chapitre 3

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Ana:alors comment allez vous ce matin ?

HANA:....

Ana:le ciel est beau pourquoi garder les fenêtres fermées ?

HANA:.......

Ana:heu...

HANA:......

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"Dans la chambre d'hôpital, les deux jeunes femmes s'y trouvaient. Sur un bac, en face du lit de la blessée, une jeune blonde, aux magnifiques yeux vert turquoise, une écharpe rose autour du coup, une veste marron sur les épaules et une jupe rouge simple. Elle semblait triste, elle tentait d'aborder la patiente mais rien, par plusieurs débats et sujets, mais HANA n'y prêtait guerre attention.Elle boudait seulement, les yeux fermés, allongée de force sur son lit par son état. Elle avait les deux pieds suspendus dans le vide, accrochés à des fils soutenus par des bandes portant ses plâtres.Son bras gauche dans le plâtre sur son torse, l'autre allongé sur son côté droit. Elle avait prit le choque sur sa partie gauche,mais les plus atteints était ses pieds, qui s'était emmêlés avec son vélo lors de l'accident. Vélo qu'elle ne rêverait sûrement plus jamais. Elle avait demandée à ce qu'on ferme ses fenêtres et mette les rideaux, elle voulait s'enfermée, car elle vivait des jours sombres dans son état. Ana, les mains resserrées sur ses cuisses, avait la tête baissée et attendait, depuis déjà plus de deux semaines, elle venait et se présentait dans la chambre de la jeune fille, cherchant toujours à entamer une discussion avec elle, mais sans resultat. Elle suivait les directives de son père mais aussi voulait se lier d'amitié avec elle, pour se faire pardonner et aider la jeune fille. Le père d'HANA venait toujours voir sa fille, chaque jour il lui racontait des histoires et parlait avec elle, elle était souriante et pleine de vie. Ce fut les seules moments de son hospitalisation où elle semblait vivante jusque là. Elle ne s'adressait jamais à Ana mais avec son père changeait complètement de visage. Il lui demandait souvent pourquoi agir ainsi, mais là, s'abstenait de réponse. cela durant un mois. 30 jours qu'elle venait, 30 jours qu'elle n'eut de réponse ni de signe de vie. Elle s'atristait mais tenait toujours bon, et revenait toujours plus ferme et assurée chaque jours. Le troisième jour du deuxième mois, il eut du changement. Après avoir longuement réfléchi, et s'être remise en question. HANA ouvrit enfin la bouche en présence d'Ana, mais pas pour dire ce qu'elle attendait :"

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Ana:et donc même si on se connaît depuis un temps malgré et qu'on ai jamais discuté je voudrai-

HANA:tu me dérange. Tu parles trop et j'ai besoin de repos. Va t'en !

Ana:*toute muette*.

" Ses yeux s'ouvrirent grand. Au delà du rejet qu'elle venait de subire elle vit du changement. Pour une fois depuis plus d'un mois, elle venait de lui adressée la parole. Cela lui redonna brusquement le morale et elle se mit à parler de tout et de rien très vite et sans arrêt. Elle semblait euphorique à cette simple idée que tout cet acharnement à mener à des progrès. Elle lui a enfin parlé. De son côté, toujours les yeux fermés et la tête tournée à l'opposé d'où se trouvait Ana, HANA se plaint que tout ça ne semblait finir et qu'au contraire, par cette simple réponse cela empira."

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HANA:*pense*c'est pire que ce que je pensais. je lui ai demandé de partir et elle s'acharne encore plus. Mon DIEU aidez moi...

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" Durant trois jours son calvaire
continua de plus bel. Chaque qu'elle se présentait et passait la porte, pour HANA s'était comme l'ange de la mort qui se présentait à elle, dans sa vision des choses, elle se rapprochait toujours lentement et dangereusement de son lit, avec son manteau marron, sa chevelure blonde et son visage, affichant un sourire marqué, ses yeux fermés et le haut du visage, du front au nez, en noir, comme un psychopathe. Elle avait bien déjà tenté de la faire interdire dans sa chambre, mais le médecin, le père de Ana et son propre lui on permit le passage, soit disant pour arranger leur différent et sa lui fera du bien une compagnie presque permanente. Elle a dit vouloir le silence mais rien n'y fait, elle était, assise tout les jours sur son petit banc, qui semblait bien la plaire.HANA, qui en avait marre,dans un ultime effort lui dit:"

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HANA:mais tu veux pas me lâcher à la fin ?!

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"Ses yeux brillerent encore plus et s'écarterent davantage et dès qu'elle voulu reprendre la parole pour encore plus parler HANA la coupa aussitôt:"

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HANA:d'accord ! t'as gagné ! je sais pas quel genre de malade t'es mais t'as gagné !

Ana:c'est pas très gentil ça... mais merci. Enfin, je rêvais de me faire une amie et de vous entendre.

HANA:quoi t'as pas d'amies ?

Ana:oh non, mais avec vous. je voulais qu'on soit amie alors merci beaucoup.

HANA:tu peux me tutoyé. mais avant toute chose, dis moi un truc. tu avais un chauffeur ?

Ana:je ne sais pas si avais est le temps exact à employer mais oui. j'en ai un.

HANA:alors pourquoi ce n'est pas lui qui est là entrain de faire tout ça ? et de s'excuser ?

Ana:et bien tu sais... il est père de famille lui aussi.. il a deux magnifiques jumelles. rien que pour t'avoir percuter il aurai pu faire de la prison...et ne jamais voir ses filles grandir... quand il Y'a eu le choc, il était encore plus bouleversé que moi... il a fait une dépression, car juste la pensée d'avoir pu ôté la vie à une personne... une jeune fille tel que toi... ça l'a détruit, il refusait de manger, de dormir, il ne touchait même plus ça femme... il a failli être hospitalier. mon père lui a accordé du repos deux jours après t'avoir amené ici...il a toujours voulu se présenté à toi, voir si tu allais bien, mais mon père lui a interdit, voir déjà comment tu le traitais suffisait déjà, si tu étais en face de la vraie personne que tu devais haïr...rien que y pensant mon père a décidé d'endosser la faute, et aussi pour répondre au principe de notre famille, car la vraie responsable de tout ça, c'est moi... suite à une dispute avec mes parents, j'ai voulu m'enfuir loin de tout ça... une fois de plus, je luis ai demandé d'accélérer sur
pente et avant qu'on ne s'en rende compte... une personne était etandue par terre... toi.

HANA:je vois... alors comme je l'avais bien dis, c'est toi la responsable de tout ça...

HANA Ana. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant