Chapitre 4
Je ne pensais pas que dans ses enveloppes il y avait d’autres choses que de l’argent. La première enveloppe contient un chèque de 7,000€ avec un memo disant « si toute fois vous avez besoin d’un renouvellement de votre garde-robe. ». L’autre contient une carte de crédits et des billets d’avion, je crois. C’est un billet pour Paris pour 16 heures, il n’est que sept heures. Je me suis habillée d’une chemise violette accompagnée d’une jupe noirs et des talons assortis à mes bijoux c’est-à-dire or aux bandes noirs. Un maquillage fin ; des petits traits d’eye-liner, du mascara, un peu de fond de teint, du fards à paupières mauves et grises, mes cheveux rousses mais de teinture marron claire, marchait merveilleusement bien avec l’une des multitudes de chaines se trouvant à mon coup, ils sont en nombres de quatre. Je me coiffe simplement en un chignon bien détirer mais pas trop, pas à la mode collégienne.
9heures moins le quart, je suis arrivée devant l’entreprise, en faisant gaffe à mes cheveux pour être sur qu’ils sont bien en place surtout avec ces mèches rebelles qui ne me facilitent pas la tâche. La réceptionniste me fit perdre quelques minutes puis je fis ma route. Cette entreprise d’après ce que je sais est le meilleur en affaire de marketing dans le pays, elle a rapporté beaucoup de prix, et M. Bass est le directeur officiel de cette entreprise donc un homme très influent. Toutes ces agitations je n’aime pas trop cela.
« Bonjour, vous avez besoin d’aide ? » je me retourne en face à cette voix que je trouve familière.
« Valérie ? » celle-ci me regarde en souriant et me fit un gros câlin tout excitée. Elle était ma meilleure amie au lycée on se partageait tout absolument tout, mais un jour elle est partie et on s’est perdue de vue. « Oh mon dieu ! Pincez moi je rêve. Tu as tellement changé ! » Je m’exclame, elle a grossi en laissant ces phobies derrière elle, tel que les plats de graisses comme un hamburger, elle était de taille normale, plate mais pas trop. Elle rayonne de bonheur.
« C’est parce que je suis enceinte que tu vois que j’ai grossi ma grande rien d’autre. » Je suis aux anges là. Stacy devient maman. C’est trop beau.
« C’est la meilleur journée de ma vie. » Je jette un coup d’œil sur l’heure et vit qu’il est 8heures 50 min. « on se reparle après. D’accord ? Je dois y aller, je suis la styliste de Mr. Andrew. » Je lui remis mon numéro de téléphone, puis j’accours. Je suis devant son bureau exactement à 9heures…
9heures 45… mais qu’est-ce qu’il fou, merde ?! Il commence déjà à m’énerver. Je me rends, en colère, vers le bureau de son père. Je frappe a la porte attendant une réponse.
‘’ heum, oui entrez’’ c’est ce que je fis. Je ne suis tellement pas d’humeur, je l’avais bien fait comprendre que je ne jouais pas moi.
« Bonjour M. Bass. » il me sourit et me répondis. Alors qu’il griffonnait quelques choses sur un bout de papier. Alors que je m’apprête à lui demander où se trouve son fils, il me tendit le papier en question. « Et c’est pourquoi ? »
« Vous avez attendu plus de 45 minutes. Donc vous avez droits à votre revanche. Chambre 207. » Je souris et le remercie, j’aime trop ce mec.
°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° 20 minutes plus tard °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
Je suis à l’intérieur de sa chambre debout devant son lit, c’est idiot est entrain de dormir, et pue l’alcool. J’ai plusieurs options pour le reveiller, 1er le jeter du lit.
2eme lui verser de l’eau sur la tête.
3eme lui foutre un coup de mes talons au cul. Faut dire que j’aime la troisième option. Mais bon c’est mon patron en quelques sortes. Donc la deuxième option est mieux. Je me rends dans la cuisine et prends de l’eau dans une casserole. Je me tiens devant lui, je ne peux m’arrêter de sourire à sa drôle tête. Bah non, je me suis dégonflée je vais le jeter au sol plutôt. Ca a fait un gros « boum ! » mais rien il ne se réveille pas. Je l’entends murmurer ces mots « maman arrête, je veux dormir. » Tout cela n’est pas stipulé dans le contrat. Je le verse l’eau avec force, car il m’énerve a un point que ne vous ne pouvez même pas imaginer. Il se lève en sursaut et se cogne la tête au mur. Mon rire éclate dans la chambre.
« Mais putain ! Qu’est-ce qui vous prend ? » Hurle-t-il pendant que mon sourire machiavélique n’arrête pas. Je suis trop heureuse quoi.
« Allez prendre une douche et je vous donne que 10 minutes. » il me défiait du regard. « J’ai toujours de l’eau si vous préfériez ? » Il part en grognant quelques choses. Mon téléphone sonne c’est Carole.
« Allo ! » je ne parle pas trop fort ne voulant pas qu’il m’entende.
« Désolée de t’appeler mais Mat tient à te parler. Il n’a pas voulu se rendre à l’église avec moi. » Je souris doucement.
« Passe le moi, s’il te plait. »
« Maman ! » les larmes me piquaient les yeux. « Tu reviens quand maman ? » mon mascara va couler s’il continue.
« Je reviens pour ton anniversaire mon chéri. » je l’entends crier au téléphone à Carole mes paroles précédentes. Je souris, c’est grave comme ce petit garçon me fait toujours sourire.
« J’aurai un cadeau maman ? »
« Bien sur mon amour !» j’entendis la porte de la salle de bain s’ouvrir. « Mon cœur maman doit partir. On se reverra mon amour. » Les larmes sortaient presque de mes yeux, je n’arrive pas à m’y habituer. C’est pourtant facile, non ? Mais je n’ai pas le droit de la faire une chose pareil.
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RomanceAurélie ne pouvant arreter ce sentiment de culpabilité sur ses épaules. Et Andrew qui n'arrete pas, c'est vrai que c'est son patron mais comme con il y a pas mieux.