23) la réunion

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-votre correspondant n'est pas disponible pour le moment veu-..

Je me lança dans mon lit dépité. J'étais certaine que c'était fini il ne voudrais plus me parler et c'est de ma faute maintenant... Je soulevai un peu mon lit et sorti mon revolver et le regardai... Il ne fallait absolument pas que je me loupe et de plus, il fallait que je passe à l'action le plus vite. Je ne pouvais plus attendre. Attends maman tu sera venger

Après ma dispute avec Keigo puis Eijiro, j'ai beaucoup réfléchi et je me suis dit que je devais vachement avoir un problème... Il n'est pas correct de profiter des sentiments d'autre personne juste pour assurer sa sécurité et moi, j'en ait marre de faire cela. Finalement je me demande quel est mon problème et quel sont réellement mes sentiments. Je suis tellement une girouette je m'y perds moi même c'est pathétique.

Pendant que j'étais dans mes pensées, quelqu'un entra et sa voix me fit sursauter et je cacha vite mon arme avant de le relever et de tomber face à face avec un bouquet d'orchidées.

- oh euh... J-...

- elle te plaise? Je l'ai trouvait aussi belle que ma petite fem

Je me mis d'un coup à éternuer en reculant et en me tenant la gorge. Mon visage devient rouge et bouffie et j'avais de plus en plus de mal a respirer et a parlé.

- qu'est-ce qui t'arrive?...

- allergies... Pollen...

- 0_0

Il alla jetté les fleurs par la fenêtre et reviens rapidement m'allonger et se mit a paniqué sans savoir quoi faire.

Finalement, il y eu plus de peur que de mal, il fit venir un médecin à temps et mon état fut facilement stabilisé, mais Keigo n'a pas arrêté une seule seconde de s'excuser.

- ça va... J'ai juste la tête d'un ballon à l'hélium, mais ça va... Je suis vivante...

Il posa sa main sur ma tête et ébouriffa mes cheveux.

- pourquoi tu ne me l'a jamais dis... J'aurais pu te tuer

- désolé...

- Tu m'ai tellement précieuse que s'il t'arrivais quoique ce soit par ma faute, je ne pourrai jamais me le pardonner.

- Keigo... Tu... Tu es amoureux de moi?

Ça faisait un moment que je me posais la question et au fond de moi, j'espérais que ça soit un non ferme car je suis une vraie calamité. On la bien vu avec Eijiro. Quand on m'aime, on s'engage à souffrir. En plus, s'il ne m'aimait pas, mon choix serait bien plus facile à faire. Désespérément pour moi, comme réponse, il se contenta de me sourires et de prendre ma main et se rapprocha pour me faire un bisous sur la bouche.

- il y a longtemps que j'ai arrêté de voir ça comme un mariage avec une esclave que j'ai acheté pour rembourser la dette de son père

-...

- ce n'est pas ton cas?... Dit moi que je ne suis pas seul à penser ainsi

- je...

- mais ne t'inquiète pas, je n'oublie pas ce que je t'ai promis... Demain, considère cette homme com-

- non ! C'est bon ce n'est plus la peine... Euh... Allez viens, contentons juste d'être ensemble et oublions le reste. C'est maintenant tout ce que je veux de toi.

Je voulais surtout jamais lui être redevable pour quoique ce soit. Je me poussa et le fit me coucher à côté de moi.

- dormons ! Avec tout ça j'ai mal à la tête

L'impacte D'une RencontreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant