𝙶𝚎𝚗𝚜𝚑𝚒𝚗 𝙸𝚖𝚙𝚊𝚌𝚝 𝙾𝚗𝚎 𝚂𝚑𝚘𝚝

🔥Diluc🔥

Dans l'ombre de la nuit se promène une jeune femme et ce dans un but précis. Cette jeune femme n'a rien d'ordinaire, elle possède un grand pouvoir et une force sans pareille.
À l'extérieur, paraît si douce mais à l'interieur une flamme ardente brûle de toute sa puissance.
Puissance faisant l'objet de convoitise.
Soudainement la jeune femme interrompit sa marche calme.
Et dans un mouvement si rapide qu'il fût invisible à l'oeil nus son sabre disparue dans les airs à peine eu le temps de l'apercevoir, qu'un corp de monstre tomba à terre dans le même temps. Avant de se réduire en poussière.
"-Il semblerait que j'ai eu tord de ne pas vous faire confiance Rune." Un homme au cheveux rouge avança vers la dénommée Rune.
"-Et êtes vous pleinement convaincu maintenant, Maître Diluc? " Dit-elle en se retournant vers l'homme au cheveux rouge flamboyant.
"-Je le suis plus qu'il ne le faut, mademoiselle Rune." Ricane t-il.
"-Ne m'appellez pas ainsi.
-Alors parle moi comme à un ami Rune. " Contre t-il dans un sourire. Cet homme n'était pas le même lorsqu'il était seul avec Rune, il devenait étrangement plus doux. Mais la jeune femme ne s'en rendait pas compte au grand damne du rouge.
Elle passa rapidement devant lui pour entreprendre une nouvelle route mais s'interrompu le temps de dire "-Qu'attend tu Diluc, j'ai sommeil alors rentrons vite. "
Surpris ce derniers repris comme il le pût sa concentration.
"-Je te suis."
Ainsi les deux jeunes gens partirent en direction du domaine de l'Aurore. En effet comme l'heroine de Mondstadt ne venais pas de ce monde, elle n'avait pas de chez soi. Alors Diluc lui avait offert le logis a conditions qu'elle fasse ces preuves. Biens sûr le fait qu'elle ai réussi à terrassé le dragon afin de le sauver lui et la cité l'avait abasourdi, mais il s'était découvert la fâcheuse habitude de la taquiner. La provoquant de faire toujours mieux. Il adore la voir se battre, des geste vifs et précis dans une rapidité déconcertante. Le tout dans une enveloppe douce et calme.
Pour lui elle est clairement l'image qu'il se fait de la déesse guerrière.
Mais avant même de s'en rendre compte ils était arrivé.
"-Bon retour chez vous Maître Diluc, Mademoiselle Rune. " S'inclina la gouvernante. "-Le repas viens d'être servis.
-Merci bien Adeline. Installons nous Rune demain une longue journée nous attend." Diluc tira la chaise pour Rune à fin de l'installer à table, une fois chose faite il s'installa à son tour.
"-Alors quelles sont les dernières nouvelles?" Commença t-elle. En effet la longue journée dont parlais Diluc faisait référence à la missions de sauvetage qui les attendait.
"-L'ordre de l'abîme à été repéré dans une grotte aux alentours du territoire des loup, si tout se passe bien nous pourrons nous y rendre demain.
-Il y a bien deux personnes c'est ça?
-Oui un père et son fils capturé lors de leurs chasse."
L'ambiance devînt pesante, Diluc avait une sainte horreur de l'ordre de l'abîme et encore plus le fait de s'en prendre aux mondstadois.
"-Nous les sauveront et tueront ces mages, Diluc."
Ce dernier leva la tête pour s'assurer qu'elle avait bel et bien parlé, et croisa son regard.
Il se regardent un long moment qui semblait être qu'un instant lorsque Adeline, la gouvernante du domaine les interrompit.
"-Mademoiselle Rune, Maître Diluc,vos bain sont prêts.
Durant un court instant l'un imagina l'autre dans son bain et par ce fait il s'empressent de quitter la table.
" -Nous en discuteront demain, Rune.
-Je vous en serez reconnaissante Diluc. "
Adeline qui assistait à la scène tentait tant bien que mal de ne pas rire car à la vue de ces deux jeunes gens qui se tournaient le dos partant pourtant tout deux à l'étage le visage cramoisi, avait de quoi faire rire n'importe qui.
D'autant plus lorsqu'on connais Diluc depuis plus longtemps que quiconque. D'ordinaire froid, distant, hautain, il n'avait jamais eu un tel comportement avec qui que ce soit.
Depuis tout ce temps il semblait enfin être un jeunes hommes comme un autres.
Dans le domaine tout le monde avait pû s'apercevoir que le Maître était un peu plus doux.
Mais seulement en privée il était totalement différent.
"Notre Maître ne le sais peut-être pas encore mais il est amoureux". Pensais Adeline le coeur en joie.