Je fume au souvenir de 4h du mat
Au désespoir
Qui s'évapore de ma bouche
Au silence
Qui enveloppe mon corps
Aux rêves Perdus dans le néant
Au sourire
Qu'il ne s'oublie pas
Au cœur
Qui ne guérit pas de ses blessures
Au rêve
Qui s'évanouissent au lever du jour
