Le cœur éléphant

Parti 1 « le mythe de sisyphe »

Tout commença au collège en 2012 J'avais 13 ans j'étais extrêmement content car je me suis dit que je vais faire Plein de nouvelles rencontres

Mais Durant les trois premières années j'avais beaucoup de mal à m'intégrer j'étais toujours la personne qui était mise à l'écart Accusé à tort et surtout harceler Il était pas rare alors que je rentrer chez moi Un jeune homme appeler Adam m'attendez pour me Faire de la Agras Moi tu vois j'étais impuissant du coup je me posais pas de question et ça a duré pendant trois ans Fallait me voir cette période là Était pour moi la plus traumatisante je n'avais pas d'amis Ah c'était les jours où j'étais souriant en train de rire et encore les rare fois ou je riiez c'était quand j'avais la chance d'écouter au loin leurs discutions Je me rappelle encore des vendredi soir où je rentrée avec la boule au ventre seule Les vrais moment où j'étais « heureux » C'était les vacances,Je ne croise plus personne du collège C'était tes Paix Mais vacances ça s'arrêté à deux chose à laquelle je m'attaché Et que j'aimais beaucoup, c'était ma console et Rendre visite à Marie-Jeanne

Durant les vacances j'allais souvent accompagné de ma mère dans Une école on n'y part et pour faire le goûter dessiner jouer avec les animateurs Et parmi les animateurs y avait une animatrice en particulier qui m'aimait beaucoup elle s'appeler Marie-Jeanne elle était originaire de Guinée Elle me faisait souvent des leçons de morale d'une manière tellement bienveillante❤️❤️ Je l'aimais beaucoup et je m'étais attaché à elle elle faisait partie des rares personnes avec je pouvais donner de l'affection et en recevoir en retour, Elle me disait souvent

Marie-Jeanne : mehdi Je t'aime comme tu es tu es très bien comme ça

Entendre ces paroles là ça me rendait très heureux (Ça me faisait même pleuré ) Quand j'allais lui rendre visite je passé souvent ma journée au prédelle dans ses bras sentiment de sécurité d'amour , amour que j'ai jamais eu avec ce monde violent Chaque fois le rapprocher supplie et maman pour qu'on reste encore un peu🙏. Les autres jours où je ne partais pas chez Marie-Jeanne J'avais une deuxième chose qui me rendait heureux la console!!! Non à ce moment-là j'étais vraiment un geek que je me tue à sa (Xbox ,Nintendo) C'était le feu Et ça pendant les trois premières années au collège Jusqu'en troisième.

Arrivé en troisième à l'âge de 15 ans beaucoup de choses avaient changé en bien comme en mal Je ne me faisais plus harceler par Adam il avait complètement disparu de ma vie Lors ce qui concerne les autres Je ressentez toujours Ce rejet mais moins important comparé à avant, Durant les premiers mois j'avais toujours du mal à m'intégrer mais cette fois-ci pas à cause de la personne que je suis mais à cause de ma « différence » Ce que j'entends par différents c'est que en fait les gars de ma classe c'était des Thug ils faisait tellement de dingerie ils se battait bref ils faisaient le hala et ils étaient aimé et respecté pour ça Moi de mon côté j'étais loin de ça j'étais coincé j'étais dans mon coin je suivais les cours et j'aimais ça(J'étais pas un fayot mais on n'en était pas loin😂) après ça je commence à prendre du recul je me suis Poser des questions : pourquoi je suis exclu du monde ? Est-ce que je suis un mec bizarre ? Des questions que j'ai aussi posé à Marie-Jeanne Lorsque je décide de lui rendre une petite visite

Mehdi : Pourquoi suis-je toujours exclu des autres ? Je me sens grave différent 🥺😢

Marie-Jeanne : peut-être parce que les autres font des choses que toi tu ne pourrais pas faire et en général Qu'est-ce qu'ils font ces gens ?

Mehdi : il s'enferme dans les toilettes du collège il commencé à fumer Certains même tient les murs de la ville certains sécher les cours

Marie-Jeanne : est-ce que t'as envie d'être comme eux ?

Mehdi : Non

Marie-Jeanne : alors c'est très bien comme ça ça veut dire que le Tout-Puissant il t'aime et il veut T'éloigner de ces gens je n'ai pas envie que tu deviennes comme eux je t'aime comme tu es mon garçon Tu connais l'expression vaut mieux être seul que mal accompagné ?