Chapitre 2

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Voilà plusieurs mois que le mariage entre Charles et Françoise-Marie fut célébré, et l'idée d'une l'unification complète et uniforme de la Belgique obsédait Charles, il ne se considérait pas comme le roi de la Belgique. Simplement car la Belgique n'existait pas. Ce pourquoi il prit rendez-vous avec le prince évêque de liège, bien décidé de le rallier à sa cause. L'évêque accepta sous certaines condition, la principauté ecclésiastique de Liège devait avoir une certaine liberté et indépendance dans ce nouveau royaume et les liégeois devaient être reconnu comme tel et non en tant que belges. Malgré ces conditions, le 5 mai 1718, le royaume de Belgique dit "Uni" fut créé avec le couronnement et l'onction de Charles émise par monseigneur Grégoire de Seraing. La plus heureuse dans tous ses événements fut Françoise-Marie, enfin fière d'être la femme d'un roi. 

Charles Ier, dit le libérateur, s'aperçut vite qu'avec les port de Bruges, d'Anvers et de Bruxelles, les caisses du royaume se renflouaient. Si bien que durant le courant de l'année, le roi investit dans plusieurs chantiers navals et autres terrains d'entrainement martial, érigea une loi sur l'armé et les soldats et une autre sur le marchandage. La loi martiale autorisait n'importe quel homme, en âge de se battre, d'intégrer l'armée à deux conditions, d'avoir entre vingt-cinq et quarante ans et d'être déjà marié. SI ces conditions étaient respectés et seulement si, la loi donnait la possibilité à tout homme d'atteindre de hauts grades dans la hiérarchie militaire. Cela fit grincer des dents toute la vieille noblesse, habituer à une scission entre paysan et noble elles se refusaient que ces gueux viennent salir leur défense nationale. Très vite réprimé par le roi, la noblesse accepta, bon gré malgré, la présence des nonos (non-noble).

L'armée prit une grande importance très rapidement, elle s'imposait comme grande puissance en Europe, avec ceci l'économie belge prit une ampleur considérable. Si bien que Charles Ier, conscient de l'aura que pourrait avoir la Belgique, envoya des émissaires belge en Afrique. Une flotte de quatre bateaux Le libérateur, La Madre Maria, le seigneur des eaux et La voile royale partirent avec plusieurs milliers d'hommes chacun le 5 aout 1718. Le voyage était prévu pour arriver sur la côte occidentale de l'Afrique.

Françoise-Marie accoucha très vite d'un petit garçon, Eudes-Josef Charles Marie Stanislas de Belgique. La naissance du premier descendant belge réjouit le peuple, qui avait de très mauvais pressentiment au fait de voir une française aux côtés du roi. Avec l'arrivé du dauphin, un vent de paix et de réjouissance soufflant sur le royaume. 

En décembre 1718, la flotte marine arriva en Afrique. Ne voyant aucunes tribus autochtones, les envoyés belges inaugurèrent la première colonie de Belgique. Nommé colonie Africaine de Belgique, elle ne contait au début que quelques habitants (les émissaires), Charles, à l'annonce de la fondation de cette colonie, fit ériger différentes lois de peuplement de cette nouvelle agglomération. Dix bateaux, remplit de cent colons chacun, partirent pour la CAB.

la vie suivit son court, le roi assit son pouvoir en rénovant de nombreux châteaux médiévaux et en exploitent le pleins potentielles de certaines forêts et de certaines prairies. notamment dans le sud-est du pays où les forêts sont les joyaux du patrimoine local. Mais le chantiers le plus important de la Belgique fut la construction du palais royale. Sa localisation fut décidé à Mons, la capital de ce royaume. Dix ans furent nécessaire, mais le résultat en valait le coup d'oeil. Le monarque prit également l'habitude de se balader dans le boit privés du château. 

Un jour en revenant de sa balade à cheval, comme à son habitude Charles Ier rentra dans la cour de la résidence royale . Françoise-Marie savait que son mari souffrait d'un mal affreux aux reins depuis peu. Malgré les différentes saignées prodiguées au roi, le mal ne disparaissait pas. En sachant pertinemment que ses mois étaient comptées, Charles prit la décision de ne prévenir aucun de ses ministres ni aucun de ses enfant, mis à part le futur roi Eudes. La population ne fut également pas informé de son état. 

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