Fille de la nuit qui cache ses sourires
Dans un corps qui s'éteint à petit feu
Pour seul et unique juge
Le temps qui passeFille de la nuit qui survit
Dans le silence de la solitude
Qui mène la danse
Dans son âme meurtrieFille de la nuit qui cache ses sourires, Dans un corps qui s'éteint à petit feu Pour seul et unique juge
Le temps qui passe.Fille de la nuit qui survit
Dans le silence de la solitude
Qui mène la danse
Dans son âme meurtrieFille de la nuit au goût du passé
Qu'il l'ait prise sans crier garde
Dont les yeux ne voient plus d'avenirFille de la nuit et de sa drôle de plume Errant de page en page blanche
Dont sa poésie s'est perdue dans son mal de vivreFille de la nuit qui se noie
Dans ces mots qui se moquent de l'espoir
Qui chuchotent au creux de son oreilleFille de la nuit, couleurs du désespoir Dont le destin dépose des doux baisers De malheur sur ses lèvres
