Chapitre 6

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Eudes Ier, sept ans après la fin des hostilités, avait un trappé un horrible mal au thorax. Il invita son fils, Charles-Édouard le prince héritier, au contrôle du pays. Eudes n'aurait plus qu'une autorité symbolique, son fils quant à lui s'occupait d'ériger les lois. Néanmoins Eudes avait toujours un véto qu'il lui permettait de légaliser ou non les choix de son fils.

Charles-Édouard, futur Charles II, était très proche du peuple. Étant marié à la princesse héritière d'Autriche, la population avait très bien accueilli cette jeune femme. En effet après les différentes guerres, une paix totale ne pouvait qu'être très populaire. La cour royale avait accepter avec moins d'enthousiasme la nouvelle arrivante. Eudes se méfiait également de ses anciens ennemis, mais en cherche de prestige il autorisa le mariage (proposé par l'Archiduc François Ier).

En Afrique, la première communication par câble était sur le point de voir le jour. Pour voir la merveille Eudes pris la décision de s'installé en Afrique. Le monarque savait très bien que ce mal qu'il subissait allait le tuer et l'envie d'être enterré près de son père n'échappa à personne. Abdiquant le trône de Belgique le 20 juin 1772, il garda le contrôle du Royaume Africain Belge. Charles-Édouard se fit couronner empereur des Belges le 30 juin 1772, devenant par la même occasion Charles II.

Au moment de l'abdication de Eudes, Charles réorganisa le pays. Le Welgan fut propagé intensivement, un programme d'éducation forcé dans toute la Belgique fut lancé et la loi Salique abrogée. Charles voulant une alliance avec la Hollande enleva son frère des contraintes imposées par leurs père. Les lois hollandaises pouvaient, désormais, être ordonné et choisi par le roi. "Le véto belge" n'existait plus.

Dans la colonie africaine, Eudes mis en place "Dier Akademi op Africans Artes" (trad. L'académie des arts africains.) et "Dier national-institues op Welgan" (trad. L'institut national du Welgan).

Marie-Amélie, pendant la guerre, avait reçu une balle de fusil dans la jambe. La vice-reine n'ayant ni maux, ni difficulté à marcher, continua à vivre comme si de rien était. Cependant le petit objet avait causé une plaie qui ne cicatrisa pas. Quelques temps après cela la gangrène se manifesta. Rapidement pourrie, le médecin officiel de la souveraine du lui coupé la jambe. Mais cela ne cessa la maladie. Trois ans après, Marie-Amélie Ière vice-reine du royaume d'Amérique centrale et des Guatémaltèques mourut. Le 16 septembre 1768. Son fils Jean-Charles de Mexique, monta sur le trône. Très familier avec la famille impériale belge, il imposa le Welgan comme langue nationale dans tout l'empire Américain et pour remercier les Français imposa également leur langue dans tout le territoire. Cette décision fera de la langue française, le langage le plus parlée au monde.

Le lundi de Pâques 1773, Charles II se rendant à la messe, on lui informa que la capital, Mons, Brûlait. L'empereur s'est dit horrifié. L'incendie, qui au départ était celui d'une simple maison, pris de l'ampleur durant la nuit. Pendant deux semaines Mons brûla, quoi qu'on fasse le foyer ne s'éteignit pas, si bien que Monseigneur Von Hiesteich qualifia cet évènement de " ans Vunissions dis dieu et dis tust Paradissaints" (trad. une punition, non seulement de dieu mais également de tous les Saints du Paradis.) Charles II, une fois l'incendie éteint, fit une très grande visite, demanda le temps et le cout d'une reconstruction totale de la ville. Cent-trente-millions de livre et trente ans. L'empereur savait très bien que l'empire, même si conquérant, n'avait pas assez de fonds pour reconstruire sa capitale. Néanmoins il avait entendu que de l'autre côté de la manche, de nouvelles techniques d'agriculture et de construction poussait comme champignon en forêt. Le monarque exploita donc ces nouvelles techniques, d'abord dans l'état vassal belge et ensuite dans sa capitale. Le coût de construction s'élevait désormais à seulement dix-milles livres et devait prendre cinq années. Evidemment, l'ancienne capitale ne ressemblait en aucun cas à la nouvelle. La première année 25% de la ville était reconstruite. Dans le même temps, l'enquête la plus importante de l'empire avait lieu. En effet l'incendie était criminel. Du 30 juin 1772 au 9 mai 1773 "Dir Enquest op Mons" (trad. l'enquête de Mons) battait son plein. À la fin de cette longue épopée le Protestant Jan Silesmunt fut arrêté dans une taverne de Bruxelles. Condamné à la peine de mort le 17 mai, il fut pendu le 20.

Cette aventure sera connue dans toutes les colonies de l'empire et aussi dans le monde entier. En Amérique, Jean-Charles avait commencé une ouverture dans l'indépendantisme le jour de l'incendie, très vite arrêtée cette situation renforça l'empire. Mais cliva les autres royaumes, le royaume hollandais perdit énormément de prestige lors de la bataille du Vermont. Le conflit opposait plusieurs petits états du St-Empire Romain Germanique contre le royaume Hollandais. Un très bon début mais une fin affreuse, si bien que quand l'armistice fut signé, il ne restait de l'armée hollandaise que Trois mille hommes. De très grands dommages de guerres furent étiquetées parles seigneurs gagnants. Suite à cela, en Amérique, les anciennes treize colonies commencèrent à ne plus acceptés ce roi, trop faible.

Un certain George Washington fut le premier à parler d'indépendance au peuple américain. Très vite écouté, plusieurs soldats commencèrent à désobéir à leurs supérieurs. En novembre 1775, on déplore la mort de différents aristocrates néerlandais : " Je vous annonce aujourd'hui, le décès du Baron de St-Crainte, du comte de Soisson et de Monseigneur Jean de Vrrastrich". Suite à cela, les militaires américains ouvrirent le feu sur des civils supposé coupable. En réaction George Washington commença la "Guerre d'indépendance américaine".

Pendant les premiers combats, Charles II mis au point la première mine de charbon de Charleroi. Et continua la construction d'une grande tour représentant toutes les personnes ayant péries durant le "grund inssendit op Mons" (trad. Grand Incendie de Mons). Eudes, vivant toujours en Afrique, essaya de vivre bon gré malgré la maladie. Et fit construire une nouvelle aile au château de la Nouvelle Mons. Totalement destinée à l'agriculture, il passa la totalité du reste de sa vie dans ces vingt serres et ces deux hectares extérieurs. 

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