Chapitre 1 : Tomber dans les pommes

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(fanart de Ran sur Twitter)

Hello hello la compagnie !
Je reviens avec une nouvelle histoire basée sur l'univers de Genshin Impact (si vous êtes là..vous devez le savoir (°-° ) à moins que vous vouliez découvrir l'univers à travers des fanfictions... Mais tu fais quoi là ? Fuis mon reuf, fuis pour ta vie).

Pour cette fois, j'avais envie d'engager un ton beaucoup plus léger et sans prise de tête. Une bonne petite comédie. Qui sera... Un échauffement pour la suite. Je prévois de faire plusieurs fics sur cette univers et elles seront intimement liées, très légèrement quoi. Donc oui, des éléments de "La nouvelle bande à Benny" seront en lien avec la prochaine histoire. Mais je fais en sorte que les histoires se lisent indépendamment l'une de l'autre.

Bref... Bonne lecture !

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Le soir approchait à grand pas à la cité de Mondstadt. L'odeur du vent frais se faisait sentir, refroidissant le cerveau durement actif des habitants. Aussi bénéfique qu'un grand verre d'eau après un effort physique.
Les lumières des habitations commencèrent à s'allumer une à une, ce qui donnait une tout autre ambiance à la ville. Une ambiance chaleureuse entre ses murs de pierres. Mais un habitant décida de ne pas s'arrêter dans ses activités. Que ce soit la journée ou la nuit, il était toujours debout, près à explorer le monde. Bien que parfois, il s'absentait à la vue des Mondstadtois pour s'occuper de ses pères. En effet, il n'était que très rarement en repos, mais cela n'avait pas l'air de le fatigué pour autant.

À la taverne des Gardiens de l'Ange, ce jeune aventurier du nom de Bennett, était à l'arrière en train d'accrocher un prospectus sur le panneau d'affichage. Malgré que ce panneau invitait la population à y placer leurs demandes de recherche d'emploi. Et cela n'avait rien à voir avec ce que Bennett venait tout juste d'afficher. Disons que c'était plutôt l'inverse : une invitation à rentrer dans son groupe d'aventurier. Passer par la Guilde des aventuriers ne suffisaient plus. Sa réputation de porte malheur ne faisait que croître alors, il avait décidé de faire ses demandent un peu partout.
Une fois son morceau de papier avec une écriture maladroite affiché, il esquissa un sourire plein d'espoir en serrant les poings. Comme pour se donner du courage. Il ne voulait surtout pas avoir l'air d'un désespéré à la recherche de compagnie bien que plusieurs mois seul commençait sérieusement à peser sur son moral. Aller partir à la recherche de trésors et de reliques seul, n'était ni gratifiant, ni amusant. À tel point qu'il avait adopté l'habitude de se parler à lui-même. Bien qu'aux yeux des gens, cela pouvait paraître étrange, cela lui procurait beaucoup de bien au moral et l'aidait à rester souriant et jovial.

De l'autre côté de la ville, un enfant loup pénétra dans la cité. Malgré qu'il l'a connaissait bien, la vue de toutes ces pierres l'intimidait toujours. Il resta donc là à l'entrée, hésitant, ne sachant pas trop où commencer ce qu'il l'avait amené jusqu'ici. Disons qu'une connaissance à lui du nom de Aether, lui avait conseillé d'aller de passer un peu de temps en ville pour se familiariser un peu plus avec les humains et accroître son vocabulaire.

«Lupical... » dit-il soudainement.

Lupical était un mot très important à ses yeux, symbolisant la famille. En disant cela à voix haute, que seul les soldats de l'entrée entendirent, il se donna le courage de trouver des amis ou des connaissances qu'ils voyaient comme sa famille.
Un peu peunneau, intimider par l'allée principal avec ses grands escaliers, il décida de se diriger vers le stand de fleurs de la petite Flora pour sentir ces odeurs familières. Il trouvait toujours cela étrange de retirer les fleurs de leur habitat naturel pour les mettre dans des pots de céramique. Mais Lisa, la bibliothèquaire, lui avait expliquée par mal de chose sur la façon de vivre en ville.
Tellement perdu dans ses pensées qu'il ne remarqua pas qu'un chien de berger tentait d'attirer son attention. Ce dernier remuait la queue et t'irait la langue. Razor le vit après avoir renifler et senti sa présence. Bien que les chiens n'étaient pas des loups, leurs ancêtres étaient les mêmes. Seulement, le chien avait évolué différemment. Un loup s'étant fait domestiquer par l'être humain.
L'enfant-loup n'hésita pas à grogner sur ses quatres pattes, les ongles enfoncés dans le sol fait de pierres. Le chien répondit et se mit à aboyer, allongeant la partie supérieure de son corps tout en remuant continuellement sa queue, l'arrière trein relevé. C'est alors après cet accord mutuel, que les deux se mirent à jouer ensemble, au milieu du chemin.

La nouvelle bande à BennyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant