Un jeune homme incapable de croiser un miroir. Un autre qui en a assez de devoir s'y contempler. Difficile de s'accepter quand on déteste son corps. Lévy ne se nourrit pas suffisamment pour bien vivre. Eliaz se sert de son physique pour bien manger. Tous les deux en payent le prix lorsqu'ils se retrouvent dans l'unité libre d'un hôpital psychiatrique. C'est là qu'entourés de patients et soignants, ils réapprendront à vivre. Ce nouveau quotidien les aidera à retrouver l'amour de soi. L'amour de l'autre aussi, car au fil des jours, les maux se recouvrent de mots, et les reflets... de papiers. Parce que les coups d'état sont parfois synonymes de coup d'éclat, Lévy et Eliaz comptent bien réparer leur image brisée. Ces quelques semaines seront alors pour eux l'occasion de réfléchir au sens du mot... « réflexion »... "