Tout commence réellement le jour des quatorze ans de la célèbre Judith Potter.
Elle et son frère, Harry, entrent en quatrième année quand la jeune fille commence à entendre des voix, et faire des rêves étranges.
Se liant d'amitié à la mauvaise perso...
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𝙲𝚑𝚊𝚙𝚒𝚝𝚛𝚎 𝚍𝚎𝚞𝚡.
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À côtés des Dursley, les jumeaux Potter observaient Dudley taper à de multiples reprises sur la vitre d'un enclos où se trouvait un serpent.
-Bouge! Hurla le garçon, alors que le reptile restait immobile. -Il est endormi! S'exclama Harry. -Il est pas marrant... Souffla-t-il, avant de s'éloigner, accompagné de ses parents.
S'appuyant contre la rembarre, le jeune Potter observa le serpent. -J'suis désolé, il ne sait pas ce que ça fait d'être là, dans cette cage, jour après jour, à regarder des visages hideux, collés contre la vitre.
Sa soeur souffla en imitant son geste, alors que l'animal relevait la tête, avant de leur faire un clin d'oeil.
Les jumeaux se regardèrent, choqués, avant de tourner à nouveau le regard vers le reptile. -Tu nous entends? Demanda Judith, recevant comme réponse un hochement de tête.
-C'est que... nous n'avions encore jamais parlé à un serpent. Annonça difficilement Harry. Est-ce que tu parles souvent aux gens? L'animal secoua négativement la tête.
-Tu viens de Birmanie, c'est ça? C'était bien, là-bas? Ta famille te manque? Le serpent se tourna vers la gauche, et les jumeaux firent de même, observant un petit panneau.
-« Élevé en captivité ». Constata le garçon. Je vois, on est comme toi, nous non plus, on a pas connu nos parents.
-Maman, papa! Venez voir ce que fait le serpent, vous n'allez pas le croire! S'écria Dudley en poussant les jumeaux, qui tombèrent au sol.
Harry fixa méchamment le garçon, et la vitre qui le séparait du serpent disparu.
Réagissant comme si elle avait toujours fait ça, Judith fit un léger coup de tête vers la droite, et son cousin tomba dans l'enclos, avant qu'elle et son frère ne sorte de leur trans, en se regardant, étonnés.
Ils ricanèrent ensuite, et le serpent sorti de l'enclos, se dirigeant vers eux, leur sifflant un « merci », les laissant bouches bées. -Je t'en prie. Déclara précipitamment Harry, alors que l'animal partait, serpentant entre les gens qui criaient pour s'enfuir.
Alors que Dudley allait se relever, trempé, pour sortir de l'enclos, il remarqua que la vitre avait ré-apparu, faisant sourire les jumeaux.
Pétunia tenta de l'aider à sortir, et Vernon lança un regard meurtrier aux Potter, qui se calmèrent immédiatement.
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Quelques jours plus tard.
Les jumeaux avaient été enfermés dans leur « chambre », privés de sortie, et la sanction n'avait été levée que ce matin.
Se dirigeant vers le courrier, pendant que sa soeur préparait le petit déjeuner, Harry remarqua que, lui et Judith, avaient reçu une lettre chacun.
Il entra dans la cuisine, donnant le courrier à son oncle, tout en gardant les deux enveloppes qui étaient destinées aux Potter dans sa main, jusqu'au moment où Dudley les lui arracha.
-Regarde papa, Harry et Judith ont reçu une lettre! -Arrête, c'est à nous! S'exclama le jeune brun alors que sa soeur le rejoignit. -À vous? Se moqua Vernon en prenant les enveloppes. Qui pourrait bien vous écrire, voyons? Demanda-t-il en observant le papier, avant de lancer un regard inquiet à Pétunia.
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Tous les jours, les deux Potter recevaient chacun une lettre, que Vernon s'amusait à brûler.
Les chouettes, qui leur apportaient ces dites lettres, s'accumulaient dans le jardin, et, petit à petit, ils en étaient envahis.
-Merveilleux jour qu'est le dimanche. Annonça le père Dursley en souriant. C'est pour moi le plus beau de la semaine. Pourquoi ça, Dudley? Demanda-t-il, alors que son fils haussait les épaules.
-Parce qu'il n'y a pas de courrier le dimanche? Tenta le garçon Potter en lui tendant l'assiette de biscuits. -Tu as deviné, Harry. Pas de courrier le dimanche, ah! Pas de maudites lettres aujourd'hui.
Les jumeaux se lancèrent un regard en entendant une chouette fait du bruit dehors, avant de diriger leur regard vers la fenêtre.
-Pas la moindre misérable petite le/ L'oncle se fit couper par une enveloppe sortant de la cheminée, le frappant au visage.
Les murs se mirent à trembler, et, la seconde qui suivit, des dizaines, voir des centaines de lettres destinées au jumeaux apparurent, s'infiltrant dans le salon.
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