Prends un café ils ont dit, ça va te réveiller ils ont dit, mais ils ont jamais dit qu'il faut pas prendre 3 cafés après une nuit blanche.
Je me dépêche de changer mes vêtements pour quelque chose de plus confortable et je m'allonge sur mon lit.
Longue journée de travail, beaucoup trop de caféine que mon cœur puisse supporter.
J'essaie de dormir, et après m'être tournée quelques fois, je sombre enfin dans les bras de Morphée.
Ou je fais une chute libre.
Je sais pas, j'ai les yeux fermés.
Je souffle d'exaspération, les sourcils froncés. Même dormir je peux pas le faire.
J'ouvre les yeux, et la vue qui s'offre à moi est éblouissante.
Je me trouvais au dessus d'une ville illuminée par des centaines de lanternes. Il faisait nuit, mais je ne pouvais voir la lune d'où je suis.
C'est bizarre, suis je dans une planète qui n'a pas de satellite ?
J'essaie de me tourner, me mettre dans une position quelconque qui m'évitera de m'écraser comme une crêpe au sol. Au beau milieu de mes gesticulations, je remarque un point rouge avec des ailes qui s'approchait de plus en plus.
Je sais déjà qu'il ne me reste pas plus de 10 mètres pour arriver au sol. Je vais mourir sans avoir connu la fin de one piece.
Je ferme les yeux violemment, ça faisait quelques temps que le vent me faisait mal aux yeux.
J'attends quelques temps ma mort normalement inévitable mais rien ne se passe.
Je rouvre les yeux pour rencontrer ceux d'un homme aux cheveux rouges et yeux rouges.
AYO, ON VA SE PERCUTER, ON VA SE PERCUTER !
Et comme prévu, on se percuta mais il réussi à me tenir et réduire le choc.
-Merde... Ma tête me fait encore plus mal maintenant...
Il se releva en remettant ses vêtements et ses cheveux en place puis me regarda, les sourcils froncés.
-Me remercier ne serait pas trop demandé.
Je le toise du regard puis souffle du nez.
-C'est vrai, merci, pardonnez mes manières.
Tant que je suis ici, vaut mieux connaître quelques personnes et se faire une bonne réputation.
Il me regarde de haut en bas, et me donne un regard confus.
-D'où êtes vous tombée pour faire une chute libre pareille ?
Ah. Um, c'est pas con comme question ça.
Je regarde en haut mais il n'y a vraiment rien qui puisse m'aider à expliquer ma situation. Ou même mentir.
Va-t-il me croire si je lui dis que je voulais juste dormir dans mon lit bien chaud mais que j'ai(probablement) fini dans un autre monde faisant une chute libre qui aurait sûrement causer ma mort ? Je veux dire, si on me donne une chance de tout recommencer à zéro, ça serait cool qu'on n'essaye pas de me tuer dans les 2 premières minutes.
Ça fait quelques temps que je suis silencieuse, et il me regarde toujours attendant une réponse.
-Je... Je me souviens plus...
Ok, en espérant qu'il va me croire, pour l'instant, j'ai encore fait aucune gaffe.
Il soupire, enlève sa veste et la jette sur mes épaules.
-Je me nomme Diluc, Diluc Ragnvindr de Mondstad. Les nuits dans Liyue sont plutôt froides. Vous devrez faire attention la prochaine fois.
Je me blotti dans sa veste noire. Je ne sais pas pourquoi mais je sens sa richesse qu'en sentant son manteau.
-T/P T/N, de (pays ou ville où tu habites).
Diluc se retourne vers moi, un sourcil arqué.
-Vous n'êtes pas de Teyvat ?
-Je savais que je n'étais pas bonne en géographie, mais pas à ce point. Je n'ai jamais entendu de Teyvat.
On s'arrête de marcher pour se regarder dans les yeux, encore plus confus que l'autre.
Je sens une chose passer devant moi dans une très grande vitesse puis s'arrêter brusquement quelques pas à côté de nous.
C'était un jeune garçon les cheveux bleux/verts très foncés, les yeux jaunes et une tenue pas des plus ordinaires. Même si je sais que la mode d'ici est différente de celle d'où je viens, je sais que ses vêtements ne sont pas normaux rien qu'à la vue de la réaction de Diluc.
-Toi. Dit il en me pointant du doigt.
Diluc me regarda, surpris. L'expression du nouvel arrivé n'était pas une des plus accueillante non plus.
Je lève mes mains en signe de paix. Je veux pas me faire trancher alors que je viens d'arriver. Attend une année quand même.
-Je t'ai vu apparaître du ciel, et juste après, j'ai clairement senti la balance du monde être perturbée.
