Dear George - George Fanfiction

Chapitre 2

Tout a commencé lorsque je suis arrivé à Poudlard pour ma première année, tout comme Harry j'étais une orpheline, j'aurai pu être accepté tout comme lui, mais il se trouvait que j'étais le côté de la pièce qu'on ne voulait pas montrer, je n'étais pas l'élue. J'ai tout de suite été assigné à Serpentard par le Choixpeau, mais très honnêtement ça ne m'avait pas étonnée.

Avant Poudlard j'ai grandi dans une orphelinat et j'ai été envoyé à l'école avec des moldus, contrairement à Harry, j'ai toujours connu l'existence des sorciers. Je détestais les moldus, quant à ton père, il les admirait, il les adorait, ça me donnait envie de gerber.

Ma première année s'est déroulé correctement, je suis devenue proche de Draco Malfoy, en fait il était mon seul et unique ami, je ne souhaitais pas pour autant en avoir d'avantage. 

La première fois que je t'ai vraiment remarqué, c'était en deuxième année, je connaissais déjà les jumeaux Weasley de visage et de nom, mais jamais je ne m'étais un peu plus intéressée à leur sujet. Ce jour là nous étions tous en train de prendre le repas de midi, j'étais à la table des Serpentard, en train de manger seule tout en révisant, je ne faisais pas particulièrement attention aux autres, à quoi bon. Longdubat est arrivé en panique dans la grande salle, attirant l'attention de tout le monde, pourtant personne ne l'aida, à ce moment là je m'étais souvenu avoir vu le même comportement lorsque j'étais chez les moldus. Enfin, vu est un petit mot, je l'ai subis. 

Je m'étais alors levé et j'avais délivré Néville du sort qu'on lui avait jeté, j'avais posé ma main sur son épaule et je me souviens qu'il avait sursauté à ce contact, je fais donc aussi peur que cela ? M'étais-je demandé. Lorsque je lui avais demandé ce qui lui était arrivé sa seule réponse fut "Draco" . 

J'aurai pu être étonné, mais ce n'était pas le cas. Tout ce dont je me souviens ensuite, c'est d'avoir couru jusqu'où Néville m'avait indiqué avoir vu Draco pour la dernière fois, et et avoir ramené ce dernier par la peau du cou dans la grande salle afin qu'il s'excuse. Il l'a fait. Devant toute la Grande Salle et Dieu sait qu'il m'en a voulu après. 

Je m'étais assise à nouveau ensuite, comme si rien ne s'était passé, mais ça tu dois le savoir, car quand j'ai levé les yeux j'ai aperçu les tiens fixés sur moi, à l'époque j'avais eu du mal à distingué qu'elle émotion se trouvait sur ton visage, mais tu avais l'air presque perdu, voir admiratif si je m'avançais un peu trop. Fred t'avait secoué pour te faire retrouver tes esprits et quelques secondes après tu te trouvais en face de moi, accompagné de ton frère, les joues rouges comme un enfant. J'avais trouvé ce trait très mignon et je n'en suis pas certaine mais je pense avoir rougi à ce moment là. 

Vous vous étiez présenter à moi soudainement, comme si j'avais gagné par cet acte anodin votre approbation, était-ce le fait que je sois une Serpentard qui justifiait le fait que j'en aie besoin. 

Fred parlait beaucoup, Vraiment - Beaucoup, je n'en étais pas très sûre mais je pensais qu'il essayait de combler ton vide de conversation, j'avais même pensé que c'était un truc de jumeau, qu'il y en ai un bavard et l'autre muet. J'avais néanmoins conclu que ton frère était drôle, et intéressant, et il était rare que je fasse de telles conclusions sur qui que ce soit. 

En partant je me souviens que tu avais complimenté la couleur de mes cheveux, ces mots là je ne les ais pas oubliés.

"J'aime beaucoup la couleur de tes cheveux, on dirai que tu sors tout droit d'un conte de fée, c'est... magique".

Puis quand je t'ai remercié, assez timidement à ma surprise, tu m'avais fais un clin d'oeil puis tu es tout simplement parti.

Mes cheveux ont toujours étés presque blancs comme la neige, ils tiraient plus sur le blanc que le blond contrairement à Draco, cela s'expliquait par mon sang de Vélane j'imagine.

T'ai-je déjà dis que je détestais posséder les particularités d'une demie Vélane ? Une centaine de fois sans doute; Ce que je ne t'ai jamais dis, c'est que je m'étais prise à détester tout ce qui me rapprochait d'une Vélane, ce qui comprenait ma couleur de cheveux et ce jour là, j'ai commencé à l'aimer.

Ce jour là fut le début d'un grand changement, et de nombreux problèmes comme tu le sais déjà, je ne fais que répéter un grand nombre de faits que tu connais déjà. Cependant peut-être que si tu les vois dans mon sens, tu comprendras mieux mes actions, non pas qu'elles soient pardonnables, mais j'imagine que c'est mon côté égoïste qui me pousse à te dire ça.