La nuit, tous les chats sont gris - One-shot

La nuit, tous les chats sont gris.

Bonjour les Miraculeurs! Me voici, me voilà avec un nouveau petit One shot où Ladybug va se retrouver dans une situation quelque peu chat-astrophique... Bien que du point de vue de Chat Noir, ce sera plutôt une situation drôle et pleine de surprises.

J'espère que vous prendrai autant de plaisir à là lire que j'en ai eu en l'écrivant. J'espère vous dérobez quelques sourires et pourquoi pas, un petit fou rire? Bonne lecture !

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Si on avait dit à Marinette qu'un jour elle ronronnerait pendant que Chat Noir lui chatouillait les oreilles: elle aurait certainement été prise d'un irrépressible fou rire.

Seulement, c'était précisément la situation délicate et embarrassante dans laquelle elle se trouvait actuellement.

Quelques heures plus tôt...

-Jules, c'est non !

-Mais maman, s'il te plait, regarde comme il est mignon.

-Non Jules ! ça suffit ! Sa maman le tira par la main et l'entraîna loin de l'objet de ses convoitises.

-C'est pas juste ! Pleurnicha le garçon d'environ huit ou peut-être dix ans.Le petit Garçon releva la tête avec tristesse et découragement, lorsqu'un mouvement attira son attention: C'était un joli papillon violet qui virevoltait vers lui et se déposa sur la médaille qu'il portait autour du cou.Un instant plus tard...L'Akumatisé s'avança fièrement sur l'esplanade du Trocadéro, autour de lui il n'y avait aucun touriste en vue, aucun passants, pas une âme humaine; Non il y avait juste des chats. Des chats de toutes tailles, de toutes races, et de toutes les couleurs.

Les oreilles pointues du jeune homme s'agitèrent: il entendait de nombreuses voix joyeuses provenant de la Tour Eiffel.

Sans perdre une seconde et sans hésitation, il se dirigea vers le brouhaha.

Marinette attrapa son carnet de croquis dans son sac à dos et s'installa sur une marche d'escalier.Le Trocadéro était drôlement désert pour un vendredi soir; Toutefois, le calme régnant actuellement sur ce merveilleux endroit stimulait vivement la créativité et la concentration de la jeune femme, qui commença à esquisser quelques vêtements avec détermination.Rapidement, l'attention de Marinette fût détournée par un, non deux, chats qui parlaient à ses pieds.

Des chats qui parlent ?Est-ce qu'elle s'était endormie en dessinant ?

-Ne restez pas là; un super-vilain transforme quiconque se trouvant sur son chemin: en chat !Brusquement, elle releva la tête et balaya du regard l'espace autour d'elle.Il y avait des chats; des chats partout !Des chats qui parlaient entre-eux avec inquiétude, incompréhension, des chats qui étaient effrayés, qui miaulaient de tristesse.

Et certains chassaient même les pigeons tentant en vain de résister à l'instinct animal et aux pulsions primaires qui les animaient.Marinette se redressa sur ses jambes, rangea ses affaires et se fraya un chemin entre les félidés; trouvant finalement un endroit dépeuplé pour appeler sa transformation.

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Le soleil se couchait sur Paris, Toutefois on pouvait distinguer l'ombre de Ladybug sauter de toit en toit à vive allure.

Elle se dirigeait vers les cris qui lui semblaient provenir d'une zone située entre la Tour Eiffel et la Place de la Concorde.

L'héroïne s'immobilisa sur un toit; se fiant à son expérience, elle décida d'abord d'analyser, d'observer les alentours en restant prudemment en retrait.C'était précisément ce moment de réflexion silencieuse que son partenaire avait choisi pour débarquer en fanfare.