Fire hair - THE 100 (fanfinc)

Chapitre 1

Frapper. Crochet. Recule. Coup de pied. Uppercut. Coup de pied retourner. Position. Tapis. C'est se qui rythme met journée. Ca et ma compagne de cellule qui ne comprend pas pourquoi je le fait. C'est vrai ? De toute façon on va crever à nos 18 ans alors pourquoi le faire ! Mais mon père dit toujours : " Un esprit sain, dans un corp sain". Je termine ma séance et remet en place mon matelas pour m'effondrer dessus épuisée et regarder le toit gris de notre cellule pour réfléchir à la vie.

- Je m'ennuie déclarais-je au bout de quelque seconde.

Elle soupire.

- Tu t'ennuie tout le temps me fit-elle remarquer.

- Blue dis-je comme une plainte.

Blue c'est ma compagne de cellule depuis qu'elle c'est fait arrêter il y a 1 ans. De son vrai nom Octavia Blake. Elle est ici parce qu'elle est née ( Eh ouais ici pas de frère ou de sœur. C'est clairement de la merde ). Je la connaissais déjà avant de finir dans la cellule, on s'est rencontrée quand on avait 12 ans et depuis on est restée ensemble. Au delà d'être ma campagne de cellule, c'est également ma meilleure amie, ma sœur. Elle sait tout de moi et moi d'elle. Je suis tirée de mes pensée par la porte qui s'ouvre. 

- Prisonnier 286, levez-vous ordonne le garde. C'est leur des visites.

Je fis ce qu'il me demande et avance vers la porte.

- Enfin ! Je n'en pouvais plus de t'entendre te plaindre s'exclame Octavia.

- Hin hin t'es drôle dis-je blasé.

- Ouais t'as vue ? Bref à toute me saluat-elle.

Je lui fis un doigt d'honneur en guise d'au revoir et l'entendis ricaner avant que la porte se referme. Je suivis les gardes jusqu'à la salle des visites. En entrant dans la pièce, je remarquais qu'elle était vide sauf un homme.

- Papa dis-je ému.

Le porte se referma et je me précipitai dans les bras de mon père. Cela faisait 1 ans que je ne l'avais pas vue à cause du chancelier qui avait interdis sa visite.

- Savannah dit-il tout aussi ému que moi. Tu es magnifique. Ta mère serait fière de toi.

On resta encore quelques minutes dans les bras l'un de l'autre avant que je ne me recule.

- Pourquoi tu es là papa ? Et surtout pourquoi il y a personne ?

- Savannah il faut que tu m'écoutes c'est important.

J'acquiesçais et il me tendit des vêtement.

- Tu vas mettre ses habits pendant que je te parle.

Je le regardais septique mais fit se qu'il me dit. Il se retourna pour que je me change et se remit à parler.

- Savannah, après ce que tu as fait au chancelier, il ne voudra pas que t'on dossier soit réexaminé et comme je ne pouvais rien faire pour le faire changer d'avis et avoir le conseil de mon côté et que te voir mourir je ne l'aurais pas supporté, j'ai trouvé une solution. Toi et 99 autres personnes allez être envoyé sur Terre.

- Quoi ? je m'exclama choqué.

- Tu as très bien entendu. J'ai supplié le chancelier pour une autre solution mais il n'a rien voulu entendre explique-t-il désolé.

- J'ai fini.

Il se retourna et resta bloqué quelque seconde.

- Tu es encore plus belle que tout à l'heure murmure-t-il.

C'était vrai, j'avais troqué mon immonde jean bleu turquoise mal coupé et mon t-shirt rose (beurk) pour un pantalon noir séré taille haute avec un débardeur également noir que j'avais rentré à l'intérieur du jean ainsi qu'une veste noir assez large qui ne gênais pas mes mouvement et des chaussures style Rangers noir. Le tout faisait ressortir ma chevelure de feu. Je tenais aussi dans la main un bonnet (pas besoin de demander la couleur) qu'il prit.

Il me demande de tendre le bras gauche et me mit un bracelet métallique qui rentra dans ma peau.

- C'est pour contrôler tes signes vitaux. Ne le retire pas m'explique-t-il.

Il me repris dans ces bras et m'embrassa le front.

- Je t'ai laissé quelque chose dans la navette sous ton siège. Tu vas me manquer la chérie.

Sa voix était séré.

- Toi aussi papa parlais-je difficilement la gorge nouée.

Il me mit le bonnet en faisant exprès de me cacher les yeux.

- Quoiqu'il se passe, n'oublie jamais que je t'aime. Puissions-nous nous retrouver.

- Moi aussi je t'aime papa puissions-nous nous retrouver.

Dés la fin de ma phrase il m'injecta quelque chose dans le coup et je m'endormis dans ses bras.