Chapitre 1

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Charles se réveilla de bonne heure en ce bon matin d'hiver. Il est décidé, le gouvernement Autrichien tombera. 

Charles honoré Philippe de Valencienne, sous son nom complet, était un homme grand, ténébreux au cheveux bruns. Une barbe très soigneusement taillée arborait son menton et  sa moustache avait une envergure à faire pâlir certains oiseaux. Il était assez grand, 1m83 mais les talons qu'il n'oubliait jamais de porter, le grandissait de cinq centimètres supplémentaires, ce qui imposait le respect. C'était un descendant d'une vieille famille noble liée aux ducs bourguignons, la famille de Corford devenu de Valenciennes avec l'union entre Emile-Étienne de Valenciennes et la baronne Clotilde-Victoire de Croford respectivement grand-père et grand-mère de Charles. Il vu jour le 5 juin 1675, élevé dans la plus pure tradition Bourguignonne, les différentes séances de chasses et de combat à l'épée furent les pierres angulaires de son éducation, Charles avait néanmoins un don pour l'expression orale et pour la parole, s'exprimer en plubique n'était pas pour lui d'un très grande difficulté, contrairement à son père qui refusait de s'exprimer devant plus de cinq personnes. 

Dès son plus jeune âge, Charles, s'intérraissait à l'histoire de son illustre ancêtre "Charles : le téméraire", dont il partageait le prénom. Féru de cette matière, il lu des tas de livres qui relataient ses exploits. Très rapidement, il développa un sentiment nationaliste et indépendantiste pour ces ex pays-bas bourguignons. En lisant des livres sur Jules César et notamment "la Guerre des Gaules", il découvrit qu'un peuple belge existait. Dès lors il n'eut plus qu'une obsession, redonner au aux belges leur nation détruite depuis si longtemps.   

Son père était un homme très distant, il ne s'occupait que peu de son fils et courtisé les jeunes demoiselles de la cour autrichienne, l'intéressait beaucoup plus que l'instruction, pourtant primordiale, de son fils. La mère du petit Charles s'occupa donc de son éducation, elle engagea pendant l'hiver 1682 un précepteur. Ce dernier très féru de guerre, lui enseigna l'art de manier une arme et de diriger une garnison d'hommes. Il lui enseigna aussi la géopolitique. Charles avait un gout prédestiné pour l'art de diriger, si bien que petit il s'amusait à gouverner ses frère et sœurs. Malheureusement, durant la nuit du 5 mars 1689, la mère du petit Charles mourut. Celui-ci très attaché à sa défunte mère, eu un mal fou à faire son deuil. Mais cela ne poussa pas son père à être plus proche de son fils, d'ailleurs il ne rencontra aucune difficulté à trouver une nouvelle épouse.

De la nouvelle union naquit cinq filles et le 10 décembre 1696, Pierre VI de Valenciennes mourut. De grandes cérémonies d'hommage furent organisées. Charles durant ces cérémonies présenta un discourt où il expliqua que les pays-bas autrichiens ne pourraient survivre dans le long terme, il accusa le gouvernement germanique d'appauvrir la culture belge et qu'il fallait s soulevé contre ses étrangers qui leurs privaient du droit fondamentale d'exister en tant que nation, ensuite il fut acclamé. Des vive la Belgique Libre se firent entendre suivit de plusieurs vive Charles Ier. Le rassurant sur son idée, en quittant l'estrade où il avait si brillamment exprimé son opinion. Il parti rejoindre son grand ami Henri Georges de St-bernois, ancien membre de la police dans les pays-bas espagnoles. À la retraite depuis, il établirent ensemble un plan pour faire fuir ses envahisseurs étranger. 

Le. discours se répandit très rapidement, et une idée libératrice germa dans les très fond de la population. Cela causa de nombreux troubles dans la colonie autrichienne et Charles échappa à de nombreux complots pro-autrichiens. Mais cependant ceci n'empêcha pas ce dernier à continuer la création de son "armée de libération", au contraire elle prit une importance très nette auprès de la population suite aux attaques menées à l'encontre de Charles.

Voilà quelque mois que le prince Eugène de Savoie fut nommé gouverneur des Pays-Bas Autrichiens. Les décisions prisent durant le traité de barrière, mis en furie tout le peuple des Pays-Bas Autrichien. Charles réussi, en vingt-et-un an, à créer une armée respectable et respectée par tous, sauf par l'empereur Charles VI. Celui-ci méprisait, purement et simplement cette armé considéré de barbares par les hautes sphères d'influences autrichienne. Charles ne voulant pas attaquer le premier, il demanda au gouverneur d'adoucir les règles mise en vigueur par le traitée. Eugène de Savoie ne donna pas ces réclamations à l'empereur d'Autriche et pire, il durcit les règles  en application sur le territoire. Faisons tombé même les plus grands défenseurs des autrichiens dans les bras des libérateurs. Charles était heureux de cette situation, ce n'était plus qu'une question de jour avant que son armée donne son affranchissement à la Belgique. Quelques semaines après, où la tension ne cessa d'empiré, un jeune libérateur lança une pierre sur un des soldat autrichien, il n'en fallait pas tant. Le militaire était accompagné, des coup de feu se firent entendre, d'autre Libérateur se joignirent et d'une extrême vitesse, l'armée libératrice fut envoyé délivrer son peuple. 

L'armée libératrice dirigée par Charles, était ouverte à tous. Une première en Europe. La ville où les combats avait commencés, Mons, tomba très rapidement. C'est à ce moment précis que Charles VI compris que, cette armé qu'il qualifiait de barbare, était organisé. Le scénario millimétré et préparé depuis plus de deux décennies, se reproduisit dans trois villes distinctes Anvers, Tournait et Arlon (comme le plan original le prévoyait). L'Empereur autrichien n'eut pas le temps de réagir que la capitale tombât au profit des révolutionnaires belges.

Après la prise de Bruxelles, Charles fut titré en tant que Comte de Hainaut devenant Charles Ier de Hainaut. Pressé de trouver des alliances, Charles épousa Françoise-Marie de Bourbon. Celle-ci était marié à Monsieur (Philippe d'Orléans), mais ce dernier fut pris d'un mal au foie durant l'hiver, et les différentes saignées n'ont pu arranger ses différents maux. Le Cardinal de Fleury, précepteur de Louis XV et régent depuis la mort de Philippe d'Orléans, proposa à Charles la main de Françoise-Marie de Bourbon en signe paix et d'alliance envers les Autrichiens. Le comte de Hainaut accepta l'offre et le Mariage fut célébrer dans la Collégiale Sainte-Waudru de Mons. Avec cette union, le royaume de Belgique désunis fut créé, le suffixe "désunis" fut choisit car pour Charles, la Belgique ne serait unie seulement si la principauté ecclésiastique de Liège acceptait d'entrer dans cette nouvelle réalité.

Charles VI, ayant vu partir en fumé les Pays-Bas Autrichiens, voulait récupérer ses provinces perdues, mais face aux français que pouvait-il faire. Et puis engagé un combat armé contre le nouvel état ça voulait dire traversé tout le St-Empire, et risqué une guerre contre ce mastodonte ce n'était même pas la peine de l'envisager. Cependant plusieurs émissaires et chasseur de primes furent envoyé pour tués cet homme sui se disait roi, mais rien ne put le détrôné. 

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