Il prend une petite pause, jette un coup d'œil à Diluc qui n'avait pas bougé depuis le début. À part que sa main est maintenant prête à dégainer son épée, au coup d'œil, sûrement une claymore.
Il continue:
-Tu n'es pas supposée être ici.
Umm, ok ? Je sais déjà que je suis pas supposée être ici. Je suis supposée rattraper le sommeil de 4 nuits blanches consécutives. Pourtant je suis là. Et arrête de me regarder comme ça, ado de 15 ans et Diluc ragnhir de montar.
Je ne bouge pas pour autant. Je suis sûre je bouge d'un poil et je vais me faire exécuter. Ils ont pas l'air de rigoler.
Il soupire.
-Je suis Xiao. Et vous ?
Ah bah d'accord, tu me lâches un discours me montrant comment je suis une nuisance à la balance de ton monde puis tu veux faire connaissance ?
-Diluc Ragnvindr. De mondstad. Et elle, T/P T/N.
Je commence à baisser mes bras. Je crois que c'est bon, ma vie n'est plus vraiment en danger, n'est ce pas ?
Xiao me jette un vif coup d'œil et je relève mes mains en coupant ma respiration.
Sa présence est écrasante. Contrairement à sa taille.
-Baisse les bras. Je ne suis pas ton ennemi.
Je soupire enfin. La tournure que prennent les choses me poussent vraiment à penser que tout ça est seulement un rêve fou. Des personnes qui volent, un adolescent de 15 ans qui vient me dire que je trouble son monde, et surtout une chute libre de je ne sais où. Tout ça n'arriverait jamais dans la vraie vie. Je commence à en avoir marre de tout ça. Et mon mal de tête ne fait qu'aggraver les choses.
Les choses autour de moi deviennent de plus en plus floues, et la conversation entre Xiao et Diluc me paraît si lointaine.
Je me tourne, essayant de marcher la plus droite possible. Même dans ma condition, je n'ai pas du tout envie de rester avec ces personnes là.
-Bon, ciao les cassos, je dors.
Attends... Quoi ?!
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PDV DILUC
Depuis que je l'ai rencontrée, elle avait l'air si pâle et fatiguée, ses cernes étaient très visibles.
Tandis que je parle avec Xiao de la situation de T/N, je remarque qu'elle commence à perdre petit à petit son équilibre. Puis elle se tourne soudainement, ce qui a coupé ma discussion avec l'Adeptus, puis marche en zig zag en lançant '' bon ciao les cassos, je dors. '' avant de tomber et ne pas se relever.
J'échange un regard avec Xiao pour me précipiter vers elle.
Elle... Dort? Vraiment?
Sa respiration semble si régulière et elle si calme.
-Tu devrais l'emmener quelque part pour passer la nuit. Je connais un ami qui est de séjour à Liyue, il devrait vous aider. Suis moi.
Je porte la jeune femme dans mes bras. Ma claymore devrait la déranger si je la portais sur mon dos.
Pourquoi étais je venu dans Liyue déjà ?
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PDV T/P
Je me sens me réveiller petit à petit dans un lit si confortable et chaud. Je souris et me tourne pour essayer de me rendormir. Ah. Quel bonheur d'avoir bien dormi pour une première fois. Et surtout, je n'ai pas de mal de tête.
Ce n'était qu'un rêve finalement. Je me disais aussi que c'était limite Alice au pays des merveilles le truc. Manquait plus qu'une sorte de mascotte volante vienne m'emmener chez le chapelier fou.
Je souris à cette pensée.
-Oh ! Elle sourit ! Elle est réveillée !
J'ouvre les yeux pour voir une sorte de fée volante extrêmement près de mon visage.
Je recule brusquement jusqu'à me cogner la tête avec le lit.
-Aïe... Chuchotais je en frottant l'arrière de ma tête pour apaiser la douleur.
La porte de la chambre qui était visiblement pas la mienne, s'ouvre pour faire place à trois personnes.
Diluc, Xiao et un jeune garçon, cheveux blonds incroyablement longs tressés et une tenue qui ne m'étonne même pas après avoir vu celle de Xiao.
-Enfin réveillée ? Tu as dormi toute une journée non stop.
Ce rêve commence à me faire un peu chier quand même.
-Je viens d'un autre monde aussi ! S'exclama le blond, avec un grand sourire.
Je respire profondément, m'assois sur le lit et met mon visage dans mes mains. Panique pas panique pas panique pas panique pas.
-Eh, ne t'inquiète pas ! Tu es entre de bonnes mains maintenant. On va t'aider ! Me dit le garçon d'avant sur un ton réconfortant en me caressant le dos.
Je relève la tête et le regarde droit dans les yeux.
-D'accord, merci.
