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Voilà une semaine que les cours ont repris et Louis croule déjà sous des tonnes de travail, particulièrement en Histoire. Il trouvait de moins en moins sympa ce nouveau professeur qui avait l'air d'apprécier sa position de professeur et de supériorité pour leur donner une tonnes de travail sans exagération. Louis trouvait la cadence insoutenable alors qu'il faisait partie des meilleurs dans cette matière, beaucoup d'étudiants se plaignaient de la surcharge de travail du prof. Alors, quelqu'un devait prendre son courage à deux mains et le dire au professeur, tout le monde avait bizarrement décidé que ce ne serait pas lui à cause des futurs répercutions de cet acte.
Louis dans un élan de courage pris la décision de le faire mais maintenant qu'il était devant la porte de l'amphithéâtre à une heure où les cours ne sont plus, il regrettait amèrement. Voilà maintenant dix minutes qu'il regardait fixement la porte, mais sa crise d'absence fut interrompu brutalement par la porte s'ouvrant. Le professeur lui fit face, étonné de voir encore un étudiant dans le campus à cet heure. Un silence gênant s'installa entre les deux homme.

<< - Tu voulais quelque chose ? Demanda enfin le plus âgé.

- oui vous parlez, si vous le voulez bien.

-eh bien parlons vers le chemin de la sortie, je suis un peu pressé. Il parti sans attendre la réponse de son cadet, Louis trottina pour arriver à sa hauteur.

-Sans critiquer votre méthode pour enseigner, je trouve, comme la plupart de vos élèves que vous nous sur menait au niveau du travail chez soi. Le jeune professeur s'arrêta et regarda son étudiant d'un regard neutre. Louis s'arrêta un peu plus loin ne s'étant pas tout de suite rendu compte de l'arrêt soudain de son supérieur hiérarchique, il se retourna vers lui se plongeant dans ses yeux claire.

-Je te trouve bien insolent, je veux que tu passe à mon bureau à la fin des cours, sur ce bonne soirée. >> et il parti sans demander son reste, Louis eu l'impression à ce moment que la mort était un châtiment surment plus agréable que son rendez-vous avec le professeur au vu du ton de ce dernier. C'est donc dépité que Louis pris le chemin vers son appartement, il commanda une pizza et rentra à son appartement . Son premier reflex fut de prendre un des nombreux DVD présents sur une étagère, 1917, un très bon film historique retracent la vie de deux caporal britannique sur le front de la 1er guerre mondiale. Il lança le film et s'installa dans son canapé, mais pour lui impossible de se concentrer, les cours prenaient trop de place dans sa tête. Tout au long de la semaine l'étudiant avait rencontré ses nouveaux profs, tous très gentils qui avaient la bonne humeur et la joie de vivre ce qui donnait envie de travailler selon lui. Mais il y avait l'exception qui confirme la règle : MR. Ross, parlant aussi vite que flash et sans aucune poses, ne répétant jamais, n'acceptant jamais d'avoir tort. Le professeur irrité Louis au plus profond de son âme à cause de plein de petits détails qui, mis bout à bout son irritant. Louis souffla désespéré puis éteignit la télévision. Après s'être changé son esprit était toujours occupé par son prof. Avoir de mauvaises relations avec des enseignants pouvait altérer le jugement de c'est dernier et les notes de l'élève. C'est donc la boule au ventre que Louis s'endormit.

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