cueilleuse_d_etoiles
Woulàlàlàlà mais quel poète !! Tous tes écrits sont sidérants de beauté, j'admire tellement ton travail !
@JusteunAngeDechu
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Bon voilà Je sais que j'avais commencé à écrire des trucs ici mais j'ai pas trop la tête à continuer Je préfère passer définitivement sur mon deuxième compte et repartir à zéro, ça sent la soupe au choux sur celui là On verra si mon inspiration se décide à revenir mais elle hiberne pour le moment Au plaisir, Sw.
Woulàlàlàlà mais quel poète !! Tous tes écrits sont sidérants de beauté, j'admire tellement ton travail !
C'est fou le nombre de nouvelles oeuvres que tu as écris. Je dois y jeter un coup d'oeil!
T'es toujours ici ? ^^"
Bon voilà Je sais que j'avais commencé à écrire des trucs ici mais j'ai pas trop la tête à continuer Je préfère passer définitivement sur mon deuxième compte et repartir à zéro, ça sent la soupe au choux sur celui là On verra si mon inspiration se décide à revenir mais elle hiberne pour le moment Au plaisir, Sw.
Que vois-tu là-bas toi qui contemple le lointain Ange déchu aux ailes mutilés de ta propre main De ta main sale, indigne, tremblante Ta main rustre sur ton oeuvre déplaisante Plongeant les yeux dans ceux des masques qui t'entourent Tu n'as plus foi en rien et ne crois plus l'amour Pour toi tout est fini et pour toi chaque jour N'est guère qu'une illusion dont se déchire le pourtour Plongeant ta main dans ta poitrine ouverte Tu te lamentes sans fin sur la mémoire de tes pertes Éclaboussé de ton sang, ce liquide aigre et lourd Que veux-tu de plus que d'achever tes jours Rongé par la solitude et par le dédain Le dégoût, la haine, la peur du matin Tu n'es qu'un idiot bon à rien Va-nus-pieds dans ta turpitude Le fait même de ta vie est malsain Que regarde tu donc dans le lointain Sinon l'espoir de mourir, sinon tes vicissitudes Sinon l'espoir de partir Au loin
"Aujourd-hui la nuit est insomniaque, alors elle s'est levée plus tôt." Benjamin Benjamant Alors dans un crie de douleur je suis tombé dans l'obscurité Rien de plus romantique qu'un début après que ce soit commencé Rien de détruit comme le labeur des désoeuvrés désuets Rien de plus modique que le révolu des années passées L'amour s'en va, coulant avec le temps Des au revoirs Des bonnes gens Si mauvais sans le vouloir Tu ne seras jamais ce que tu veux, toi qui rit Le fameux ange déchu et maudit Ce que tu entreprends s'effrite entre tes doigts gourds Et tes espoirs pas plus que tes amours ne durent après le jour Entre l'instant où tu scandes des absurdités pleines de vie Et celui où tu te réduit à rechercher l'oublie Au fond des nuits et des bassesses Au coeur de la ténèbre épaisse Où tes mauvais esprits se repaissent De ta haine et de ta mollesse Vil homme de pêchers, de luxure et de débauche Sardanapale laid, vilain et gauche Si tu n'es pas mort encore de ta putréfaction C'est que pour toi la douleur avait encore quelques actions Tu mérites ta vie autant que tu mériteras sa fin Ignoble chose finie qui se croyait divin Le fait est finalement que tu n'es digne de rien Et que ta voix se casse comme ce casse tes biens Ta porte était fermé ainsi que ton destin Et il bat maintenant, pas de même que ton coeur Noirâtre à l'éclat malsain Le même qu'au fond de ton regard Où on discerne bien qu'épars La haine et le malheur, à peine floutés de tes pleurs
Une nouvelle partie a fait son irruption discrète mais son départ tonitruante chez ce cher Benjamin Benjamant qui se jouera poète. (C'est embrassé) A la joie
Quelque part à Paris. C'est le soir, presque la nuit Il fait noir mais le ciel est gris Les manteaux claquent avec les portes Et les fenêtres des âmes mortes Moi j'ai vécu de toutes les sortes Souvent je repense au passé Et à mes funestes pensées Dont je me croyais débarrassé Les amours mortes qui me traquent Qui ressortent de mon être Et me transporte au désabus Je me souviens d'un ton imbu D'un jour avec rien à de mettre Sous la dent, sur le dos, et la tête qu'un chapeau claque Excroissance de ce qu'on veut émettre Mettre un pardessus sur un accord qu'on plaque Je me souviens d'un abus Mais il est tard aujourd'hui Et rare qu'au fond des puits Et des mares et puis De tout ce où on peut ensevelir On retrouve une corde d'une lyre Pour en tirer un vague soupir
@sammyheureux et oui... A la recherche de vrais amis ;) Et du temps perdu, j'avais un nom prédestiné... Je te le souhaite aussi Sammy, tu nous manqueras
❤️
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