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-Rappelle moi encore une fois pourquoi on cherche du piment ? Demandais je à Aether, le garçon aux cheveux blonds, accroupie au sol essayant de trouver du piment.
-Le garde de tout à l'heure avait faim alors on va lui cuisiner un bon repas !
Oh mon dieu, je veux juste retourner dormir à ce point. Il fait chaud et chercher du piment sous le soleil de midi c'est pas la meilleure chose à faire. Surtout que c'est pour un garde qui a tout le temps faim.
-Aether, on n'est pas obligés à faire ça.
J'essaie d'être douce avec lui, vu qu'il paraît beaucoup plus jeune que moi. C'est un gentil garçon. Mais il commence à me les briser en étant aussi naïf.
-Tu n'es pas obligée de rester avec nous, tu sais ? Tu ne sais même pas te battre et tu sembles avoir une santé fragile ! Me dit Paimon, la fée???
Je ne sais pas comment le prendre pour le coup. Est ce qu'elle vient de sous entendre que je ne suis qu'un poids lourd pour eux ?
Je fronce un peu les sourcils avant de retourner à la recherche d'un jueyen chili.
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Je regarde le garde engloutir une sweet madame et une soupe puis nous regarder dans les yeux pour nous dire :"Bah j'ai toujours faim en fait."
Ah non non. Il est pas normal lui. J'ai fait des études de médecine, je le sais. Puis ça m'énerve vachement qu'on ai passé toute une après-midi à chercher les ingrédients pour son repas et qu'il ai toujours faim au final. Il a intérêt à bien nous payer.
Je me retourne pour voir les magasins à l'entour. Tant de restaurants et il demande à un aventurier de lui cuisiner un casse croûte.
Je lui jette un regard noir.
Il mérite d'être noyé.
Je souffle du nez tandis que Aether se retourne vers moi, de la monnaie dans les mains. Je souris un peu.
-Tu m'avais pas dit que tu cherchais ta sœur ?
-Si. Mais j'ai besoin d'argent pour mes repas et pour voyager. Puis, je dois aider les autres aussi.
Je fronce les sourcils. Il aide les autres tout le temps mais personne l'aide quand il demande un seul truc ? Foutaises.
-Mais ça va ! Je ne suis pas en manque d'argent ou autre. Tout va bien.
Je le regarde d'un regard peiné. Il n'a que 15 ou 16 ans et il doit déjà travailler, voyager, se battre et chercher sa sœur tout seul.
Je crois que Paimon a aussi compris et on reste toutes les deux en silence.
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-Si je comprends bien, il y a sept Archons qui sont comme des dieux et c'est eux qui distribuent les visions qui sont des sortes de pierres qui donnent des pouvoirs. C'est ça ?
-Yep !
-Je retourne à Mondstadt, tu es libre de venir avec moi. Me proposa Diluc.
Je contemple sa reflection dans le miroir tout en essayant de ne pas trop bouger vu que Aether tressait mes cheveux.
-Je viendrai, laisse moi seulement un jour de plus ici, si ce n'est pas trop demandé.
J'entends Diluc soupirer puis hocher la tête, signe qu'il acceptait... À contre cœur.
Dis le si je dérange.
Il sort de la pièce et je roule les yeux.
-Ne fais pas attention à lui ! Il est très gentil mais ne le montre pas. Puis, le seul fait qu'il prend soin de toi montre que tu lui plais. Me dit paimon, un sourire rassurant sur le visage.
-J'espère...
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-Comment ça vous n'avez aucune idée ?!
Zhongli nie de la tête, l'air peiné.
-Je suis désolé mademoiselle, mais votre situation est hors de ma portée. Je ne suis plus un Archon. Et même si je l'étais toujours, je n'ai pas le pouvoir d'ouvrir une brèche dans le monde.
Je soupire, exaspérée et en colère.
-Direction Mondstadt alors...
Je me retourne vers Diluc qui m'attendais depuis un moment. Tout seul. En fixant le vide.
Il est pas net hein.
Il sent mon regard et se redresse, fixant sa position.
-On y va.
Je lance un dernier regard à Zhongli qui buvait son thé d'un air serein. Il s'en fout de ce qui m'est arrivé et ce qui pourrait m'arriver. Même si je comprends que ma vie est insignifiante pour lui, je me sens révolter.
Je souffle du nez pour me calmer. Diluc me lance un regard furtif.
-Bon. Ça vous dirait de faire connaissance ?
Je brise le silence avec beaucoup de mal. Diluc a une aura froide, malgré qu'il ait une vision pyro.
-Pourquoi pas.
