Ce n'était qu'un simple cauchemar. Mais j'étais, non pas dans la neige, mais à l'intérieur, sur un canapé. Je me lève de la banquette pour voir ce qu'il se passe. Soudain, un squelette « vivant » apparut devant moi avec un regard que je ne saurais comment décrire. Pourquoi tout le monde est si bizzard ici ?! Bref, ce petit squelette me dit :

???- Heya l'humain ! Je suppose que tu ne me connais pas. Je suis Sans, Sans le squelette.

Je ne dis rien, époustouflé par ce que je viens de voir. Un squelette qui parle normalement, pas comme l'autre scientifique à la robe noir qui parle de je-ne-sais-quoi ! Sans me dit donc :

Sans- Qu'es se qu'il y a, l'humain. Tu n'es pas très bavarde. Tu as peur ?

Je fis un petit hochement de la tête pour dire oui :

Sans- Je vois. Ne t'inquiète pas, je ne vais pas te faire du mal, je te le promet.

Je pris un peut plus confiance avec ce Sans, car je pense que c'est le seul à ne pas être buguer ni rien. Mais il faut que je me méfie au apparence, on en sais jamais. Et puis, on est quand même.e dans un endroit inconnu de moi et du monde ! Je lui dit en bafouillant:

Frisk- T-Tu n'es p-pas c-comme l'autre s-squelette a-qui m'as k-kidnappé, a-avec sa longue r-robe n-noir ?

Le regard de Sans s'assombrit complètement en disant cette phrase. Il me dit d'un air froid :

Sans- Non ne t'en fait pas. Et, qui est cette personne que tu es en train de me parler juste avant ?

Frisk- J-je ne s-sais pas q-qui sais. Mais je s-sais qu'il ne p-parlais pas f-français.

Son regard me glaçait le sang. On dirait qu'il connaît cette personne, je dit donc, tout en bafouillant :

Frisk- M-mais je p-pense que s-sais mon i-imagination qui me rien-fait jouer d-des tours.

Sans- Je ne pense pas que sa soit ton imagination, gamine. Je pense même que ça soit une vraie personne. Et je pense même que je connais ce type dont tu es en train de me parler. Laisse moi une minute, j'ai quelque chose à faire. Reste ici en m'attendant, mais ne monte pas à l'étage.

Je fit un hochement de tête, puis il partit à l'étage. Comme je n'ai pas envie de me faire défoncer pas Sans, surtout que mes collègues youtubeurs on dit qu'il est difficile à le battre et que je mourrai, tout le temps. Et si je n'ai pas l'âme de détermination comme la protagoniste du jeu, bas je vais littéralement mourir. Donc je vais vers la fenêtre pour admirer la vue. Cependant, je vis non loin d'un arbre, un personnage tout noir rempli d'erreurs autour de lui et resemble étrangement a Sans, comme si c'était un clone mais en noir... Pas de chance, il m'a vue et se dirige brusquement vers moi. Mon cœur bat à la chamade, puis sorti de mon corp un cœur rouge, comme par magie. Soudain, ce personnage se guetta sur moi, mais avant d'y arriver, il se téléporte puis plus rien. Tout est bizzard depuis que je suis atterri ici. Mais c'est pas moi qui a fait provoquer tout ces bugs ! Bref, je me remet au bord de la fenêtre pour rêvasser.

Virus (UNDERTALE)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant