« pour rouler au hasard, il faut être seul. dès qu'on est deux, on va toujours quelque part. »


edel ?
edel aime l'été, les métaphores et l'impressionnisme,
edel aime la beauté, l'horreur et les cataclysmes,
edel aime les dystopies et ne peut s'imaginer adulte.

j'aime bien les anaphores, jpense que ça se voit


aujourd'hui j'ai pris tellement de photos de l'aurore que jme suis flingué les yeux

mais au moins ma conscience est tranquille d'avoir eu le temps d'immortaliser cette splendeur


je voue une passion démesurée à la manière dont la lumière du crépuscule illumine toute chose qui existe

on peut dire que jsuis héliophile du coup ?


en tout cas, je pense que quand on regarde mes photos, on comprend ce qui me fascine le plus : les vallées, les pylônes électriques, le soleil et les coupoles


ces derniers temps, je ressens le besoin viscéral d'écrire un chant triste révolutionnaire

mais faudrait déjà que j'arrive à créer un seul slogan qui claque


« il ne faut pas désespérer des imbéciles. avec un peu d'entraînement, on peut arriver à en faire des militaires. »

« le voisin est un animal nuisible assez proche de l'homme. »


ça m'inspire tellement les métaphores mélodramatiques

des hyperboles, toujours des hyperboles

jpasse ma vie à hyperboler


pour moins de mélodrame, on peut me retrouver sur @lemuseedeshumains (j'essaie d'y écrire mais ça avance laborieusement)


j'ai l'impression qu'on est très peu sur terre à pouvoir ressentir un orgasme figuré en lisant ou en écoutant de la musique, tant la chanson ou la phrase nous anéantit ou nous inonde de plaisir, et qu'encore moins sont sur wattpad, liront ces mots et comprendront ce que je veux dire


« paris change ! mais rien dans ma mélancolie
n'a bougé ! »

« les aubes sont navrantes. toute lune est atroce et tout soleil amer. »

« ces souvenirs, va-t-il falloir les retuer ? »