C'est difficile. Je n'arrive pas à le regarder dans les yeux. J'ai l'impression de devoir caler des formules de politesse dans chacune de mes répliques qui doivent être mesurées au moins 3 fois avant d'être prononcées.
On monte dans la diligence, assez petite que nos genoux se touchent.
-Vous proposez de faire connaissance mais finissez par rester silencieuse ?
Je laisse un rire nerveux m'échapper. Il est pas très délicat.
-Vous n'êtes pas facile à parler. Vous êtes plutôt du genre intimidant.
Il hausse les sourcils, visiblement étonné.
-Vraiment ?
-Oui, vraiment. C'est comme si un paysan ou un serviteur essaie de parler à son boss ou un membre de l'aristocratie.
Diluc positionne sa main sur le dossier de son siège.
-J'aime penser que nous sommes égaux ici.
-Je peux vous poser des questions sur votre vie alors ?
-N'est ce pas comme ça qu'on fait connaissance ?
Je souffle du nez, embarrassée. Je sens le rouge me monter aux joues. Diluc arbore un petit sourire, amusé.
Je souris à mon tour.
-Que faites vous dans la vie ?
-Je possède the Dawn Winery, un vignoble à Mondstadt.
Je retrousse mon nez.
-C'est vrai que vous sentez le raisin, mais pas le vin étonnamment.
Diluc prend sa veste et la ramène près de son nez comme pour vérifier ce que je venais de dire.
-Je préfère le jus de raisin au vin. À vrai dire, je n'aime pas boire de l'alcool.
Je fais les yeux ronds puis éclate de rire.
Sous le regard confus de Diluc, j'essaie de me redresser et calmer mon fou rire.
-Pardonnez moi mais c'est une sacrée coïncidence.
Diluc rit à son tour et pendant un court moment, ses yeux brillaient et j'ai bien l'impression que ce n'était pas quelque chose d'usuelle.
-Reprenons, Diluc Ragnvindr de Mondstadt, possède un vignoble mais n'aime pas le vin ni l'alcool.
Je lâche un petit rire à la fin de ma phrase. Son sourire s'élargit.
-C'est bien ça. Et vous ?
-Je suis médecin. Je ne sais pas si vous avez le même système ici mais pour devenir un médecin il faut étudier environ 7 ans, dans mon pays en tout cas. J'en suis à mes années de stage et comme vous avez pu le remarquer le jour de notre rencontre, c'est très, très, épuisant.
Il me détaille de ses yeux, différents de ceux que j'ai pu voir la première fois.
-Vous devrez prendre soin de vous. Vous étiez au point de l'épanouissement. Je ne pense pas que ça soit normal, même dans votre monde, de se malmener autant.
Le rouge qui avait précédemment disparu de mes joues fait apparition une fois encore.
-Tout le monde comme moi est mené à faire de la sorte. Les médecins doivent rester alerte au cas où quelqu'un est blessé à n'importe quel moment de la journée. Bien qu'il y ait des shifts, les stagiaires sont généralement ceux qui en prennent le plus au début.
-C'est dur.
-J'aime les défis. J'ai choisi ce métier pour tester mes limites et surtout parce que je n'avais aucune idée de quoi faire.
Et surtout parce que je veux de l'argent.
Je tourne ma tête vers la vitre pour regarder le paysage. Diluc fait de même.
-Nous y sommes presque.
Le coucher de soleil est magnifique. Ses lueurs orangées glissent dans notre cabine et embrassent à merveille Diluc. Lui qui a déjà des cheveux roux et des yeux rouges. Il semble être enflammé sous cette luminosité.
Je dévie mon regard rapidement vers le paysage mais au même moment, la diligence s'arrête d'un coup sec et ma tête se cogne contre la vitre.
-Est ce que vous allez bien ?
-Oui oui...
Diluc se rapproche pour essayer de voir l'état de mon crâne quand la diligence subit une seconde secousse. Il ouvre la portière, alarmé.
-Restez où vous êtes.
J'essaie de regarder ce qui se passait dehors mais Diluc avait fermé la portière et l'action était pas dans mon champ de vision.
Après quelques instants, Diluc revient, traînant sa claymore derrière lui, quelque coupures par ci par là.
-Je crois que c'est mon tour de vous demander comment vous alliez.
Diluc sourit légèrement.
-Ce ne sont que des blessures superficielles. Pas besoin de s'inquiéter.
-Je pense quand même qu'il faudrait désinfecter. Est ce qu'il y a du coton et de l'alcool ici ?
Il cherche en dessous de son siège et en sort une trousse de premier secours puis me la tend.
-Sois ma docteur pour cette fois.
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Livre d'OS
FanficJuste un recueil d'OS que j'ai écrits à 3h du mat à 13 ans, donc c'est clairement de la merde désolée.