les mysterieuses cites d'or saison 4 (ma version) ~ En Pause

chapitre 9

PDV Omniscient

Le lendemain matin, Mendoza, Laguerra, Capucine, Sancho et Pedro se lèvent au lever du jour tandis que les enfants, comment dire... Heuuuu ils dorment encore.

Mais heureusement que Mendoza et Laguerra avaient les clés de la chambre des enfants, et ils vont les réveillé.

PDV Mendoza

- Les enfants se sont encore endormi tard !

- on va les réveiller ?

- oui, allons-y

Nous allons les réveiller.

- les enfants, réveillez-vous

- hein... il est quelle heure, Mendoza ?...

- environ 11h45 Tao

- QUOI ?!!!

- je vois que je, t'es bien réveiller

- ET... ET INDALI ??!!!!! Elle est arrivée ?????

- non, c'est encore le lever du soleil.

- Mendozaaaaa !!!!!

- d'accord, c'est bon. Allez, vas te préparer, je vais réveiller Esteban.

Le jeune nacaal fait un signe positif de la tête à Mendoza.

PDV Isabella

Cela fait déjà 30 minutes que j'essaie de réveillé Zia, mais en vain.
Sur son Bureau, j'ai trouvé des dessins.

- Mendoza, Peux-tu venir s'il te plaît ?

- oui, j'arrive.

Il arrive en face de moi.

- as-tu réussi à réveillé Zia ?

- non... Mais j'ai trouvé sa sur son Bureau.

- mais je... Je le reconnais !

- qui-est-ce ?

- c'est son père... Il est décédé quelques heures après qu'ils se soient retrouvé.

- tu te souviens, quand on était chez les Chaldis ?

- oui ! Zia était étrange, le chef lui a parlé, et nous les avons espionné...

- oui, et il lui avait proposé de dessiner.

- oui. C'est donc pour sa qu'elle ne se réveille pas.... Tu y arrive avec Esteban ?

- non. Tu veux que j'essaie Zia ?

- oui si tu veux Mendoza.

- appelle moi Juan ou Juan-Carlos (NDA :même si je préfère de loin Mendoza), Isabella.

- d'accord Juan. Vas-y.

PDV Mendoza

Je vais vers Zia pour essayer de la réveillé, et je remarque quelque chose à son oreiller.

- Isa, viens voir.

- quoi Juan?

- tu n'as rien remarqué a son oreillé ?

- Mmmh... Non...

- il es tout humide... Même, il est tout mouiller... Touche-le

- oui, tu as raison. Elle a DUT pleurer toute la nuit

- tu as peut être raison. Comment peux-tu le savoir ?

- quand je t'ai embrassé à Kûmlar, que Gaspard ma retirer et que tu es tombé dans le vides, et que la cité c'est refermé, j'ai pleurer toute la nuit, en pensant à toi.