“Le rêveur” mon petit roman, quand bien même serait éloquent, fort et terrible, ressemblerait cependant à des coups donnés sur le couvercle d’un cercueil – qui ne peuvent réveiller personne.
Nul effort ne peut plus réchauffer le sang maudit et gelé des gens, et vous le savez mieux que moi. Alors, pourquoi écrire ? Pourquoi chercher de manière constante un avis véritablement évoquant ?
Mais j’ai la tête et le cœur en feu, je continue à écrire, émue sans savoir pourquoi, comme si ce roman pouvait encore me sauver.
Biscuit Croquette